La route 5 – (3) de Lyster à Québec

La dernière fois, nous avons atteint le village de Lyster, et avons tourné à droite sur la rue Bécancour.  De là, la route 5 (routes 116 et 218) continue sur environ 1,6 kilomètres où se succèdent des courbes plutôt serrées, pour ensuite entrer dans le village de Sainte-Anastasie. 100 mètres après l’église, on tourne à gauche sur la rue Nelson qui, après 200 mètres, à la faveur d’une courbe prononcée, devient la rue King.  De là, nous ferons encore près de 1,4 kilomètres avant d’arriver à une courbe qui se tourne à 15 kilomètres à l’heure; en 1950, ça devait être un simple coin de rue!  Après environ 550 mètres, la route 5 (route 116) devient la route Turgeon, et se poursuit sur 2,7 kilomètres avant de prendre une courbe vers la droite, et devenir le 3e Rang.  Au bout de quelque 2,8 kilomètres, nous entrons dans la MRC Lotbinière, puis après 9,1 kilomètres, nous arrivons au coeur du village de Dosquet, où nous croisons la route Saint-Joseph (route 271), qui conduit vers Saint-Flavien, et Laurier-Station (sur la carte, on indique seulement “Laurier”), ou vers Sainte-Agathe, selon la direction choisie.  Il semble qu’il existe un ancien alignement de la route 5, ici, mais je ne sais pas s’il date d’avant ou d’après 1950; sur Google Maps, il existe deux rues Poitras, dont l’actuelle route 116.  Une fois l’intersection de la route Saint-Joseph traversée, la route 5 (route 116) parcourt 6,7 kilomètres avant de devenir la rang de la Ligne, puis encore 4,3 kilomètres pour changer de nom à nouveau, et devenir la rue Principale.  Nous ferons un peu moins de 900 mètres supplémentaires avant de croiser les premières rues du village de Saint-Agapit.

Une autre grande courbe fait en sorte qu’après quelque 200 mètres, la rue Principale s’aligne avec le rang des Pointes.  De là, nous ferons 1,1 kilomètres pour atteindre l’avenue Bergeron (route 273 nord), qui mène à Saint-Apollinaire, puis encore 600 mètres avant de croiser l’avenue Daigle (route 273 sud), qui nous conduira vers Saint-Gilles.  À la sortie du périmètre urbain, la route 5 (route 116) devient le rang Bas-de-la-Paroisse, et s’allonge sur presque 5,5 kilomètres avant d’arriver à une intersection à angle droit, à laquelle on tournera à gauche.  Il semble qu’en 1950, on avait droit à une traditionnelle “fourche”, à cet endroit, comme on en voyait encore beaucoup à l’époque.  Depuis l’intersection, la route 5 (route 116) longe la rivière Beaurivage et s’allonge sur quelque 800 mètres avant d’entrer dans la MRC Les Chutes-de-la-Chaudière, puis prend le nom de rue Principale avant de parcourir encore 4,2 kilomètres pour arriver à l’intersection du chemin Craig, intersection remplaçant une autre “fourche”, ou intersection en Y, dont on voit les vestiges environ 100 mètres plus loin.  Depuis l’intersection actuelle, nous ferons 3,8 kilomètres avant d’arriver dans un secteur plus fortement urbanisé; nous sommes à Saint-Étienne-de-Lauzon.  Après un kilomètre de plus, nous croisons la route Lagueux (route 171 nord), puis à 700 mètres de là, la route 1 sud (route 171 sud), aussi appelée rue du Pont.  De là, la route 5 se joint à la route 1 pour poursuivre son chemin en multiplex.  Nous ferons environ 1,5 kilomètres avant de sortir du périmètre très urbanisé, puis encore 6,4 kilomètres le long desquels quelques pâtés de maisons poussent ça et là; de ce point, la route 5 (route 116), toujours en multiplex avec la route 1, devient la 1ère Avenue, et entre dans un autre secteur fortement urbanisé.  Après 1,9 kilomètres, elle devient la route du Pont, et parcourt encore 1,3 kilomètres avant de voir la route 9 (autoroute 20) se joindre au multiplex, en direction de la Vieille-Capitale.  Nous sommes dans la ville de Lévis.

La route 5 (route 116), en multiplex avec les routes 1 et 9, s’allongera sur 2,5 kilomètres avant de croiser la route 3 (route 132), et de se diriger vers le pont de Québec.  Après un kilomètre, on se joint à ceux qui arrivent de Québec (route 175), dans le jeu des bretelles, mais ce sera pour moins de 100 mètres, alors qu’en bifurquant à gauche, on se lance vers la traversée du pont.  Après 550 mètres de bretelles supplémentaires, on arrive sur le tablier du pont de Québec, qui s’allonge sur presque un kilomètre, puis de là, on fera 900 mètres de plus pour prendre la bretelle vers l’avenue des Hôtels, puis à droite, sur celle-ci, on roule sur 130 mètres avant de tourner à gauche sur le chemin Saint-Louis.  Après environ 4,3 kilomètres, vous croiserez l’avenue Maguire, et la côte de Sillery; vous êtes sur la bonne voie.  Faites encore 1,1 kilomètres, et vous vous retrouverez sur la Grande-Allée.  La route 5 (route 175), en multiplex avec les routes 1 et 9, se continue sur 3,6 kilomètres, puis à partir de la porte, redevient la rue Saint-Louis.  De là, on parcourt encore 550 mètres, puis on tourne sur la rue du Fort, sur 120 mètres.  Au coin de la rue de Buade, on croise la route 2, et c’est la fin des routes 1, 5 et 9.

Les autres routes 2: Les 2A, 2B, et 2C.

Après avoir passé plus de quatre ans et demi à parcourir la route 2, nous allons maintenant faire trois routes d’un seul coup!  Ce sont des routes auxiliaires, qui se rattachaient à une route principale, à savoir la route 2, et elles se situent dans trois régions différentes.  Allons-y!

La route 2A (Bas-Saint-Laurent)

La route 2A (route 230) prend origine à l’intersection de la route 2 (route 132), à l’entrée ouest de la ville de La Pocatière.  Après 2,3 kilomètres, on atteint la rue Poiré, sur laquelle on tourne à gauche.  À 200 mètres de là, on prend une courbe, vers la droite, qui nous amène sur l’avenue Painchaud, que l’on suit pour traverser toute la ville.  À la fin de la courbe, c’est l’intersection de la rue Guimond, première traverse qui nous conduit à la route 2 (route 132), et aussi à l’autoroute 20.  Au bout d’un demi-kilomètre, on atteint le boulevard Desrochers, l’autre axe nord-sud de la ville, la rue Poiré étant bien sûr le premier.  On parcourt un autre kilomètre sur la route 2A (route 230) avant d’atteindre la rue Bérubé, seconde traverse vers la route 2 (route 132), puis encore 900 mètres pour arriver à la rue Daniel, troisième et dernière traverse en direction de la route 2 (route 132).

On croisera par la suite la route Martineau, et la rue Harton, juste à côté, ainsi que la route Hudon-Roussel, le tout à l’intérieur de moins de 900 mètres, alors que nous sommes clairement sortis de la ville.  À 1,4 kilomètres de la route Hudon-Roussel, c’est le rang de la Cannelle, puis après presque deux kilomètres, on croise la route Verbois, qui se rend à Rivière-Ouelle.  Ensuite, la route 2A (route 230) devient le boulevard Bégin, et au milieu d’une courbe, on traverse une voie ferrée; nous sommes à Saint-Pacôme-Station.  On passe le chemin du Nord-du-Rocher, parallèle à la voie ferrée, puis après 1,3 kilomètres, on croise la rue King, signe que l’on entre dans le village de Saint-Pacôme.  À 600 mètres de là, après la rue Saint-Alphonse, on traverse le pont de la rivière Ouelle, et à 600 mètres de plus, la petite rue Saint-Louis nous rattache à la rue Galarneau, qui conduit à Saint-Gabriel-de-Kamouraska.  Le boulevard Bégin longe encore la rivière Ouelle sur 300 mètres avant de s’en distancer, puis à un kilomètre de là, à l’intersection de la rue Pelletier, à droite, celle-ci semble se prolonger, à gauche, et mener vers le site d’un pont démoli qui conduisait au chemin du Nord-du-Rocher.  Un kilomètre plus loin, le chemin du Haut-de-la-Rivière, sur le site d’un parc industriel, offre un accès à l’autoroute 20 qui, comme on le sait, n’existait pas en 1950.

De là, la route 2A (route 230) se poursuit, toujours sous le nom de boulevard Bégin.  On traverse la voie ferrée après avoir parcouru 2,3 kilomètres, depuis le chemin du Haut-de-la-Rivière, puis après 2,2 kilomètres supplémentaires, on croise un accès à un chemin de desserte de l’autoroute 20.  Nous faisons encore un kilomètre et demi avant d’atteindre la route de la Station, dans le village de Saint-Phillipe-de-Néri.  400 mètres plus loin, la route 287 mène à Saint-Denis, et à Mont-Carmel.  De là, on fait 4,9 kilomètres pour atteindre le chemin Mignault, puis à un kilomètre tout juste, on croise la route Beaulieu, et la route du Pain-de-Sucre.  À 900 mètres de là, la rue Hector constitue une ancienne emprise de la route 2A (route 230) sur une longueur d’environ 350 mètres.  Après un autre 800 mètres, nous croisons les premières rues du village de Saint-Pascal; nous roulons sur l’avenue Patry.  À moins de 500 mètres plus loin, la rue Rochette, qui devient la route de Kamouraska, au-delà de son échangeur avec l’autoroute 20, nous conduit à Kamouraska.  Après un autre demi-kilomètre, on tourne à droite, sur la rue Taché, et à 600 mètres de là, on tourne à gauche, sur le boulevard Hébert.  Au bout d’environ 500 mètres, on retraverse la voie ferrée, et après avoir croisé les dernières rues du village, on arrive à la route Bélanger, qui mène à Saint-Bruno-de-Kamouraska.  À 4,5 kilomètres de la route Bélanger, deux intersections, à 40 mètres de distance; d’abord à droite, la route Tardif, puis à gauche, la route de Saint-Germain, qui mène au village du même nom.

À environ un kilomètre et demi de là, la route 2A (route 230), droite comme une flèche, devient la rue Principale, et 2,2 kilomètres plus loin, on est au beau milieu du village de Sainte-Hélène, à l’intersection de la rue de l’Église, qui conduit à l’autoroute 20.  2,5 kilomètres plus loin, nous croisons la route Ennis, qui mène à Saint-Athanase, puis au bout d’un peu plus de 3 kilomètres supplémentaires, on arrive à la route de la Station; vers la droite, elle conduit à Saint-Joseph-de-Kamouraska, mais nous la prenons à gauche.  Notons que l’actuelle route 230 continue tout droit, pour se terminer 7,7 kilomètres plus loin, à la route 51 (route 289), à Saint-Alexandre-de-Kamouraska.  À 700 mètres de l’intersection, c’est Saint-André-Station, là où nous traversons la voie ferrée, et 2,5 kilomètres plus loin, un accès à l’autoroute 20.  Un kilomètre plus loin, on croise le chemin Mississipi, puis à 2,1 kilomètre de là, la rue du Cap, et 200 mètres plus loin, la rue Principale, soit la route 2 (route 132), qui mène au coeur d’Andréville (Saint-André)

La route 2B (Montréal)

La route 2B (autoroute 520) correspond au chemin de la Côte-de-Liesse, qui débute à la route 2 (autoroute 20), au rond-point Dorval, et se termine aux routes 8 et 11A (autoroute 15, route 117), à la hauteur du boulevard Décarie, le tout sur pas plus d’une dizaine de kilomètres.

La route 2C (Québec)

La route 2C (route 138) prend ses origines à Neuville, juste à l’est de la rue Loriot, alors que le vieux chemin du Roy se sépare du nouveau chemin, qui pour l’heure s’appelle tout simplement route 138.  Donc, la route 2C parcourt 800 mètres sur le territoire de Neuville avant d’entrer à Saint-Augustin-de-Desmaures, toujours sous le vocable de route 138.  On parcourt 5,2 kilomètres avant d’apercevoir les rues d’un secteur résidentiel plus dense, et 1,3 kilomètres de plus avant d’arriver à la route de Fossambault (route 367).  De là, les résidences sont plus clairsemées, à mesure que l’on longe la grand parc industriel de Saint-Augustin, et ce jusqu’à l’échangeur de l’autoroute 40 (qui fut déjà l’autoroute 440, section Ouest), 2,8 kilomètres plus loin.  De l’autre côté de l’échangeur, la route 2C (route 138) fait 2,5 kilomètres de terres agricoles, jusqu’à ce qu’on traverse la voie ferrée, et ça redevient plus résidentiel.  Nous sommes dans la ville de Québec, arrondissement Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge.  À 2,7 kilomètres de la voie ferrée, à la hauteur de la rue Octave-Tessier, les nombreux hôtels nous annoncent que l’on entre dans un secteur commercial de Sainte-Foy, et 1,3 kilomètres plus loin, on croise la route de l’Aéroport (autoroute 540).  À 2,8 kilomètres de là, on passe sous l’autoroute Henri-IV (autoroute 73), tout en ayant traversé la ville de l’Ancienne-Lorette, et atteint l’arrondissement Les Rivières.  On parcourt encore 3 kilomètres avant de traverser l’autoroute Robert-Bourassa (autoroute 740), puis encore 1,6 kilomètres avant d’atteindre la bretelle de l’avenue Saint-Sacrement.  La route 2C quittera donc la route 138 pour suivre l’avenue sur 250 mètres, puis tourner à gauche, sur la rue Saint-Vallier-Ouest, et ainsi entrer dans l’arrondissement La Cité–Limoilou.

Sur un kilomètre, la rue Saint-Vallier-Ouest longe un cimetière, soit jusqu’à l’avenue du Pont-Scott.  On mettra ensuite 1,8 kilomètre pour atteindre le boulevard Charest-Ouest, puis un autre 150 mètres pour traverser le boulevard Langelier, et atteindre la rue Saint-Vallier-Est, cette fois à sens unique.  La route 2C continue son parcours sur cette rue très étroite, à tout le moins sur les 600 mètres qui séparent le boulevard Langelier de la Côte d’Abraham.  Toutefois, 550 mètres plus loin, soit juste après les viaducs de l’autoroute Dufferin-Montmorency (autoroute 440, section Est), on revient à la configuration très étroite, et ce, sur les 200 mètres qui restent.  Parce que de là, la rue fut fermée, et n’est plus qu’un passage piétonnier.  Il faut faire un détour par les rues Vallière, des Prairies, et Saint-Nicolas (260 mètres au total), avant de prendre la Côte du Palais, et monter ainsi les 280 mètres qui restent jusqu’à la rue Saint-Jean, au coeur de la ville fortifiée, et arriver ainsi à la fin de la route 2C.