La route 5 – (1) De Richmond à Victoriaville

La route 5 commence à quelques pas du vieux pont de la rivière Saint-François, à l’intersection de la rue Principale, dans la petite ville de Richmond; à gauche, c’est la rue Principale Nord, à droite, la rue Principale Sud, et aussi la route 22 sud, la route 22 nord étant derrière, rejoignant l’autre rive de la Saint-François, via la rue Bridge, et bien entendu, le vieux pont.  La route 5 s’appelle la rue Craig, nom qui évoque l’un des principaux chemins de colonisation du territoire, ce chemin étant également la première route reliant Québec et Boston.  Après un demi-kilomètre, on traverse une voie ferrée, et 200 mètres plus loin, on croise la 7e Avenue.  À 180 mètres de là, on arrive à la route 143 actuelle, la route 122 ouest actuelle étant vers la gauche.  La route 5 (route 122 est) se poursuit en croisant quelques rues et chemins sur environ 1,1 kilomètres, soit jusqu’à la rue de l’Escale qui, au bout de 80 mètres, rejoint un ancien alignement de la route 5, appelé 1ère Avenue, et qui s’étire sur près de 700 mètres, soit jusqu’à la rue du Sommet, que l’on prend à droite sur 90 mètres pour revenir à la route 122 actuelle.  Le dernier tronçon de l’ancien alignement n’existe plus, mais on peut en voir quelques restes, via les images de Google Maps, qui permettent de déduire qu’il faisait encore 300 mètres.  Depuis la rue du Sommet, on croise quelques routes, comme le chemin Masson, à 650 mètres, le chemin Blais, 1,6 kilomètres plus loin, puis à un kilomètre de là, le chemin Bédard, qui fait une boucle, et revient à la route 5 (route 122) environ 100 mètres plus loin.  Viennent ensuite le chemin du Camp (550 mètres), le chemin Barrie (400 mètres), et les chemins Lalonde à gauche, et Turcotte à droite (400 mètres).

Certaines maisons sont parfois éloignées de la route, ce qui démontre qu’elles étaient le long d’un ancien alignement de la route 5.  On peut rejoindre une section de cet ancien alignement, le chemin des Érables, via le chemin Toussaint, situé à un peu plus de 800 mètres des chemins Lalonde et Turcotte.  On croisera ensuite le chemin Denison, à 1,2 kilomètres, puis 300 mètres plus loin, on quitte la MRC Le Val-Saint-François pour entrer dans la MRC Asbestos.  On fera encore 1,1 kilomètres pour atteindre un bout de chemin, à droite, appelé chemin Craig, qui est l’arrivée d’un autre ancien alignement de la route 5.  Après 3,2 kilomètres, on atteint le chemin de la Vallée, puis se succèdent le chemin Demers (500 mètres), le chemin Goodenough Est et la rue Lafrance, qui se font face (220 mètres), et la rue du Carmel (280 mètres); c’est à cet endroit que l’on quitte le vieux chemin Craig afin de contourner la petite ville de Danville.  On croisera les chemins Bennett et Noble, qui se font face, 800 mètres plus loin, puis encore 1,6 kilomètres, suivant de plus ou moins près la voie ferrée, pour atteindre la rue Daniel-Johnson (route 255 nord), qui permet d’atteindre Saint-Félix-de-Kingsey, en tournant à gauche, et le centre-ville de Danville en prenant la droite.  De là, la route 5 (routes 116 et 255) se poursuit, croisant quelques rues, sur un kilomètre et demi, pour ensuite croiser la route 255 sud, qui conduit à Asbestos, puis rejoint le chemin Turcotte (un autre), 500 mètres plus loin.

La route 5 (route 116) continue sur 4,7 kilomètres, croisant quelques chemins, ça et là, avant d’atteindre le chemin Castle Bar, qui conduit à un hameau aujourd’hui appelé Kingsey Station, mais qui s’appelait Castlebar selon ma carte de 1950.  À 1,7 kilomètres de là, nous quitterons la route 116 actuelle pour suivre l’ancien alignement de la route 5, via le boulevard Kingsey.  Après 250 mètres, nous changeons encore de MRC, cette fois pour entrer dans la MRC Arthabaska, puis ferons encore 4,3 kilomètres, puis tournerons à gauche, sur la rue Tardif, et roulerons près d’un kilomètre pour atteindre le boulevard Marie-Victorin.  Il faut comprendre ici que le boulevard Kingsey était autrefois le chemin Tardif, et que l’on poursuit sur cette rue afin de respecter l’ancien alignement de la route 5.  Nous sommes dans le village de Kingsey Falls.  On tourne donc à droite sur Marie-Victorin, en traversant le village, et passant devant les installations de la papetière Cascades, sur 1,6 kilomètres avant d’atteindre le rang 13, puis sur un peu plus de 4 kilomètres supplémentaires afin de rejoindre à nouveau la route 116 actuelle.  Ensuite, sur plus de 5 kilomètres se succèderont fermes laitières, terres de culture, et routes de campagne, avant d’atteindre un point où les poteaux électriques longent un ancien alignement de la route 5.  Environ 400 mètres plus loin, nous prendrons la bretelle, à droite, qui conduit vers la rue Saint-Louis; nous sommes à Warwick.  Après 230 mètres, nous croiserons le chemin Chabot, qui constitue l’autre bout de cet ancien alignement de la route 5, qui se poursuit sur la rue Saint-Louis.  Nous ferons environ 900 mètres avant d’entrer dans la ville proprement dite; nous passerons l’usine de la firme RockTenn, puis le pont de la rivière des Pins, et d’autres usines, avant d’atteindre le centre-ville.  L’intersection principale nous relie à la rue de l’Hôtel-de-ville, à gauche, qui conduit à Saint-Albert-de-Warwick, et à l’autoroute 955, et à droite, la rue Saint-Joseph, qui mène vers Tingwick.   Depuis cette intersection, nous ferons encore 1,7 kilomètres avant d’arriver au chemin Lemay, qui consiste en l’ancien alignement original de la route 5, alors que nous prendrons à gauche, et ferons environ 150 mètres avant de tourner à droite, à l’intersection de la route 116.

Après 6,1 kilomètres, on voit la route Pouliot, qui constitue un autre ancien alignement de la route 5; toutefois, l’accès à la route Pouliot ayant été fermé, nous devrons faire 700 mètres de plus, et tourner à droite sur le rang Chicago, et rouler sur 220 mètres pour ensuite tourner à gauche sur la route Pouliot, et suivre la route 5.  Nous faisons ainsi 2 kilomètres, et juste avant d’atteindre une intersection en forme de T, une petite rue, à droite, nous permet de suivre la route 5 originale, sur 120 mètres encore, avant de tourner à droite afin de rester sur la route Pouliot, parce qu’à gauche, c’est l’avenue Pie-X.  La route 5 (route 161) se poursuit ainsi sur un peu plus de 550 mètres, par-delà le pont Baril, qui enjambe la rivière Nicolet, avant de tourner à gauche, sur la rue Laurier-Ouest.  Nous parcourrons environ 900 mètres sur la route 5 avant de tourner encore à gauche, cette fois sur la route 34, aussi appelé boulevard des Bois-Francs-Sud.  Bienvenue à Arthabaska, maintenant devenue un secteur de la ville de Victoriaville.

La route 3 – (4) De Boucherville à Sorel-Tracy

Nous nous sommes arrêtés à la sortie nord du viaduc du boulevard Marie-Victorin, juste entre la voie rapide (route 132) et le fleuve Saint-Laurent.  La route 3 devient une petite route bucolique, qui longe le fleuve sur une distance de 2,3 kilomètres avant de laisser le littoral à la rue Sainte-Famille.  300 mètres plus loin, après la rue de Niverville, la rive du fleuve est occupée par des maisons cossues, construites sur des terrains plus profonds, et ce sur environ 650 mètres, après quoi les terrains redeviennent suffisamment étroits pour laisser voir les eaux du fleuve à travers les arbres.  Après 1,6 kilomètre, on ne voit plus de rues, à droite.  On se retrouve dans un secteur peu développé, où il n’y a des maisons que sur le bord du fleuve.  À mesure que l’on s’éloigne de la rive, on trouve le chemin de la Côte-d’en-Bas, à 800 mètres puis, 450 mètres plus loin, à la hauteur de la montée Langevin, le boulevard Marie-Victorin se sépare de la route Marie-Victorin; le boulevard est probablement une ancienne emprise de la route 3, mais en 1950, et ma carte est assez précise là-dessus, cette fois, la route 3 se poursuit sur la route Marie-Victorin.  C’est donc le chemin que nous suivrons.

À 500 mètres de l’intersection, juste comme nous passons sous des lignes à haute tension, nous quittons Boucherville pour entrer sur le territoire de la ville de Varennes.  Après environ 900 mètres, la route 3 vient longer une voie ferrée, et traverse un secteur plus développé, croisant le boulevard de la Marine 700 mètres plus loin.  Après un autre 500 mètres, le boulevard Marie-Victorin, devenu le chemin de la Côte-d’en-Haut au passage à Varennes, vient se rattacher à la route Marie-Victorin.  Nous allons parcourir encore à peu près 500 mètres avant que la route Marie-Victorin se rattache à la route 132 actuelle, face à la rue de l’Aqueduc.  Nous tournerons donc à gauche, et traverserons le centre-ville de Varennes.  400 mètres plus loin, nous croisons la rue Sainte-Anne, une ancienne emprise de la route 3, mais qui date, elle aussi, d’avant 1950.  Nous poursuivrons donc notre périple sur la route Marie-Victorin.  Après avoir franchi environ 700 mètres, la route 3 (route 132) se rapproche à nouveau de la voie ferrée, qui se dessine derrière une rangée d’arbres.  Puis, 1,1 kilomètre plus loin, une intersection, avec feux de circulation; à gauche, la rue Sainte-Anne, et à droite, la montée de Picardie, qui conduit à l’autoroute 30.  C’est ici que se termine le secteur commercial de Varennes, et que l’on entre dans un secteur d’industries lourdes qui s’étendra sur environ 2,8 kilomètres avant de revenir à des terres agricoles, puis on fera encore 650 mètres avant de croiser le chemin de la Côte Bissonnette, soit l’autre bout de l’ancienne emprise de la route 3, celle d’avant 1950, qui a commencé à la première intersection de la rue Sainte-Anne.  Ensuite se mêleront terres agricoles, fermes bien établies et maisons riveraines sur 1,2 kilomètre, alors que nous passerons la montée de la Baronnie puis, à 350 mètres de là, on voit l’entrée de l’usine de S. C. Johnson, où l’on fabrique les fameux sacs Ziploc.  Après 2,5 kilomètres supplémentaires, nous entrons à Verchères.

Nous parcourons 2,7 kilomètres avant d’atteindre les premières rues du village de Varennes, puis un autre kilomètre et demi pour arriver à la montée Calixa-Lavallée, qui conduit à un secteur commercial et industriel, puis à l’autoroute 30, et représente aussi le centre du village.  Après 650 mètres, on revient aux terres agricoles, et aux maisons du bord du fleuve.  À 1,2 kilomètre de là, la montée Chicoine-Larose, à droite, qui mène à l’autoroute 30, puis au village de Calixa-Lavallée, municipalité qui, en 1950, s’appelait Sainte-Théodosie.  Le nom fut changé le 7 septembre 1974, pour rappeler la mémoire de Calixa Lavallée, auteur et compositeur, entre autres de l’hymne national du Canada, et natif de ce village.  La route 3 (route 132) se continue sur 3,75 kilomètres, dans les limites de Varennes, après quoi nous entrons à Contrecoeur; la ville doit son nom, à consonnance un peu négative, à Antoine Pécaudy, sieur de Contrecoeur, et capitaine du régiment de Carignan-Salières, qui fonda un établissement en ce lieu en 1667.  Comme la première mention, dans le registre paroissial, fut inscrite en 1668, c’est donc dire que la ville fêtera son 350e anniversaire en 2018.  On n’a fait que 400 mètres dans cette municipalité que l’on croise la montée Lapierre, ancienne emprise d’avant 1950, qui consiste en une ancienne courbe plutôt prononcée.  La route 3 (route 132) se poursuit donc sur la route Marie-Victorin.  À 1,2 kilomètre de là, l’autre intersection de la montée Lapierre puis, 800 mètres plus loin, on traverse les installations sidérurgiques de la firme française Arcelor Mittal, autrefois la Sidbec-Dosco, qui s’étendent sur pas moins de 3,25 kilomètres, soit jusqu’à la montée de la Pomme d’Or.  De là, on roule un kilomètre de plus pour atteindre les premières rues résidentielles.

Le coeur du village, qui s’est fortement agrandi depuis la construction de l’autoroute 30, s’étend sur aussi long que 3,1 kilomètres, alors que 5,3 kilomètres plus loin, on croise la route 47, aujourd’hui appelée montée Saint-Roch, mais qui était en gravier, en 1950, route qui conduit à l’autoroute 30, à la route 223, à Saint-Roch-de Richelieu, et au traversier conduisant à Saint-Ours, et tout cela en moins de 5 kilomètres et demi.  Quant à la route 3 (route 132), elle fait encore près de 7,5 kilomètres dans la ville de Contrecoeur avant d’entrer sur le territoire de la ville de Sorel-Tracy.  À 850 mètres de la limite municipale, on croise le chemin du Golf, première route transversale à relier directement la route Marie-Victorin (route 132) et le chemin Saint-Roch (route 223), puis on entre dans un secteur industriel dans lequel on voit, 1 kilomètre plus loin, le site de la centrale thermique de Tracy, propriété d’Hydro-Québec.  Cette centrale fut construite à partir de 1962, par la Shawinigan Water and Power, avant la nationalisation de l’électricité, et graduellement mise en service entre 1964 et 1968.  Elle produisait 660 mégawatts d’électricité, en production maximale, à partir de mazout lourd.  Elle fut définitivement fermée le 1er mars 2011, et son démantèlement fut entrepris en 2013.  C’est donc dire qu’en fonction de la date où vous visiterez le secteur, il se peut que vous ne voyiez que l’emplacement de cette centrale.

Viennent ensuite d’autres axes transversaux vers le chemin Saint-Roch (route 223), à savoir la boulevard de Tracy, à 2,3 kilomètres du site de la centrale de Tracy, boulevard qui s’appelait boulevard de la Mairie, à l’époque où Sorel et Tracy furent deux villes séparées, le boulevard des Érables, 850 mètres plus loin, puis, à un plus plus d’un kilomètre de là, la rue Saint-Louis.  À un peu plus de 400 mètres de la rue Saint-Louis, on passe devant les installations d’Atlas Acier Inoxydable, puis celles de Rio Tinto-Fer et Titane, et après 1,7 kilomètre d’usines, retour des rues résidentielles.  À 600 mètres de là, le chemin Saint-Roch (route 223) mène vers Saint-Roch-de-Richelieu, Saint-Antoine-sur-Richelieu, Saint-Marc-sur-Richelieu, et Beloeil.  400 mètres plus loin, on monte sur le seul pont-levis de la route 3 (route 132), le pont Turcotte.

La route 3 – (3) De Châteauguay à Boucherville

La dernière fois, nous sommes arrivés sur le boulevard René-Lévesque, à Châteauguay, et sommes tournés à gauche sur la rue Principale.  Après 2,3 kilomètres, on arrive à un carrefour giratoire, et juste après, on traverse la rivière Châteauguay, via le pont Arthur-Laberge.  Dans les 100 premiers mètres, de l’autre côté du pont, il y a les intersections du boulevard Salaberry Sud; d’abord, à gauche, en direction ouest, avec un feu de circulation, puis plus loin, en faveur d’une bifurcation à droite, pour prendre ce même boulevard en direction est.  Mais nous resterons sur la route 3, et qui, depuis le pont, se nomme boulevard d’Anjou, une artère commerciale longue de 2,3 kilomètres, et qui s’étend jusqu’à la route 4 (route 132/138) aussi appelé boulevard St-Jean-Baptiste, sur lequel nous tournerons à gauche; nous nous retrouvons donc en multiplex avec la route 4, pour la suite.

Au bout d’un kilomètre virgule deux, soit à la hauteur du boulevard Saint-Francis, nous entrons dans la réserve de la Première nation de Kahnawake, qui était appelée tout simplement la réserve indienne de Caughnawaga, en 1950.  On roule sur 3,4 kilomètres avant de prendre une courbe vers la droite, où se trouve, environ 400 mètres plus loin, l’intersection de la Blind Lady’s Hill Road, vers la gauche, route que nous allons prendre.  À partir d’ici, par contre, il faudra être très respectueux, parce que les autochtones aiment bien avoir la paix.  Après un kilomètre, à l’intersection de la rue Kirby, la route 3 devient la Church Road, sur environ 700 mètres, après quoi nous garderons la droite, devant une pointe, pour poursuivre notre chemin sur la Old Malone Highway, la Church se poursuivant à gauche.

Depuis cet endroit, on parcourt 1,5 kilomètre avant d’atteindre l’intersection du Veterans Boulevard; on bifurque à gauche pour passer dans un petit tunnel, sous la voie ferrée, après lequel on garde la droite pour continuer sur la Old Malone Highway.  On passera alors sous les bretelles du pont Honoré-Mercier, sur lequel se poursuit la route 4 (route 138), sauf que les accès de l’époque n’existent plus; le pont ayant été surélevé, lors de la construction de la voie maritime du fleuve Saint-Laurent, tout a été réaménagé, et les vieux accès furent détruits.  Les bretelles de 1950 se situent à peu près à 150 mètres de la sortie du petit tunnel; disons que c’est là que le multiplex se termine, et poursuivons sur la Old Malone Highway.  Un kilomètre plus loin, c’est l’endroit où la route 3 se poursuivait de l’autre côté de la voie maritime; nous ferons donc 350 mètres de plus sur l’actuelle Old Malone Highway pour prendre la route 9C (route 132), en tournant à gauche.  L’ancienne Old Malone Highway, puis sa suite, hors du territoire de Kahnawake, qui se trouvent de l’autre côté du canal de la voie maritime, sont visitables à pied ou à vélo, via le Récré-O-Parc de Sainte-Catherine, accessible depuis le boulevard Marie-Victorin, où nous passerons, un peu plus loin.

Après avoir roulé pendant 3,1 kilomètres, sur la route 9C (route 132), nous quittons le territoire de la Première nation de Kahnawake, pour entrer sur celui de la ville de Sainte-Catherine, puis, à 300 mètres de là, on arrive à l’intersection de l’autoroute 730 actuelle, ancien tronçon de l’autoroute 30.  C’est que selon les plans originaux, l’A-30 devait suivre le tracé de la route 9C (route 132), mais de multiples changements ont eu lieu.  Concentrons-nous plutôt sur le retour vers la route 3.  Depuis l’intersection, nous allons parcourir un kilomètre, puis tourner à gauche sur la 1ère Avenue.  Nous passerons dans un parc industriel sur 650 mètres, puis tournerons à droite sur le boulevard Saint-Laurent.  De là, nous roulerons un peu plus de 400 mètres, puis le paysage passera d’un parc industriel à un secteur résidentiel.  Après 450 mètres de plus, nous tournerons à gauche sur la rue Centrale.  Après 650 mètres, la rue Centrale devient le boulevard Marie-Victorin, et longe un beau petit canal, à gauche.  350 mètres plus loin, à la hauteur de la rue du Canal, c’est l’endroit où la route 3 retrouve la terre ferme, après avoir été coupée par la voie maritime, et à 50 mètres de là, c’est l’accès au Récré-O-Parc, officiellement appelé promenade du Pont-Levant.

La route 3 se continue donc sur le boulevard Marie-Victorin, sur une distance de près de 2,6 kilomètres; à cet endroit, nous traversons la rivière de la Tortue, passant ainsi de Sainte-Catherine à Candiac.  800 mètres plus loin, nous voyons une intersection; à droite, c’est le chemin Saint-François-Xavier, et devant, c’est l’avenue d’Iberville.  Nous tournerons à gauche, sur la route 3, qui demeure le boulevard Marie-Victorin.  Au bout de 1,35 kilomètre, nous sortons de Candiac pour entrer à La Prairie, puis à 650 mètres de là, le boulevard Marie-Victorin est raccordé à la rue Salaberry; de ce point, la route 3 (route 132/autoroute 15) devient malheureusement une voie rapide, soit l’autoroute René-Lévesque.  Nous passerons donc sous le viaduc, et tournerons à gauche, pour la suivre.  À 1 kilomètre de là, la sortie vers la rue Saint-Henri, qui remplace l’ancienne intersection du chemin de Saint-Jean, nous mènera vers la route 9A (route 104), qui relie Saint-Jean-sur-Richelieu.  Après 2,9 kilomètres, on traverse la rivière Saint-Jacques, ce qui nous fait passer de La Prairie à Brossard, puis tout de suite après, le boulevard Marie-Victorin emprunte les voies de service, toujours dans l’emprise de la route 3 (route 132/autoroute 15).  Après environ 3,9 kilomètres, nous passons sous le pont Champlain (autoroutes 10, 15, et 20 ouest), puis 600 mètres plus loin, la route 3 quitte la voie rapide (route 132/autoroute 20), à la fin du collecteur sud, pour arriver, après quelque 700 mètres, au point de passage de Brossard à Saint-Lambert, où le boulevard Marie-Victorin devient la rue Riverside, puis, 150 mètres plus loin, à l’intersection de la route 7 (boulevard Simard).

La route 3 suit ainsi la rue Riverside sur 900 mètres, depuis l’intersection de la route 7, puis reviendra longer l’autoroute René-Lévesque (route 132/autoroute 20), passant sous le boulevard Sir-Wilfrid-Laurier (route 112, pont Victoria) à 1,1 kilomètre, avant de s’en distancer à nouveau, à la hauteur de l’avenue Notre-Dame, 1,2 kilomètre plus loin.  La route 3 longera alors, sur sa gauche, un immense parc, sur 1,4 kilomètre, après quoi nous entrerons dans la ville de Longieuil, à la hauteur du chemin Tiffin.  À partir de là, la rue Riverside devient la rue Saint-Charles ouest.  À moins de 600 mètres de là, nous traversons un quartier qui s’est autrefois appelé Montréal-Sud, passant sous le pont Jacques-Cartier (route 134), puis, 750 mètres plus loin, au-dessus du boulevard Taschereau, puis à 300 mètres de là, arrivant à l’intersection de la rue Joliette, porte d’entrée du vieux Longueuil.  Dans ce secteur, où la limite de vitesse descend par endroits à 30 km/h, nous croiserons la route 1 (chemin de Chambly) à environ 1,3 kilomètre de la rue Joliette; la rue Saint-Charles Ouest devient alors la rue Saint-Charles Est.  À 800 mètres de là, à la hauteur de la rue d’Auvergne, la rue Saint-Charles Est devient une route à chaussées séparées, passe sous le viaduc du boulevard Roland-Therrien puis, au niveau de la rue Geoffrion, redevient le boulevard Marie-Victorin, et tout cela sur une distance de 650 mètres, après quoi la route 3 suit à nouveau l’Autoroute René-Lévesque (route 132/autoroute 20) sur une distance de 3,4 kilomètres, avant de contourner l’échangeur vers le pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine (route 132/autoroutes 20 et 25), faisant ainsi un détour de 1,3 kilomètre, et revenir longer la voie rapide (route 132) sur encore 1,5 kilomètre, ce faisant en traversant de Longueuil à Boucherville.  Ensuite, la route 3 passe au-dessus de la voie rapide (route 132), puis retourne à son emplacement d’origine, suivant le littoral du fleuve.