L’ex de Max Bernier: La pôv’ madame est dévastée!

Que vois-je à la une du Journal de Montréal* de ce matin?  Évidemment, la tronche de Julie Couillard, l’ex du ministre Maxime Bernier. Mais c’est surtout la phrase, que j’ai retenu; « Ma vie est détruite ».

En ouvrant le journal, c’est à dire en retirant le paquet de cahiers spéciaux (Votre argent, Votre maison, Votre week-end, Mes profits, etc.), et en regardant à la page 3, le titre de l’article est clair; « Julie Couillard dévastée« .  Mais bon, je prends le temps de lire.  Nicolas Dubois, celui qui signe le papier, dit que lors de son passage, hier, à son domicile de Laval, « elle était cernée, avait le teint pâle, et semblait avoir dormi peu depuis les derniers jours ».  Puis, après quelques secondes, probablement, puisque le scribe dit l’avoir rencontré « brièvement », elle aurait lancé « Vous, les journalistes, vous avez détruit ma vie », avant de refermer la porte calmement.  Pour raccourcir une longue histoire, mettons que la madame était maganée.  Avait-elle reçu des menaces d’autres membres de groupes criminalisés?  Avait-elle fait la fête jusqu’au milieu de la nuit?  Se serait-elle fait engueuler par des membres de sa famille?  La « machine politique » fédérale l’aurait-elle sommé de se tenir peinarde?  Je crois que nous n’en saurons jamais rien.  Nicolas Dubois ne dit pas, toutefois, à quelle heure il est passé, hier; si madame Couillard venait à peine de se lever, cela expliquerait également son air fatigué.

Évidemment, le Journal se défend bien d’avoir mis le nom de la madame en première ligne, reprochant au passage à La Presse de n’avoir pas brouillé la photo, contrairement à eux.  Bref, du vrai Journal de Montréal.  Il y a, bien entendu, un deuxième texte, cette fois de la Presse canadienne, qui raconte que selon Michel Juneau-Katsuya, un ancien membre du Service canadien de renseignement de sécurité (SCRS), le risque était suffisamment « crédible » pour que madame Couillard fasse l’objet d’une enquête de sécurité.  Ceci dû au fait que la dame a fréquenté au moins deux membres de groupes criminalisés, dans les années 1990.  Mais ce n’est pas ce point que je veux commenter, ce matin.

En tous cas, une chose est certaine.  Si Julie Couillard aime les sensations fortes, elle en aura vécu pas mal, cette dernière semaine.  Et pas nécessairement celles qu’elle aime vivre.  Et là-dessus, il y a un point sur lequel je serai très honnête, et c’est le suivant.  Quand on ne veut pas se mouiller, on se tient loin de la piscine!  Il est tout à fait évident que si elle a accepté de fréquenter un ministre, et le fait qu’il soit fédéral ou provincial n’a aucune importance, elle devait aussi accepter le fait que des journalistes aillent fouiller un peu – beaucoup – dans sa vie passée, aussi privée puisse-t-elle être.  Et quand on a des squelettes dans son placard, la scène politique ne pardonne pas.  Parlez-en à André Boisclair.

En résumé, et ce même si, personnellement, elle n’a rien à se reprocher, Julie Couillard a tout simplement joué avec le feu.  Maintenant, elle est, pour ainsi dire, « brûlée ».  Et à moins qu’elle n’ait été entraînée de force dans toute cette histoire, elle n’a personne d’autre à blâmer qu’elle-même.

* Ben ouais, j’me suis fait prendre comme un débutant, et me v’là abonné pour 6 mois!

Environnement: Une autre étude qui dit que les pro-CO2 ont tout faux!

Un article publié sur le site Canoë, signé Virginie Roy, cite Futura-Sciences, dans lequel des scientifiques prétendent que le réchauffement climatique n’est qu’une fausse impression, et que l’on tendrait plutôt, en réalité, vers une ère glaciaire.  Madame Roy cite deux scientifiques, à savoir Robert Toggweiler, du Geophysiscal Fluid Dynamics Laboratory de l’Université de Princeton, et Joellen Russell, professeur assistant en biochimie dynamique de l’Université d’Arizona.  Ceux-ci disent que les modèles actuels, qui tentent de démontrer que les eaux de fonte polaire réchauffent les océans et gênent la remontée vers le nord des eaux chaudes équatoriales, auraient tout faux.

Même que Joellen Russell dit « Nous n’avions pas remarqué ce qui était pourtant devant nos yeux. Ce n’est pas la fonte des glaces, mais plutôt la circulation des vents qui pousse les courants marins depuis les zones tropicales en direction du nord. Jusqu’à présent, les modèles climatiques n’ont pas correctement intégré les effets du vent sur la circulation océanique, donc les chercheurs ont compensé l’erreur en surestimant l’importance du rôle de l’Homme dans la fonte de la glace polaire. »  Si l’on se fie à ces chercheurs, les Al Gore de ce monde ont réussi à culpabiliser toute la population mondiale avec… du vent!

Depuis le temps que je dis que la thèse du CO2 n’est rien d’autre que du lobbyisme, on commence enfin à dévoiler des études qui le prouvent.  L’article de Virginie Roy en cite plusieurs.  Même que depuis que certains pro-environnement tentent de vendre publiquement l’idée de déclencher des cataclysmes pour « refroidir » la planète, à grands coups de milliards de dollars, mes dires deviennent évidents.  Le meilleur régulateur climatique de la planète est pour l’instant, et demeurera pour l’éternité, la planète elle-même.  Mais il faudra réussir à convaincre les chefs de gouvernement de cette vérité claire et nette, et ça, ce ne sera pas du gâteau, car le lobby des environnementalistes est maintenant très puissant.  J’ai l’impression de me répéter, mais je vais le dire à nouveau:

IL NE FAUT PAS TENTER D’ADAPTER LA PLANÈTE AUX HUMAINS; IL NOUS FAUT, COMME ÊTRES HUMAINS, NOUS ADAPTER À LA PLANÈTE.