Environnement: C’est long, mais la vérité commence à sortir

Mardi dernier, le 4 mars, quelques articles ont été publiés sur le site Canoë, ainsi que sur LCN, articles qui commencent à démontrer que la thèse du CO2, soutenue par Al Gore, entre autres, ainsi que par la plupart des environnementalistes, pour expliquer les changements climatiques que l’on connaît actuellement, prend de plus en plus de plomb dans l’aile.

Dans un premier, signé par Virginie Roy, Al Gore, tout de même récipiendaire d’un Oscar pour son film « An Inconvenient Truth », ainsi qu’un prix Nobel de la paix, fut carrément ridiculisé lors d’une conférence organisée par l’institut Heartland, que madame Roy décrit comme “une organisation libertaire à but non lucratif qui étudie les questions environnementales et autres”.  L’auteure de l’article citait le portail Actualités News Environnement.  Puis, dans un entrefilet du site LCN, on mettait un lien vers des images captées par un engin spatial robotisé en orbite autour de la planète Mars, images montrant une série d’avalanches près du pôle Nord de la planète rouge.  Bien que les chercheurs de la NASA n’aient pas encore déterminé le déclencheur de ces avalanches ni leur fréquence, ou encore si elles se produisent seulement au printemps, il est permis de croire que des changements climatiques s’opèrent dans tout le système solaire, et non pas seulement sur la Terre, endossant ainsi la thèse de l’activité solaire.  Bref, cela reste à approfondir.

Le dernier article à avoir attiré mon attention, également sous la plume de Virginie Roy, vient prouver que, comme toutes les religions, le mouvement environnemental a aussi ses extrémistes.  L’article fait état d’un incendie à Seattle, dans l’état de Washington, qui a ravagé plusieurs maisons de luxe, dans une banlieue de la ville.  Citant toujours Actualités News Environnement, madame Roy dit que ce groupe d’écoloterroristes avait déjà revendiqué des actions similaires, dans le passé, et qu’il est actif depuis une dizaine d’années.

Bref, les tenants de la thèse du CO2 commencent à voir leur muraille se lézarder, et la vérité fait lentement son chemin à travers la vision apocalyptique imposée par la plupart des environnementalistes.

Environnement: Une autre étude qui dit que les pro-CO2 ont tout faux!

Un article publié sur le site Canoë, signé Virginie Roy, cite Futura-Sciences, dans lequel des scientifiques prétendent que le réchauffement climatique n’est qu’une fausse impression, et que l’on tendrait plutôt, en réalité, vers une ère glaciaire.  Madame Roy cite deux scientifiques, à savoir Robert Toggweiler, du Geophysiscal Fluid Dynamics Laboratory de l’Université de Princeton, et Joellen Russell, professeur assistant en biochimie dynamique de l’Université d’Arizona.  Ceux-ci disent que les modèles actuels, qui tentent de démontrer que les eaux de fonte polaire réchauffent les océans et gênent la remontée vers le nord des eaux chaudes équatoriales, auraient tout faux.

Même que Joellen Russell dit « Nous n’avions pas remarqué ce qui était pourtant devant nos yeux. Ce n’est pas la fonte des glaces, mais plutôt la circulation des vents qui pousse les courants marins depuis les zones tropicales en direction du nord. Jusqu’à présent, les modèles climatiques n’ont pas correctement intégré les effets du vent sur la circulation océanique, donc les chercheurs ont compensé l’erreur en surestimant l’importance du rôle de l’Homme dans la fonte de la glace polaire. »  Si l’on se fie à ces chercheurs, les Al Gore de ce monde ont réussi à culpabiliser toute la population mondiale avec… du vent!

Depuis le temps que je dis que la thèse du CO2 n’est rien d’autre que du lobbyisme, on commence enfin à dévoiler des études qui le prouvent.  L’article de Virginie Roy en cite plusieurs.  Même que depuis que certains pro-environnement tentent de vendre publiquement l’idée de déclencher des cataclysmes pour « refroidir » la planète, à grands coups de milliards de dollars, mes dires deviennent évidents.  Le meilleur régulateur climatique de la planète est pour l’instant, et demeurera pour l’éternité, la planète elle-même.  Mais il faudra réussir à convaincre les chefs de gouvernement de cette vérité claire et nette, et ça, ce ne sera pas du gâteau, car le lobby des environnementalistes est maintenant très puissant.  J’ai l’impression de me répéter, mais je vais le dire à nouveau:

IL NE FAUT PAS TENTER D’ADAPTER LA PLANÈTE AUX HUMAINS; IL NOUS FAUT, COMME ÊTRES HUMAINS, NOUS ADAPTER À LA PLANÈTE.

Environnement: Ça suffit, j’en ai assez lu!

L’article de Vivian Song, du Journal de Montréal, commence avec une phrase frappante; « Voici une idée intéressante: injecter des millions de tonnes d’aérosols dans l’atmosphère pour réduire le réchauffement de la planète. »  Ma réaction; …et pis quoi, encore?

Dans son article titré « Éruption d’une nouvelle théorie« , elle parle d’augmenter la quantité de soufre naturel dans la stratosphère en utilisant des ballons et des canons d’artillerie lourde.  Madame Song cite un article paru en 2006 (!) dans la revue Climate Change, signé par Paul J. Crutzen, gagnant d’un prix Nobel.  Vous voulez mon point de vue?  Si le magazine Climate Change ne publie que des articles sur des théories aussi foireuses, il vaudrait mieux cesser de gaspiller des arbres pour le publier.  Quant à Crutzen, et à Vivian Song, ils devraient trouver des idées intéressantes pour refroidir leur petit cerveau…

Mais admettons qu’une telle théorie soit vraiment efficace.  Il en coûterait, toujours selon ces charlattans, la modique somme de 50 milliards de dollars.  Tous les pays ont ça dans leurs coffres, évidemment.  L’article de madame Song, sans doute pour tenter de donner un tant-soit-peu de crédibilité à la théorie de Crutzen, fait état du volcan Tembora, en Indonésie, qui a fait éruption en 1815, et qui avait projeté suffisamment de soufre dans l’atmosphère pour refroidir la planète.  L’été suivant fut le théâtre de gels et de pluies partout dans le monde; le texte dit que le Québec a reçu « près de 30 centimètres de neige en juin, tandis que la majorité des pays étaient dévastés par le mauvais temps et plongés dans la famine. »  Je me demande si les environnementalistes préfèrent gueuler devant la situation actuelle, ou plutôt précipiter la Terre vers une famine où, encore une fois, ce sont les pays les plus pauvres du globe qui écoperaient.

Personnellement, les auteurs de telles théories devraient être jugés pour complot dans le but de commettre un crime contre l’humanité.  L’article de madame Song vient de mettre fin au peu de crédibilité que j’accordais encore à la thèse de la sauvegarde de l’environnement.  Désormais, mon slogan environnemental sera le suivant:

SAUVEZ LA PLANÈTE; PLANTEZ… UN ENVIRONNEMENTALISTE!