A-50 (2011): On arrive à Montebello!

Ces photos ont été prises aussi loin que le 29 octobre!  La plupart d’entre-vous, à tout le moins ceux et celles qui passent par l’Outaouais, à l’occasion, ont eu le temps de voir, ou même d’utiliser ce tronçon de l’autoroute 50, le dernier à avoir été inauguré.  J’ai eu trop de choses à voir, de mon côté, pour procéder plus rapidement à la mise en ligne de ces images.  Les voici quand même.

À l’approche de la sortie vers le chemin Avoca, un panneau limitant la vitesse à 80 km/h.  Probablement qu’il n’a pas encore été retiré, puisque le nouveau tronçon, qui suit la fin de celui-ci, fut inauguré la veille.

En zoomant un peu, on voit bien le panneau annonçant la sortie vers le chemin Avoca, ainsi qu’une bande orange, en-dessous.

Je me suis rapproché, et l’on constate que la bande orange, c’est un autre panneau qui n’a pas été retiré; il indique de prendre la sortie pour atteindre la route 148, qui mène à Gatineau.

Autre coup de zoom, afin de confirmer les infos, et aussi de voir que la voie est dégagée, vers Fassett, et Montebello.

Nous voyons ici la longue descente vers les terres agricoles de l’Outaouais avec, à gauche, la route 148.  C’est à cet endroit que les deux axes routiers sont le plus près, l’un de l’autre.  Est-il nécessaire de préciser que nous regardons toujours vers l’ouest.

On le voit encore mieux ici; l’A-50 se déroule, au pied des collines, avec la courbe de la route 148, à sa gauche.

Ici, nous sommes directement sous le viaduc de la montée Boucher (c’est pour cela qu’il y a de l’ombre), à la limite de la région de l’Outaouais.

Je vous disais, dans d’autres billets, que la région de l’Outaouais faisait figure de parent pauvre, en ce qui concerne la supersignalisation; celui-là semble plutôt réussi,…

…alors que celui-ci est plutôt particulier, en ce sens qu’on a mis les lettres « km » vraiment petites, par rapport au chiffre « 3 ».

En y regardant de plus près, avouez que ça saute aux yeux!

Nous approchons maintenant de la sortie 210, qui mène à la route 323, qui relie l’A-50 à Montebello, et à la route 148.

Confirmation, ici, des destinations à rejoindre par la route 323, via la sortie 210.  Nous approchons de la fin actuelle de l’A-50, fin que nous verrons bientôt, dans un prochain billet.

Il nous reste 7 photos à visionner, qui illustrent l’aménagement de la fin de l’A-50, à la hauteur de la route 323.  Mais comme c’est devenu la coutume, je suis aussi allé voir ce qui se passe au-delà du point de terminaison.  C’est à suivre, dans les prochains jours.

A-50 (2011): On vient de gagner quelques kilomètres!

Le 19 août dernier, quelques élus, dont le premier ministre, Jean Charest, se sont rendus à Grenville-sur-la-Rouge, dans les Laurentides, pour couper un ruban.  En effet, l’autoroute 50 vient de gagner quelques kilomètres, et est maintenant complétée (en super-2, faut-il le préciser) dans la région des Laurentides.

Vous avez déjà vu cet endroit; l’image sert ici de référence, pour vous montrer que lorsque l’on roule en direction ouest, on roule sous les viaducs en passant à gauche.  Nous y reviendrons.

Ici, on se rend compte que le panneau de la sortie 239 a changé; avant, on pouvait également y lire « Gatineau », mais plus maintenant.  Le rapiéçage a été retiré, et l’on ne voit plus maintenant que les destinations réelles de cette sortie, soit le village de Grenville, et la ville ontarienne de Hawkesbury.

Avant le 19 août, il y avait des balises, plantées à même l’asphalte, à cet endroit.  Plus tôt, cette année, on les avait remplacées par des cônes orange.  Et maintenant, plus rien; une nouvelle section de l’A-50 est désormais ouverte!

Comme c’est le cas du côté de l’Outaouais, l’A-50 se fraie un chemin, entre les montagnes, à l’ouest du chemin Scotch.  Ici, c’est juste avant d’arriver au chemin Kilmar.

Cette fois, nous sommes dans le musoir de la sortie 233, au chemin Kilmar.  Allez savoir pourquoi, à cet endroit, lorsque nous roulons en direction ouest, contrairement à la photo du début, nous passons à droite, sous le viaduc.

Après avoir traversé le pont de la rivière Rouge, que les gens de la place, qui connaissent bien les rapides de ce lieu, ont commencé à surnommer “le pont des sept soeurs”, nous arrivons près de la fin de ce nouveau tronçon.  Cela peut sembler court,…

…mais au niveau de la sortie 226, au chemin Avoca, vous aurez parcouru la bagatelle de 14 kilomètres de plus, environ, depuis l’A-15, comparativement à l’ancienne fin, au chemin Scotch.  Vous remarquerez qu’aucune balise n’a été plantée, pour délimiter la fin de la route, et diriger les usagers vers la sortie; c’est que la suite de l’A-50 devrait ouvrir dans très peu de temps.  J’y reviendrai dans un autre billet.

Sur le chemin Avoca, depuis la route 148, vers le nord, vous remarquez que le panneau est recouvert d’une simple toile, qui camoufle les indications vers l’ouest.  On devrait voir ces indications avant longtemps.  Au loin, vous verrez que l’on a implanté un arrêt obligatoire, à l’intersection du chemin Avoca et de la bretelle d’entrée de l’A-50 est.

À l’intersection du chemin Avoca, et de la route 148, un arrêt obligatoire a aussi été implanté dans toutes les directions, question de permettre à tout le monde de circuler.

Nous pouvons constater, sur cette photo, prise dans le hameau de Pointe-au-Chêne, que sur la route 148, l’arrêt a été implanté…

…le 18 août dernier, soit la veille de l’ouverture de la nouvelle section de l’A-50.

Selon ce que l’on pouvait lire, sur le site du MTQ, les sections de l’A-50, qui devaient être ouvertes à la circulation cette année, devaient l’être en deux temps; la section du chemin Scotch à la montée Fassett d’abord, puis de là jusqu’à la route 323, à la hauteur de Montebello.  Or, le fait de procéder à une première ouverture, entre les chemins Scotch et Avoca, permettra aux politiciens, et autres notables, de procéder à pas moins de trois coupes de ruban, en 2011, puisque l’état d’avancement des travaux, entre le Chemin Avoca et la route 323, varie passablement d’un endroit à l’autre.  Nous verrons cela dans un prochain billet.

Aussi, si vous avez jeté un oeil au communiqué du MTQ, concernant l’ouverture de ce tronçon, on y indique que l’on profite de 18 kilomètres de plus, alors qu’il y a environ 14 kilomètres, entre les chemins Scotch et Avoca.  C’est parce que lors de cette coupe de ruban, on inaugurait tout le tronçon faisant partie de la région des Laurentides, qui s’étend en fait jusqu’à la montée Boucher.  Mais comme il n’y a pas d’échangeur, à la hauteur de cette route, il reste donc 4 kilomètres de route complétée, mais pas encore ouverte à la circulation.  Je vous montrerai tout cela dans le prochain billet.

A-50 (2011): 3- Le pont de la rivière Rouge

La dernière fois, je vous disais que l’on arrivait à l’une des pièces de résistance de tout le projet de l’A-50, entre Gatineau et Lachute, et j’ai nommé le pont de la rivière Rouge.

Vu comme ça, le chantier n’a pas l’air si énorme; c’est un pont comme il y en a tant, sur le réseau routier supérieur du Québec.

À voir la construction de ce qui a l’air, au premier coup d’oeil, d’une remise, il est clair qu’il s’agit plutôt d’un petit entrepôt d’explosifs.  Si ce n’est pas le cas, il en a plusieurs des caractéristiques.  Comme les gars de la construction ont aussi un bon sens de l’humour, ils ont nommé ce “point de rassemblement”, tel qu’indiqué sur le mur droit, d’un nom plus sympathique, comme on peut le constater juste à droite de la porte.  Bienvenue “Chez Mario”!

Si leur présence ne semble plus requise du côté ouest, des grues sont toujours présentes sur la rive est de la rivière Rouge.

Normalement, les piles d’un pont ne sont pas équipées de balcons, ni de portes.  Ces installations permettent de croire que les piles sont creuses, et que les portes permettent d’effectuer des inspections depuis l’intérieur.  On voit également que les piles sont très hautes.

Une autre vue latérale du pont de la rivière Rouge.  Je regarde vers l’est.

Nous pouvons constater l’épaisseur de la poutre latérale, cette fois vue de dessus.

Ici, nous voyons l’une des canalisations pluviales, avant qu’elle soit installée.

Qui dit gros chantier dit aussi gros équipement.  Comme cette lampe de poche, par exemple.  Je vous ferai remarquer que j’exagère à peine.

Comme je l’ai mentionné dans les autres billets de cette série, ces photos furent prises le 20 mars dernier, et on annonçait une violente tempête de neige, le lendemain.  Force est de constater que les gars étaient prêts à toute éventualité!

Une conduite d’égout pluvial, comme celle que nous avons vu plus tôt, mais cette fois bien installée, et prête pour le bétonnage du tablier.

Une vue vers l’ouest, depuis à peu près le milieu du tablier du pont.  En regardant de plus près,…

…nous voyons mieux le profil de la route, à la sortie du pont.  Si l’on regarde vers l’est,…

…nous constatons quelque chose de nouveau; on a commencé à assembler l’armature, et elle est passablement avancée.  Mettons un peu de zoom,…

…et nous verrons que de ce côté aussi, il faudra tourner vers la gauche, à la sortie du pont.

Nous compléterons ce billet par des vues sur la rivière Rouge.  Ici, en amont du pont,…

…et cette fois, en aval.  Il faudra que je confirme cette donnée, mais le tablier du pont est plus ou moins à une cinquantaine de mètres du niveau normal de la rivière, ce qui en fait l’un des ponts les plus hauts au Québec.

Le MTQ nous promet l’ouverture de ce tronçon de l’A-50 pour 2011, mais sans en préciser le mois.  Évidemment, à voir l’avancement du pont, ce n’est pas demain la veille de l’ouverture; il reste d’ailleurs d’autres travaux de finition, comme de l’asphaltage, à compléter sur l’ensemble du chantier.  Mais si les choses tournent rondement, il faut s’attendre que quelque part à l’automne de cette année, nous pourrons tous rouler sur cette nouvelle route.

A-50 (2011): 2- Près du chemin Falloon

La dernière fois que je vous ai montré l’A-50, c’était aux environs de la crique de Pointe-au-Chêne, et les travaux semblaient bien avancés.  Voici la deuxième partie des photos que j’ai prises lors de cette sortie.

Ici, c’est l’A-50 vers l’ouest, en direction du chemin Avoca.  Il restait encore de la neige, lorsque j’ai pris ces photos.

Nous voyons maintenant le viaduc du chemin Falloon, et je pointe vers l’est.  Si l’on regarde l’asphalte, il semble bien que le raccord, entre la route et le viaduc, est à niveau.  D’ailleurs, si l’on regarde de plus près,…

…on constate que le joint est pratiquement parfait.  Par contre, lorsque l’on observe le raccord de l’autre côté du viaduc,…

…force est de constater qu’il en manque un peu.  On voit que l’on en a ajouté un peu, question de permettre un passage plus en douceur.  C’est encore plus évident…

…lorsque l’on regarde d’aussi près; il doit bien en manquer de 2 à 3 centimètres!  Il faut mentionner que la couche de finition n’est pas encore installée.

Depuis le tablier du viaduc, on voit maintenant le chemin Falloon vers le nord, et à l’extrême droite, l’avant de la bagnole,…

…et cette fois vers le sud, avec la rivière des Outaouais, toujours recouverte de glace, en arrière-plan.

Le pont d’étagement du chemin Falloon, ici en regardant vers l’ouest.

À nouveau, la rivière des Outaouais, au coeur d’un paysage enchanteur, comme il y en aura plein tout le long de la nouvelle autoroute.

L’A-50, vers l’ouest, à quelques dizaines de mètres du viaduc du chemin Falloon.

Nous avons déjà vu de ce type d’installation, dans d’autres billets.  Il s’agit d’un sautoir à chevreuils.

Cette fois, nous regardons vers l’est, sur la future A-50.

Sur le chantier de l’A-50, il y a des gens qui s’amusent.  Je ne saurais dire s’il s’agit de travailleurs, lors d’une pause, ou bien de citoyens du coin, mais une ou des personnes ont décidé de faire un inukshuk, genre de monument habituellement visible dans le grand nord.  Vous ne le voyez pas?  Attendez un peu, je vais me rapprocher.

Voilà.  On le voit mieux maintenant. Je ne sais pas si on va le laisser là, à la fin des travaux.

Une vue printanière!  Il faisait chaud, en ce 20 mars, tant et si bien que la neige fondait allègrement, et permettait des écoulements d’eau, le long des rochers.

Nouveau regard vers l’ouest.  Nous nous sommes maintenant éloigné du viaduc du chemin Falloon, pour nous rapprocher…

…de ce que j’appellerais l’une des pièces de résistance de tout le projet de l’A-50.  Nous verrons cette pièce plus en détails dans un autre billet.

Depuis que ces photos furent prises, des travaux d’analyse se font, aux dires du ministre délégué aux transports, Norman MacMillan, pour éclairer une éventuelle décision, quant au doublement de certaines sections de l’A-50.

Dans cet article, paru sur le site cyberpresse.ca, et publié dans Le Droit, d’Ottawa, le ministre dit que l’on ne peut pas comparer l’A-50 avec la route 175, qui sera bientôt complétée à quatre voies, sur deux chaussées distinctes, dans la Réserve faunique des Laurentides; on peut lire “Le débit de véhicules y est considérablement plus élevé que sur les nouveaux tronçons de la 50, et les accidents mortels sont très fréquents dans le parc des Laurentides, a précisé M. MacMillan.”

Sur ce point, je ne suis pas certain que le ministre dit vrai; selon les dernières données de l’Atlas des transports, sur le site web du MTQ, qui datent de 2008, donc d’avant l’ouverture des deux derniers tronçons de l’A-50, le tronçon de la route 148, qui va de la jonction de l’A-50, à l’ouest de Lachute, jusqu’à la route 344, à Grenville-sur-la-Rouge, montrent des débits (mesure DJMA) de 10,100 à 10,200 véhicules, alors que celui qui relie Thurso et Masson-Angers voit 11,400 véhicules le fréquenter.  L’axe de la route 175, pour sa part, voit son volume de circulation passer de 14,400, sur le dernier tronçon de l’A-73, à 7000, après la sortie de Stoneham-et-Tewkesbury, puis à 5,300 à l’entrée de la Réserve faunique, à 4,700 au nord de l’Étape, et finalement à 3,800, au nord de la jonction de la route 169.  J’ai hâte de voir les prochaines données, afin de voir si les nouveaux tronçons de l’A-50 drainent si peu de circulation.  Mais il reste qu’une chose est sûre; le jour où l’A-50 sera ouverte en entier, entre Gatineau et l’A-15, le volume augmentera probablement de façon substantielle, compte tenu que l’on pourra complètement éviter la route 148.

D’un autre côté, le candidat libéral au scrutin du 2 mai prochain, dans Argenteuil-Papineau-Mirabel, Daniel Fox, s’engage à prolonger l’A-13 jusqu’à l’A-50.  Dans cet article, en provenance du site web des hebdos locaux L’Éveil, et La Concorde, on montre même une photo du grand panneau d’affichage que le candidat a réservé, le long de l’A-15, pour dévoiler sa promesse.  Reste à voir où on pourrait faire passer l’A-13, compte tenu que l’A-50 ne passe pas sur son emprise originale.  C’est à suivre!

A-50, entre Lachute et Mirabel: La meilleure solution demeure le doublement!

En jetant un oeil sur le site Canoë, je suis tombé sur cet article, signé Stéphane Sinclair, de l’agence QMI, qui mentionne que le MTQ chercherait une solution pour améliorer la sécurité sur le tronçon de l’autoroute 50, entre Lachute et l’aéroport de Mirabel.  Nous savons tous que ce tronçon est à une seule chaussée, sur laquelle se rencontrent deux voies de circulation, une dans chaque direction.

Parmi les solutions étudiées, l’article parle d’un muret, que l’on voudrait ériger entre l’aéroport de Mirabel, et la sortie de Saint-Canut.  Cette proposition aurait été dévoilée par l’agence QMI, au début de novembre, et un tollé de protestations aurait suivi, de la part de travailleurs des diverses entreprises ayant pignon sur rue à l’aéroport.  Les pauvres; ils auraient à faire un détour de, tenez-vous bien, huit kilomètres, pour se rendre et revenir de leur travail.  Que feront ces gens, le jour où l’A-50 sera doublée, et que les intersections actuelles n’existeront plus?  Ils vont lâcher leur job?  De toute façon, si le MTQ est capable d’accommoder les cultivateurs, en leur construisant des voies d’accès, lors de la construction d’autres autoroutes, il sera sûrement capable de s’entendre, avec Aéroports de Montréal, pour aménager une voie d’accès à la zone industrielle de l’aéroport, à partir du chemin Saint-Simon.

Car si le MTQ dépense des milliers – des millions? – de dollars de vos impôts et taxes, pour trouver une solution à l’A-50, je leur soumettrai que puisqu’il faut dépenser de l’argent, la meilleure solution demeure le doublement des voies.  Les viaducs sont construits en fonction d’une éventuelle seconde chaussée, et si l’on se fie aux chiffres de l’Atlas des transports du MTQ, particulièrement des débits journaliers moyens annuels (DJMA) sur les tronçons de l’A-50, entre Lachute et Mirabel, le moment d’aller de l’avant, avec cette seconde chaussée, est venu.  En effet, dans un reportage diffusé à la SRC-Ottawa-Gatineau, l’hiver dernier, on mentionnait qu’il fallait considérer un DJMA de plus de 10,000 véhicules par jour pour envisager le doublement d’une autoroute; dans le reportage, il s’agissait d’un autre tronçon de l’A-50, cette fois celui reliant le secteur Masson-Angers, de la ville de Gatineau, à Lochaber, au nord de Thurso, dont une grande partie fut ouvert à la circulation en 2008.

Les chiffres du tronçon de Lachute à Mirabel ne trompent pas; à part la partie entre les sorties 272 et 279, dont les données ne sont pas répertoriées en 2008, et celle entre les sorties 260 et 272, avant 2004, tous les tronçons répertoriés entre Lachute et Mirabel dépassent les 10,000 véhicules par jour!  Celui entre l’aéroport et la sortie 279 dépassait même les 15,000 véhicules, en 2008!  Mis à part la baisse marquée de 21,500 à 15,800 véhicules, sur la section entre l’aéroport et l’A-15, déjà construite à chaussées séparées, et une autre, beaucoup plus légère, sur la partie située entre les sorties 272 et 279, baisses causées par la cessation des vols passagers à l’aéroport de Mirabel, tous les autres chiffres sont soit stables, soit en hausse, d’une période de dénombrement à une autre.

Comme tout porte à croire que ces chiffres seront en hausse, à mesure que d’autres tronçons de l’A-50 vont laisser passer la circulation, le MTQ devrait laisser tomber les diverses recherches de solutions trop faciles pour être vraies, et quitte à investir davantage, opter pour la meilleure solution, afin d’améliorer la sécurité, sur cette autoroute.  Et cette solution, c’est définitivement le doublement.