A-35 (2011): Ça avance… un peu!

Les habitués du Blogue se souviennent de mon dernier passage sur les chantiers de l’autoroute 35, à Saint-Alexandre, et Saint-Sébastien, quelque part en 2010.  Sur certaines de ces sections, bien peu de choses ont changé; les chaussées sont toujours sur le gravier, et on a rien fait au niveau de la montée de la Station, à Saint-Alexandre.  Par contre, à d’autres endroits, le long de ce grand projet, les choses bougent; on est à construire l’échangeur, au sud du secteur Iberville, tout près des installations de la firme Soleno.  Et à Saint-Sébastien, l’échangeur de la route 133 est presque complété!

Quand on roule sur la route 133, en direction nord, on ne peut manquer cette vue, à environ un kilomètre du village de Saint-Sébastien.  Il reste bien quelques trucs à fignoler, mais pour l’ensemble de l’ouvrage, l’échangeur est pratiquement complet.

Dans l’axe même de l’A-35, cela semble encore plus évident.  Bon, pas particulièrement quand on regarde vers le sud, puisque dans cette direction, rien n’est encore commencé.  Il faut spécifier que sur le site web du MTQ, on prévoit l’ouverture de cette section, entre la route 133 et la frontière américaine, qu’en 2017!

Quand on regarde vers le nord, depuis l’extrémité sud, nous voyons que la forme est définitive; même l’asphalte y est!

Le viaduc, en direction nord, sur l’A-35, est pratiquement terminé, et il en est de même pour celui en direction sud.

Ici, nous voyons que l’asphalte s’arrête au bas du promontoire.  Il est donc facile de croire que l’échangeur fait partie d’un contrat distinct.  En passant, si je vous dis que j’ai roulé dessus, entre Saint-Alexandre et ce point, c’est tout à fait plausible; d’ailleurs, nous voyons les phares d’un véhicule qui fait pareil!

Ces photos furent prises le 22 octobre dernier.  J’aurais bien voulu en prendre davantage, mais la pile de mon appareil était pratiquement morte, et mon onduleur, l’appareil qui me permet de brancher des appareils domestiques dans ma bagnole, m’a fait faux bond!  Je m’en suis donc tenu au strict minimum!

Je tenterai de trouver du temps pour retourner dans le secteur, avec des piles fraîchement chargées, cette fois!  Je trouverai sûrement quelques minutes, puisque l’ouverture de la section Iberville – Saint-Sébastien n’aura lieu qu’en 2013!

A-50 (2011): On vient de gagner quelques kilomètres!

Le 19 août dernier, quelques élus, dont le premier ministre, Jean Charest, se sont rendus à Grenville-sur-la-Rouge, dans les Laurentides, pour couper un ruban.  En effet, l’autoroute 50 vient de gagner quelques kilomètres, et est maintenant complétée (en super-2, faut-il le préciser) dans la région des Laurentides.

Vous avez déjà vu cet endroit; l’image sert ici de référence, pour vous montrer que lorsque l’on roule en direction ouest, on roule sous les viaducs en passant à gauche.  Nous y reviendrons.

Ici, on se rend compte que le panneau de la sortie 239 a changé; avant, on pouvait également y lire « Gatineau », mais plus maintenant.  Le rapiéçage a été retiré, et l’on ne voit plus maintenant que les destinations réelles de cette sortie, soit le village de Grenville, et la ville ontarienne de Hawkesbury.

Avant le 19 août, il y avait des balises, plantées à même l’asphalte, à cet endroit.  Plus tôt, cette année, on les avait remplacées par des cônes orange.  Et maintenant, plus rien; une nouvelle section de l’A-50 est désormais ouverte!

Comme c’est le cas du côté de l’Outaouais, l’A-50 se fraie un chemin, entre les montagnes, à l’ouest du chemin Scotch.  Ici, c’est juste avant d’arriver au chemin Kilmar.

Cette fois, nous sommes dans le musoir de la sortie 233, au chemin Kilmar.  Allez savoir pourquoi, à cet endroit, lorsque nous roulons en direction ouest, contrairement à la photo du début, nous passons à droite, sous le viaduc.

Après avoir traversé le pont de la rivière Rouge, que les gens de la place, qui connaissent bien les rapides de ce lieu, ont commencé à surnommer “le pont des sept soeurs”, nous arrivons près de la fin de ce nouveau tronçon.  Cela peut sembler court,…

…mais au niveau de la sortie 226, au chemin Avoca, vous aurez parcouru la bagatelle de 14 kilomètres de plus, environ, depuis l’A-15, comparativement à l’ancienne fin, au chemin Scotch.  Vous remarquerez qu’aucune balise n’a été plantée, pour délimiter la fin de la route, et diriger les usagers vers la sortie; c’est que la suite de l’A-50 devrait ouvrir dans très peu de temps.  J’y reviendrai dans un autre billet.

Sur le chemin Avoca, depuis la route 148, vers le nord, vous remarquez que le panneau est recouvert d’une simple toile, qui camoufle les indications vers l’ouest.  On devrait voir ces indications avant longtemps.  Au loin, vous verrez que l’on a implanté un arrêt obligatoire, à l’intersection du chemin Avoca et de la bretelle d’entrée de l’A-50 est.

À l’intersection du chemin Avoca, et de la route 148, un arrêt obligatoire a aussi été implanté dans toutes les directions, question de permettre à tout le monde de circuler.

Nous pouvons constater, sur cette photo, prise dans le hameau de Pointe-au-Chêne, que sur la route 148, l’arrêt a été implanté…

…le 18 août dernier, soit la veille de l’ouverture de la nouvelle section de l’A-50.

Selon ce que l’on pouvait lire, sur le site du MTQ, les sections de l’A-50, qui devaient être ouvertes à la circulation cette année, devaient l’être en deux temps; la section du chemin Scotch à la montée Fassett d’abord, puis de là jusqu’à la route 323, à la hauteur de Montebello.  Or, le fait de procéder à une première ouverture, entre les chemins Scotch et Avoca, permettra aux politiciens, et autres notables, de procéder à pas moins de trois coupes de ruban, en 2011, puisque l’état d’avancement des travaux, entre le Chemin Avoca et la route 323, varie passablement d’un endroit à l’autre.  Nous verrons cela dans un prochain billet.

Aussi, si vous avez jeté un oeil au communiqué du MTQ, concernant l’ouverture de ce tronçon, on y indique que l’on profite de 18 kilomètres de plus, alors qu’il y a environ 14 kilomètres, entre les chemins Scotch et Avoca.  C’est parce que lors de cette coupe de ruban, on inaugurait tout le tronçon faisant partie de la région des Laurentides, qui s’étend en fait jusqu’à la montée Boucher.  Mais comme il n’y a pas d’échangeur, à la hauteur de cette route, il reste donc 4 kilomètres de route complétée, mais pas encore ouverte à la circulation.  Je vous montrerai tout cela dans le prochain billet.

La route 2 – (5) De Lévis à Montmagny

La dernière fois, nous nous sommes arrêtés au quai du traversier, dans la basse-ville de Québec.

J’avoue, toutefois, qu’à la sortie du quai, ma carte de 1950 est très imprécise.  On quitte le navire en prenant à droite, sur la rue Saint-Laurent, puis peu après, on bifurque à gauche, pour prendre la côte du Passage, et on tourne à droite, une fois rendu à la rue Saint-Georges.  Mais à partir de la route du Président-Kennedy, qui devait certainement porter un autre nom, en 1950, puisque ce président ne fut élu que dix ans plus tard, la route 2 passe-t-elle par cette route, aussi connue comme étant les routes 23 et 28, ou continue-t-elle plutôt sur la rue Saint-Georges jusqu’à l’ancienne municipalité de Saint-David-de-l’Auberivière, pour prendre l’actuel boulevard de la Rive-Sud (route 132) ?  Sur ma carte, on voit la route 3 (route 132) qui se rend à Saint-David, puis qui se divise en deux axes.  À partir des routes 23 et 28, l’axe qui correspond au boulevard de la Rive-Sud est identifié comme étant la route 2, mais entre Saint-David et l’actuelle route du Président-Kennedy, aucune identification!  Quoi qu’il en soit, prenons le boulevard de la Rive-Sud (route 132) vers l’est, pour la suite des choses.

À trois kilomètres pile de l’intersection des routes 23 et 28 (route 173) se trouve la rue Monseigneur-Bourget, qui conduit à l’ancienne municipalité de Lauzon, et presque 3 kilomètres plus loin, l’intersection d’un probable ancien axe de la route 2, la rue Saint-Joseph, suite de la rue Saint-Georges.  À environ un kilomètre de là, la rue Turgeon, probable ancien axe de la route 2, suit en parallèle, sur environ 900 mètres, avant de se rattacher à nouveau au boulevard de la Rive-Sud (route 132).  2,2 kilomètres plus loin, on quitte la ville de Lévis pour entrer dans les limites de celle de Beaumont, et depuis ce point, il faudra parcourir 2,7 kilomètres de plus pour atteindre la jonction de la route 25A (route 279), qui mène vers Saint-Charles-de-Bellechasse, jonction également d’un autre probable ancien axe de la route 2, le chemin du Domaine.  Celui-ci longe la route 132 actuelle, entre 70 et 180 mètres au nord de celle-ci, et ce sur une distance de près de 2 kilomètres.  Par la suite, la route 2 (route 132) longe le fleuve, à une distance suffisamment large pour permettre le développement de plusieurs rues résidentielles, au nord de celle-ci.  À 4,2 kilomètres de la dernière jonction au chemin du Domaine, le pavage de la route 2 (route 132) semble s’élargir; il s’agit d’un ancien axe, et ce même s’il n’y a plus de route.  L’axe de la rue du Moulin devait mesurer un kilomètre tout juste, mais il semble que l’on ait conservé que le demi-kilomètre le plus à l’est, les résidences de l’autre partie ayant rattaché leurs entrées à la route 132 actuelle.

Deux kilomètres et demi plus loin, on entre à Saint-Michel-de-Bellechasse.  À cet endroit, la route 2 suivait l’axe de la rue Principale, sur une longueur de 2 kilomètres, alors que la route 132 actuelle contourne le village par le sud.  L’Avenue de la Durantaye, vers le sud (route 281), conduit au village de la Durantaye, et à Saint-Raphaël.  À environ un kilomètre de la dernière jonction de la rue Principale, un autre ancien axe, le chemin des Campings, mène au lieu-dit de la Pointe-Saint-Michel, et fait 2 kilomètres de long, avant de se raccorder à l’actuelle route 132, au lieu-dit de l’Anse-Mercier.  2,7 kilomètres plus loin, on croise la rue Principale de Saint-Vallier, alors que la route 132 moderne se nomme tout simplement la route de Saint-Vallier.  Au centre du village, l’avenue de l’Église, aussi route 25, devient la montée de la Station, au sud de la route 132 actuelle qui, au total, sera séparée de la rue Principale sur environ 1,2 kilomètre.  À un kilomètre et demi de là, autre ancien axe, le chemin Lemieux, affublé de quelques courbes raides.  Après plus ou moins 1,9 kilomètres, ce chemin croise la route 132 actuelle, et devient le chemin du Rocher.  600 mètres plus loin, on tourne à gauche, sur le chemin des Roy.  Après 1,2 kilomètres, on recroise la route 132, et à cause des intersections rénovées et mises à angle droit, on parcourt une centaine de mètres sur la route 132 pour tourner à gauche, encore, cette fois sur la rue Principale Ouest, qui longe le fleuve d’assez près au nord, à tout le moins sur le premier kilomètre, avant de laisser place à des terres agricoles, et au sud, suit en parallèle le boulevard Blais Ouest (route 132), à environ une centaine de mètres.  Après 3,2 kilomètres, nous arrivons à l’intersection de la rue du Couvent; la rue Principale Ouest devient alors la rue Principale Est.  Nous sommes au coeur de Berthier-sur-Mer.  Moins de 700 mètres plus loin, la rue Principale Est se raccorde au boulevard Blais Est (route 132), et à un kilomètre de là, nous retrouvons le bord du fleuve.

À 4,5 kilomètres de la jonction de la rue Principale Est et du boulevard Blais Est, alors que l’on monte une pente, la route 2 (route 132) change de nom; elle devient le boulevard Taché Ouest.  8 kilomètres plus loin, nous entrons à Montmagny.

A-50 (2011): 1- Pointe-au-Chêne

Ben oui, j’y suis revenu… encore!

Ces photos furent prises le 20 mars dernier, à la veille de ce qui fut annoncé comme une tempête de neige qui, finalement, ne fut somme toute pas très tumultueuse.  Je me suis attardé au secteur de Pointe-au-Chêne, dans la municipalité de Grenville-sur-la-Rouge.  Compte tenu de la quantité de photos que j’ai prises ce jour-là, je devrai faire plus d’un billet (environ trois), question de donner une chance à ceux et celles qui possèdent du matériel informatique moins performant, ou qui doivent se contenter d’une connexion internet à faible débit.

Bon, la qualité d’image n’est peut-être pas idéale, mais j’utilisais le zoom, pour cette photo.  Les lampadaires sont ceux de l’échangeur du chemin Avoca, à quelques dizaines de mètres du village de Pointe-au-Chêne.  En fait, j’ai pris cette photo en regardant vers l’ouest, et en ayant les deux pieds sur…

…ce pont.  Je suis venu, il y a quelque temps, de cela; le pont n’y était pas encore, car on coulait les piles, lors du passage que j’ai effectué à l’automne de 2009.

Tout en bas, on voit la crique de Pointe-au-Chêne, transformé en torrent (pas si énorme, quand même), à cause bien sûr de la fonte des neiges.  Ici, c’est en amont du pont,…

…cette fois tout juste au pied de celui-ci,…

…alors que maintenant, nous voyons la crique du côté aval de ce pont qui, malgré qu’il semble court, est à une hauteur suffisante pour surplomber la cime des arbres.

Une fois que l’on a passé la courbe, au fond de la 2e photo, et que l’on se retourne, on voit ceci.  L’A-50 sera, ici aussi, une superbe route panoramique.

On voit ici que le dynamitage a été fait à deux niveaux; le premier dynamitage fut plus large, pour dégager une bonne largeur, puis le second palier, celui qui va jusqu’au terrassement de la route, est plus étroit.  Je présume que cela doit réduire les risques d’éboulement de roches sur la chaussée.

Et qu’est-ce que l’on fabrique avec toutes ces montagnes que l’on fait éclater, dites-moi?  Ben oui, on fait du gravier!  Ici, un tas restant, identifié par l’entrepreneur, Couillard Construction.

Si on continue vers l’est, voilà le paysage qui s’offre à nous.  Nous sommes entre la crique de Pointe-au-Chêne et le chemin Falloon.

Voici une superbe vue sur la rivière des Outaouais, encore gelée, et de l’autre côté, la vallée ontarienne.

Cette fois, on regarde vers l’ouest, et on se situe près du chemin Falloon.  Et comme c’est déjà la 11e photo, nous verrons la suite dans un prochain billet.

Comme je l’indiquais au début, j’ai suffisamment de photos pour faire plus ou moins trois billets; la suite viendra donc bientôt, puisque les photos sont déjà en boîte.

Bienvenue à Saint-Barthélémy!

À travers ce superbe média qu’est Le blogue (merci à WordPress, en passant; même si je suis là depuis trois ans et demi, je n’ai eu à affronter aucune augmentation de tarif!  À tous les mois, ça me coûte gratis!), je vous ai montré toutes sortes de choses; de l’eau, des chantiers, des routes en décrépitude avancée, et encore de l’eau, beaucoup d’eau!  Cette fois, je vous amène à Saint-Barthélémy, municipalité située à la limite des régions de Lanaudière et de la Mauricie.

Cette municipalité a fait parler d’elle il y a presque un an, alors que le maire de l’endroit, Pierre Roy, a soulevé l’ire de plusieurs de ses concitoyens en s’accordant une légère augmentation de salaire de… 400%!  Pas de 400 dollars, mais bien 400 pour cent!  Le salaire du maire était, à l’époque, de 10,500$, et il l’a augmenté à 42,000$, à savoir 28,000$ de salaire proprement dit, auquel s’ajoute 50% du salaire en compensation des dépenses encourues, soit 14,000$, le tout pour un total de 42,000$.

Vous me direz qu’un simple maire d’arrondissement, à Montréal, gagne 60,000$ de salaire de base, à part les dépenses, les comités, etc.  Oui, c’est vrai, mais la municipalité de Saint-Barthélémy ne compte que 1973 personnes, selon les derniers chiffres du Répertoire des municipalités du gouvernement du Québec.  On en parlait, l’an dernier, sur le site web Canoë; un vidéoreporter, Frédéric Perreault, avait réalisé cet article, doublé d’une vidéo, sur toute l’affaire.

À Saint-Barthélémy, on doit s’occuper de tous les problèmes du réseau routier local, et cela comprend, bien sûr, les ponts qui ont dépassé leur durée de vie utile.  Nous voyons donc ici ce qui, je l’espère, est une solution temporaire; un pont installé par-dessus un autre pont!  Je ne sais pas si c’est une idée du maire Roy, pour « sauver de l’argent », mais ça laisse perplexe!

On voit bien, ici, que le pont temporaire repose tout simplement sur l’ancien pont, qui n’a jamais été retiré!  On m’a même dit qu’il s’agissait… d’un pont loué!  J’espère que le maire a obtenu un bon prix, parce que je n’ai aucune idée du loyer d’un pont.  Cette scène se déroulait en février dernier, sur le rang du Fleuve.

Nous sommes maintenant à la sortie est du village, sur le chemin York.  La signalisation montre bien que l’asphalte, à cet endroit, a été retiré.  Je ne sais pas pour quelle raison; probablement pour l’installation de conduites d’eau, ou de gaz, je ne pourrais dire.  Reste que le pavage fut retiré sur environ la moitié de la largeur de la route, et à certains endroits, sur toute sa largeur.  Mais le problème, c’est qu’on a l’impression que ça fait deux ans, que l’asphalte a été enlevé!  Il n’y a pas l’ombre d’un travailleur, sur les lieux!

Au moment de la prise de la photo, il faisait doux, la neige fondait, et le chemin York ressemblait à une « trail à vaches ».  Avec le printemps qui n’en finit plus de finir de s’installer, il est clair que la route n’est pas des plus praticables.

Aussi, les utilisateurs du chemin York roulent parfois à droite, parfois à gauche, selon l’état de la partie sans asphalte, et le niveau de confort de leur véhicule, entre autres raisons.  Et c’est comme ça que ça se passe sur environ 800 mètres.

L’article de Perreault se terminait sur une certaine note d’espoir, disant que c’est à la longue que l’on saura si l’augmentation de salaire de 400% du maire Pierre Roy sera vraiment justifiée!  En tout cas, jusqu’à maintenant, il semble que les économies se font particulièrement sur le dos des usagers de la route!