Le sénateur Boisvenu: Que dire de plus?

À lire les commentaires, principalement sur Twitter, concernant la déclaration du sénateur Pierre-Hugues Boisvenu, à savoir l’histoire de la corde, dans chaque cellule de condamné à un crime grave, et que j’ajoute ces commentaires à tous ceux que je lis lorsqu’il est question de types comme Guy Turcotte, ou comme Paul Laplante, qui fut accusé d’avoir tué sa conjointe, Diane Grégoire, je me rends compte à quel point le peuple québécois, pris dans son ensemble, semble souffrir de bipolarité.  Je m’explique.

D’abord, il me semble que le fait d’être sénateur ne soit pas une raison valable pour empêcher une personne d’exprimer une opinion.  Aussi, ceux et celles qui sont à l’origine de pétitions, ou d’autres moyens de pression, pour virer Pierre-Hugues Boisvenu du Sénat, devraient y penser à deux fois, avant d’entreprendre une telle croisade.  D’une part, une telle pétition revient à priver un individu de son droit à la libre expression.  Car il faut bien préciser, ici, que le sénateur n’a pas déposé un projet de loi; il a exprimé un commentaire, point!  Que l’on soit chef d’entreprise, sénateur, ou assisté social, la liberté d’expression existe pour tous, et quiconque l’empêche se voit rapidement pointé du doigt.  Vous n’êtes pas d’accord avec les propos de Boisvenu?  Soit, mais ce n’est pas une raison de le priver de son job.  D’autre part, personne n’est tenu à quitter son emploi à la suite d’une pétition, pas plus un sénateur qu’un premier ministre.  Le mandat de Boisvenu va se terminer, un jour, et en fonction des lois en vigueur, à ce moment-là, il pourra continuer, pour un nouveau mandat, ou retourner chez lui.

Ensuite, si l’on condamne facilement un sénateur, à la suite d’une déclaration, et que celle-ci soit malhabile ou non n’y change rien, dites-moi, qui voudra devenir sénateur?  Déjà que l’on se plaint de la piètre qualité de nos élus!  C’est Joseph Facal, qui avait fait une comparaison entre un élu et un chef d’entreprise, comparaison qui illustrait à merveille la raison pour laquelle les meilleurs ne vont pas en politique.  Si l’on s’en prend à un sénateur, dès que celui-ci fait une déclaration le moindrement controversée, plus personne ne voudra aller au Sénat non plus!

Quant à la pertinence de la question, à savoir si “chaque cellule devrait avoir sa corde”, nous savons que cette image était mal choisie, et la première personne à l’avouer fut Pierre-Hugues Boisvenu lui-même.  Comme Jérôme Lussier le mentionnait, sur le site web du journal Voir, dans le deuxième de ses trois commentaires rapides, sur l’affaire, “La proposition de Boisvenu ouvre la porte à une espèce de peine de mort volontaire. Personne n’est condamné à mort, mais l’État n’interviendra pas pour vous empêcher de mettre fin à vos jours si vous êtes condamné à la prison à perpétuité. L’image de la corde est évidemment frappante, mais le résultat serait le même si on donnait aux prisonniers le droit de garder leur ceinture. Il y aurait plusieurs nuances à apporter — notamment sur la distinction entre l’intention de compassion et celle de punition, et le caractère « incitatif » de la proposition du sénateur — mais je pense que les partisans du suicide assisté devraient expliquer en quoi une liberté qu’ils voudraient accorder à certaines personnes « condamnées par la maladie » ne devrait pas aussi être accordée aux gens condamnés à la prison à vie.”  Il y a là, effectivement, matière à réflexion.  Souvenons nous que le gouvernement du Québec a mis en place une commission mobile connue sous le nom de “Mourir dans la dignité”, et qui étudiait, justement, la pertinence de permettre à certaines personnes de mettre fin à leurs jours.  Je crois qu’une telle façon de faire, bien sûr dans le cas de personnes condamnées, et non pas en attente de procès (la nuance est importante, ici), devrait aussi être étudiée.

Car après tout, si l’on se souvient de l’affaire de Paul Laplante, qui fut accusé du meurtre de sa conjointe, Diane Grégoire, plusieurs ont salué sa mort, prétextant qu’on venait de libérer la société d’un “déchet”, et ce avant même de savoir s’il était vraiment coupable de quoi que ce soit, son procès n’étant pas encore commencé, au moment de son suicide.  En fait, était-il coupable que quelque geste que ce soit, ou se savait-il plutôt condamné à l’avance par le public – et les médias – avant même d’être entendu, comme ce fut le cas pour Guy Turcotte?  On ne le saura jamais.

Le problème, avec la sortie de Boisvenu, c’est qu’elle vient mettre la lumière sur un sujet que d’aucuns voudraient laisser camouflé, à savoir si un individu coupable de crime grave devrait pouvoir mourir.  Pour l’heure, on l’envoie dans un pénitencier, pour plus ou moins longtemps, ou à perpétuité, en fonction du crime pour lequel il a été déclaré coupable, et donc, dans une certaine mesure, on l’oublie, et ce depuis que la peine de mort n’est plus prononcée, au Canada.  Or, justement, un sondage Angus-Reid, publié au début de 2010, et que rapporte ici Lysiane Gagnon, de La Presse, conclut que 62% des canadiens – et 69% des québécois – sont en faveur de la peine capitale.  Cela vient donc dire que le sénateur Boisvenu n’est pas si déconnecté de la réalité que d’aucuns le laissent croire; d’ailleurs, cet article de l’agence QMI rapporte qu’entre 500 et 600 courriels ont été envoyés à monsieur Boisvenu, en appui à sa déclaration.  Aussi, les chances que celui-ci soit poursuivi, que ce soit par Jacques McBrearty, de Saguenay, comme le rapporte ici le quotidien de la rue St-Jacques, selon une dépêche de la Presse Canadienne, ou par tout autre individu, risquent d’être symboliques, sans plus, et n’iront pas plus loin que dans les médias.

Bref, tout cela pour dire qu’au Québec, le fait de réfléchir tout haut peut parfois provoquer des tempêtes.

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Brigette DePape: Est-elle consciente du trouble qu’elle a fait?

J’ai appris, cet après-midi, par internet, la petite passe de la jeune page du Sénat canadien, Brigette DePape, lors de la lecture du discours du Trône, par le gouverneur général, David Johnston, ce vendredi 3 mai dernier.

Image © CBC

Au-delà de l’éclat de son geste, je ne sais pas si madame DePape est consciente des répercussions que son geste va créer, au sein de l’appareil gouvernemental en général, et envers ses anciens collègues en particulier.  Parmi les sujets abordés par différentes personnes interrogées, suite au geste posé par la jeune page de 21 ans, la sécurité, à l’intérieur des édifices gouvernementaux, revient assez souvent.  Les autres pages, qui font leur travail de façon professionnelle, risquent désormais d’être littéralement harcelés par des mesures de sécurité de toutes sortes, de façon à éviter que d’autres gestes semblables se produisent.  Autre point important, le fait qu’elle émette une déclaration écrite, expliquant son geste, et “encourageant les canadiens à réaliser leur propre printemps arabe”, selon ce que raconte cet article du Journal de Québec, démontre que son geste était tout, sauf improvisé.  Ainsi, les pages risquent de se retrouver, à l’avenir, sous le coup d’une surveillance beaucoup plus stricte; leurs allées et venues, leurs fréquentations, et tout ce qui regarde leurs activités, politiques ou non, pourront être scrutés à la loupe.  Bref, tous l’auront désormais beaucoup plus difficile parce que madame aura réussi à montrer sa petite pancarte!

Quant à son histoire de printemps arabe, son manque d’expérience dans la vie, et sa surexposition à des propagandes utopistes, pendant ses études universitaires, l’ont probablement amenée à dire des paroles qui dépassent sa pensée.  Je veux dire par là qu’il y a un autre détail, qu’il faut porter à l’attention de madame DePape, et c’est le suivant; Stephen Harper n’a pas pris le pouvoir suite à un coup d’état, mais bien à l’issue d’une campagne électorale de 36 jours, et d’une élection générale tenue en bonne et dûe forme, et au cours de laquelle tous les citoyens canadiens, âgés de 18 ans et plus, et répondant à la qualité d’électeur, pouvaient se prononcer.  Donc, si le chef du parti conservateur du Canada a été appelé à former le gouvernement actuel, c’est parce qu’une majorité d’électeurs canadiens l’a voulu ainsi, et ce que madame soit d’accord ou non.  Est-ce à dire que la gauche croit en la démocratie seulement lorsqu’elle remporte la victoire?

Une chose est sûre; Brigette DePape est encore bien jeune.  Elle a peut-être perdu son job de page, au Sénat, mais elle recevra probablement plusieurs propositions, en provenance d’organisations comme Greenpeace, Équiterre, et autres FRAPRU de ce monde.  En fait, elle me fait penser à une certaine Laure Waridel; vous savez, celle qui a dit, il y a de cela quelques années, que ce n’est pas dans le mandat de Walmart de vendre du café équitable.  Ces deux dames vont sûrement se rencontrer dans un proche avenir; elles ont trop de similitudes pour s’ignorer!

Je suis allé sur le Plateau Mont-Royal!

Il est rare que je fasse des apparitions publiques, mais cette fois, je me suis laissé convaincre.  Enfin, je suis passé incognito, mais j’étais là!

Jeudi dernier, sur Twitter, le chroniqueur Éric Duhaime a lancé l’invitation d’aller s’acheter des chaussures à la boutique Le Marcheur, située sur la rue Saint-Denis, au coeur du Plateau Mont-Royal, à Montréal, ce samedi 18 décembre, entre 13 et 15 heures.  Pas qu’il ait quelconque lien avec les propriétaires de cette boutique, ni pour une signature d’autographes, mais plutôt pour montrer à quelques manifestants qu’ils n’empêcheront pas les propriétaires de faire des affaires.  Et en effet, il y avait foule, dans le magasin.  C’est que depuis une dizaine de semaines, des manifestants, du groupe de pression Palestiniens et Juif unis (PAJU), se réunissent devant cette boutique de la rue Saint-Denis, pour manifester contre la situation qui prévaut en Israël; il semble que les palestiniens feraient l’objet d’un véritable régime d’apartheid, selon les dires des manifestants.

Vous allez me demander “Mais pourquoi devant cette boutique en particulier?”, et je vais vous le dire, évidemment.  C’est que parmi la sélection de chaussures de la boutique Le Marcheur, il y a la marque Beautifeel, une collection de chaussures pour dames, et que ces chaussures sont fabriquées… en Israël!  Il ne s’agit pas d’un produit de contrebande; les Beautifeel sont vendues au Québec, comme de nombreux produits israéliens, en vertu d’une entente de libre-échange entre le Québec et Israël, entente comme il en existe avec plusieurs autres nations à travers le monde.

Bref, tous les samedis après-midi, depuis octobre, les manifestants de PAJU pratiquent la bonne vieille tactique des communistes québécois, à savoir de s’en prendre à des innocents, un innocent commerçant, dans le cas présent, qui ne font que gagner honnêtement leur vie, au lieu d’aller manifester directement à l’endroit où il faudrait le faire, c’est à dire, en l’espèce, devant l’ambassade israélienne.  C’est connu, on aime mieux s’en prendre à plus petit que soi, chez les communistes!  Et comme PAJU est soutenu, entre autres, dans cette affaire, par Amoudjafar Khadir, communiste connu et reconnu, qui est le père du député local, il est clair que l’on utilise les méthodes communistes.

Là où le bât blesse, c’est quand le député Amir Khadir lui-même se mêle aux manifestants, en distribuant des tracts, et en encourageant les gens à ne pas entrer dans la boutique.  Ce faisant, il nuit aux affaires d’un honnête commerçant de sa propre circonscription, et cela me laisse sans voix.  On demande aux députés de ne pas se mettre en situation de conflit d’intérêt, et Amir Khadir ne se prive pas de le rappeler aux autres membres de l’Assemblée nationale, lorsqu’il a des doutes, en la matière.  Pendant ce temps, le porte-parole de Québec solidaire ne se prive pas de frayer avec des groupes radicaux, et de poser des gestes qui ne sont pas dignes d’un député à l’Assemblée nationale.

Aussi, dans cette affaire, je demande au député de Gouin° de choisir son camp; député, ou activiste.  S’il veut continuer de militer pour les communistes, de fronder des chaussures (l’attrait de la godasse est manifestement fort, chez ce bonhomme!), ou de nuire aux affaires d’un commerçant, qu’il renonce à son poste à l’assemblée nationale!

Ah oui, je disais que je suis allé sur le Plateau.  En fait, je suis allé à la boutique Le Marcheur, et je me suis acheté de superbes pantoufles; elles sont si confortables que j’ai l’impression de marcher sur un nuage!  Le plus drôle, c’est qu’avant d’entrer dans le commerce, une dame m’a tendu un tract, dénonçant la situation pour laquelle PAJU manifeste.  Je lui ai répondu que leur groupe n’était pas écologique, parce qu’ils gaspillent des arbres pour imprimer leur propagande, et en sortant, j’ai souhaité à la même dame une bonne fin de journée, en lui montrant fièrement le sac, à l’effigie du magasin.  Je suis ensuite allé acheter le portable sur lequel je tape ce billet, mais ça, c’est une autre histoire.

° J’ai fait une erreur; Amir Khadir n’est pas le député de Gouin, mais bien le député de Mercier.  Merci à GC pour le correctif.

Qu’êtes-vous prêt à faire contre les magouilles? (À part signer une pétition sur le web)

Le député de Québec solidaire, Amir Khadir, profite à plein du site de l’Assemblée nationale, et particulièrement des pétitions en ligne; comme un député doit soutenir une pétition, afin qu’elle soit en ligne, le bon docteur Khadir en endosse un sacré paquet.  Mais parmi le lot, il y en a une qui s’est particulièrement démarquée, soit celle qui demande la démission du premier ministre, Jean Charest; selon ce petit site, fabriqué de toute pièce pour l’occasion, vous pouvez suivre la progression du nombre de signataires.  Ne cherchez pas pour rien; vous n’y trouverez pas mon nom!  Je ne l’ai pas signée, et je n’entends pas le faire non plus.  Pas que je sois un partisan de Jean Charest, loin s’en faut!  C’est juste que je ne suis pas de ceux qui mettent leur nom sur une « pétition fourre-tout », comme celle soutenue par le député Khadir.

Par contre, je me demande si les québécois sont prêts à faire plus que de signer des pétitions virtuelles, dans le but de contrer des magouilles.

Dernièrement, l’ex-candidat libéral, dans la circonscription de Masson, David Grégoire, se mettait la tête sur le billot en dénonçant un trafic d’argent non-déclaré, lors de la dernière élection générale, en 2008.  Si l’un des acteurs de cette affaire, Luc Tremblay, a soudainement perdu l’accès à son bureau de directeur général, à la ville de Mascouche, l’autre a décidé de tenir tête au dénonciateur; l’entrepreneur en construction Luigi Salvatore a déposé une poursuite de 200,000$ contre David Grégoire.

L’homme d’affaires de 26 ans se retrouve donc devant un sérieux dilemme.  D’une part, s’il se couche, devant Salvatore, et retire ses propos, il encourage le système d’enveloppes brunes, en plus de se couvrir de ridicule, parce que même en faisant cela, rien ne garantit qu’il pourra à nouveau se présenter comme candidat à une élection.  D’autre part, s’il décide plutôt de se tenir debout dans l’adversité, il devra se défendre, en cour, et bien sûr, recourir aux services d’un avocat, pour le représenter, et nous savons que les services d’un professionnel ne sont pas donnés.  Et il se trouve que, compte tenu de la nature même de l’affaire, David Grégoire ne pourra pas vraiment compter sur la grande famille libérale, pour l’appuyer.

Aussi, il fait un appel à tous.  Il invite la population à l’aider à défrayer ses frais d’avocat, face à la poursuite de Luigi Salvatore à son endroit.

Imaginons un instant que chaque personne qui a signé la pétition en ligne, pour la démission de Jean Charest, donne un dollar à David Grégoire, pour l’aider dans sa défense, il aurait amassé, en date d’aujourd’hui, tout près d’un quart de million!  Il n’en demande pas tant, mais si vous tenez à faire cesser le système d’enveloppes brunes, avouez que ce serait un beau geste!  Vous pouvez vous rendre sur la page web qu’il a créé, spécialement pour l’occasion, et suivre les instructions, pour faire un don.  Vous pouvez procéder par carte de crédit, ou encore par PayPal.  Vous trouverez même des instructions pour lui faire parvenir un chèque!

Mais allez savoir pourquoi, je ne crois pas qu’il va accepter… les enveloppes brunes!

Sérieux, allez-y, et soyez généreux!  Et dites que c’est moi qui vous envoie!

A-50, en 2010: (5) Au nord de Montebello

Toujours en allant de l’ouest vers l’est, nous voilà maintenant rendus au nord du village de Montebello, à Notre-Dame-de-Bonsecours.  Population; 270.

Quand on quitte la route 321, en prenant la côte Saint-Amédée, on verra, à environ un kilomètre et demi, à droite, la côte Saint-Hyacinthe, à savoir, cette route de gravier.  Et au loin, la chaussée de l’A-50, qui prend forme.  Comme quoi les responsables de la colonisation des lieux étaient très originaux, pour l’appellation des chemins locaux, à une intersection, située tout près de la chaussée de l’A-50, on retrouve le nom des trois chemins, à savoir la côte Saint-Hyacinthe Nord, la côte Saint-Hyacinthe Sud, et finalement, la côte Saint-Hyacinthe tout court.

Pour continuer sur la côte Saint-Hyacinthe (tout court, je présume), on passe sur la chaussée de l’A-50, et on se retrouve là, le long de la chaussée, avant de reprendre le cours normal de la côte Saint-Hyacinthe, qui mène à la route 323.

Ici, nous sommes sur la route 323, en direction nord, à l’intersection des bretelles d’entrée et de sortie de l’A-50 est.  Comme on l’a vu l’an dernier, les bretelles servent de chemin de déviation pendant que l’on construit les deux chaussées de l’autoroute.  Oui oui, vous avez bien lu; les deux chaussées, parce qu’à cet endroit, l’A-50 sera construite sur deux chaussées, et ce sur une distance d’un ou deux kilomètres.

Lors de mon passage, la route 323 faisait l’objet de travaux de reconstruction, qui s’étirent sur plus ou moins un kilomètre, au nord de la future A-50.  J’ai donc remonté la route jusqu’au début du chantier, afin de vous le montrer, en roulant en direction sud.  Ici, je suis à l’endroit où on devait attendre le geste du signaleur, afin de passer, dans une direction à la fois.  À noter que les quatre photos suivantes sont prises en mouvement.

Au niveau de l’entrée du parc Omega, les travailleurs s’affairent, pendant que le véhicule, devant moi, fait lever la poussière.

Comme on peut le voir, sur la pelle mécanique, c’est la compagnie Roxboro Excavation qui procède à ces travaux.

On approche de la fin de ce chantier.  Au loin, on voit la pente de la route 323, au sud de l’A-50, qui mène à Montebello.

Nous sommes maintenant à l’intersection des bretelles de l’A-50 ouest, de retour au chemin de déviation.

Il reste des photos pour illustrer deux autres billets, toujours en allant vers l’est.  Ces billets suivront, dans les prochains jours.