Projets d’éoliennes: La population n’est pas d’accord

Il me fait toujours drôle de voir des organisations, comme Québec solidaire (1), avancer que l’aménagement de parcs d’éoliennes serait la solution miracle à nos besoins futurs d’énergie, et que tout le monde sera logiquement d’accord.  Or, sur une quinzaine de projets de parcs éoliens, au Québec, au moins quatre font face à un fort vent d’opposition, dans les communautés locales où ces projets doivent être implantés.  C’est du moins ce que rapporte un article de Taïeb Moalla, publié sur le site web de la chaîne Argent.

Des quatre projets contestés, celui de la compagnie Kruger, d’implanter 34 éoliennes à Sainte-Luce, dans le Bas-Saint-Laurent, a été carrément abandonné, face à l’opposition de la population locale, qui a conduit à rien de moins que la tenue d’un référendum populaire.  Un autre projet, de 40 éoliennes, celui-là, prévu à Aguanish, sur la Côte-Nord, sera peut-être transféré à un autre endroit, mais ne sera définitivement pas implanté à Aguanish.  On parle de Saint-Robert-Bellarmin, quelque part entre l’Estrie et la Beauce, mais rien n’est réglé, de ce côté.  La résistance s’est également formée en Chaudière-Appalaches, dans les municipalités de Saint-Ferdinand, et de Sainte-Sophie-d’Halifax, dans la MRC de l’Érable, où un projet de 50 éoliennes est prévu, ainsi qu’à Kinnear’s Mills, dans la MRC des Appalaches.

Cela prouve que c’est facile d’élaborer des projets, à partir du Plateau Mont-Royal, ou d’une salle de conférences quelconque, mais les mettre en place, dans les diverses régions du Québec, représente une toute autre paire de manches.  Ce qui est bon pour QS (et forcément bon pour tout le monde, à les entendre parler) ne l’est pas nécessairement aux yeux de l’ensemble de la population.  Je demeure donc convaincu que le pauvre Amir Khadir risque de s’ennuyer, comme seul représentant de ce parti à l’Assemblée nationale, et risque donc d’aller faire la fête plus souvent avec les iraniens, question de mettre de la vie dans son quotidien.

(1) Je suis encore passé à deux cheveux de dire Québec suicidaire.

Fermeture de Miron: Pourquoi ne pas remplir d’autres anciennes carrières?

Dans un petit article, signé Charles Poulin, publié dans le Journal de Montréal de ce samedi, et repris par le site Canoë, on explique que la partie exploitée de la carrière Miron, transformée en dépotoir, il y a 20 ans, venait de recevoir ses derniers déchets à être enfouis.  Le site, qui fait partie du Complexe environnemental Saint-Michel (CESM), devrait maintenant être réaménagé en parc, d’ici 2020.  Toujours selon l’article, ce parc pourrait avoir les mêmes dimensions que celui du Mont-Royal.  À cet effet, il ne recevra désormais que des matériaux d’excavation.

La question que je me pose, c’est le nombre de carrières, dont l’exploitation a cessé, qui pourraient, à leur tour, être transformées en autant de dépotoirs, ce qui aiderait à régler, du moins pour un certain temps, le problème des déchets à enfouir, dans le grand Montréal.  Nous savons que le dépotoir de Lachenaie, entre autres, approche la pleine capacité, et que celle-ci fut légèrement accrue, question de pouvoir continuer à desservir la région, alors que les autorités n’osent pas lui accorder la permission de procéder à une véritable expansion, face à l’opposition des gens de la place, mais surtout celle des groupes environnementalistes organisés.  Nous savons aussi que des normes existent, et sont régulièrement mises à jour, concernant l’enfouissement des déchets.  Les biogaz, résultant de la décomposition des déchets, sont maintenant récupérés.  Dans le cas du site de la compagnie EBI, dans le secteur de Berthierville, ces gaz naturels sont purifiés, et transportés via le pipeline gazier de Trans-Québec et Maritimes (TQM), qui passe à quelques centaines de mètres du site.

Sachant cela, je crois que certaines carrières désaffectées pourraient très bien accepter des déchets, ce qui permettrait, en plus de régler un problème criant de capacité d’enfouissement, de remplir ces énormes trous pratiqués un peu partout.  Ces carrières ont fourni toutes sortes de matériaux, au fil des ans, mais à la fin de leur exploitation, ces sites sont souvent laissés à l’abandon.  Voilà une bonne façon de les réutiliser.

Bye Bye 2008: Pas de quoi téléphoner à sa mère!

Après les nombreuses visites, les commentaires (encore merci!), et tout ce qui s’est dit, à propos du Bye Bye 2008, je me suis donné la peine de le visionner en entier.  Vous pouvez le faire, vous aussi, question de revoir des bouts que vous auriez manqué, ou comme moi, pour savoir si les gens avaient raison de critiquer, en vous rendant sur le site de Radio-Canada, plus particulièrement sur la page web du Bye Bye.  On dit que l’on pourra visionner l’émission pendant tout le mois de janvier, mais cela reste à confirmer.

N’étant pas un amateur de ces spectacles où l’on entremêle variétés et rétrospective de l’année, j’ai donc trouvé cette émission plutôt ordinaire.  Pas qu’il n’y ait pas de talents, mais plutôt parce que l’on passe de l’un à l’autre, sans ligne conductrice.  Évidemment, tout est une question de goût; j’ai bien aimé celui de Daniel Lemire, il y a 10 ans, où tout fut mis sur la rétrospective de l’année, et je fus probablement l’un des seuls à l’aimer, tant la critique fut unanime à le trouver très mauvais.  En fait, je ne m’attarderai pas à chacun des numéros de l’émission, parce que suffisamment de gens l’ont déjà fait.

Par contre, en ce qui concerne les blagues sur Nathalie Simard, je vais m’inscrire en faux, face à ceux et celles qui n’acceptent pas que l’on s’en prenne à elle, à cause qu’elle fut victime de ce que l’on sait.  Il faut bien comprendre que madame Simard a fait beaucoup parler d’elle, en 2008.  D’abord, elle a lancé une tournée de spectacles, qui fut interrompue soudainement, pour des raisons encore nébuleuses.  Puis, se disant fatiguée de toute la pression médiatique, elle prit l’exil, vers la République Dominicaine, et ce, en compagnie du mari de celle qui finançait ladite tournée interrompue, celui-ci plaquant sa femme pour fuir vers le sud, en compagnie de Nathalie.  Pour couronner le tout, une fois là-bas, probablement pour se reposer de la pression des médias, elle a donné des entrevues à divers magazines de potins artistiques québécois.  À mes yeux, c’est bien suffisant pour se mériter une place de choix dans un Bye Bye.

Encore faut-il rappeler que Guy Cloutier n’a rien eu à voir avec tout ce que l’on a rapporté au sujet de Nathalie Simard, au cours de l’année 2008.  Elle fut sa victime pendant des années, je veux bien le croire.  Celui qui en a abusé est le père de Véronique Cloutier, c’est vrai aussi.  Par contre, ni Véronique Cloutier, ni Louis Morissette, ni aucun des auteurs du Bye Bye n’a été relié, de près ou de loin, à ce qu’a commis Guy Cloutier envers Nathalie Simard.  Aussi, il faut bien dissocier les deux époques; elle fut victime de Cloutier, pendant des années, et je n’efface pas les conséquences des gestes du bonhomme du revers de la main.  Par contre, Nathalie Simard, de par ses propres faits et gestes de l’année 2008, a bel et bien méritée sa place parmi les victimes du Bye Bye.  Bon, peut-être que l’histoire des hyper-flatulences fut-elle de trop.  Mais venant de celui qui se baptise lui-même « le gros cave », il fallait s’y attendre un peu.

Donc, en gros, le Bye Bye 2008 du couple Cloutier-Morissette était un Bye Bye parmi tant d’autres.  Il n’y avait là pas de quoi téléphoner à sa mère.

A-40: Épisode 3 – Le côté sombre de l’autoroute Métropolitaine

Bon, je disais, il n’y a pas si longtemps, que ça faisait un bail que je n’étais pas allé prendre des photos.  J’ai donc profité d’un jour de congé imprévu (ben oui, ça arrive) pour aller prendre quelques nouvelles images d’un endroit que je n’ai pas examiné depuis des mois, et j’ai nommé l’autoroute Métropolitaine.

La dernière fois, je me suis arrêté au rond-point de l’avenue Papineau.  Alors cette fois-ci, je repars de ce point, vers l’ouest, jusqu’à la rue Saint-Hubert.  Comme j’ai pris suffisamment de photos pour illustrer deux billets, je vous montrerai ici les sections 18, 17 et 16, soit plus ou moins jusqu’à la hauteur de la rue Chambord, puis dans un second billet, je mettrai les autres photos, soit celles des sections 15 à 12, inclusivement.

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Moi qui croyais pouvoir vous montrer des trucs vraiment nouveaux,…

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…je suis hanté par cette envahissante impression de vous passer des reprises…

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…des images du printemps dernier, comme ici, où l’on voit les feuilles de styromousse.  Pourtant, cette photo date bien du 2 décembre 2008.

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C’est vrai, quoi; c’est encore des photos de tiges métalliques à nu,…

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…de béton qui s’effrite à le regarder,…

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…et de colonnes fissurées de haut en bas.  Bref, plus ça change, plus c’est pareil.

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La section 18 peut rivaliser avec les autres sections que j’ai visité avant.

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Ici, des rapiéçages qui ont fini par lâcher prise,…

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…et là, dans la section 17, une affiche qui vous avertit du fait que l’on vous regarde.  C’est que les sections 17, et 16, sont louées par la compagnie d’assurance Industrielle-Alliance, et fait l’objet de surveillance à distance.

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Comme vous pouvez le voir, ce n’était pas des blagues.  On vous regarde pour vrai.

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Évidemment, qui dit Métropolitaine vue d’en-dessous, dit forcément grillage, pour retenir les fragments de béton.

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Bienvenue dans la section 16, soit l’autre section réservée par l’Industrielle-Alliance.  Je comprends qu’il n’y ait personne, dans cette guérite; les vitres sont tellement sales que l’on aurait peine à voir dehors.  Et ça, ce n’est rien; attendez que l’hiver, et ses épandages de sel routier, batte son plein.

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C’est sous cet autre bout de grillage que j’ai vu un type, qui quittait le stationnement, avec sa voiture, et qui a baissé la glace latérale, pour m’adresser la parole.  Quand je lui ai demandé « Vous n’avez pas peur que ça vous tombe dessus? », il m’a répondu « J’y ai déjà pensé ».  Ça vous donne une idée.

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Encore des tiges d’armature à nu, cette fois sur la bretelle de sortie vers l’avenue Christophe-Colomb.

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On dirait un autre rapiéçage qui n’a pas tenu le coup, ici.

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Enfin, une photo inusitée.  Tout près de la colonne, un soulier, tout seul, et qui n’a pas trop l’air délabré.  Un peu comme si quelqu’un s’était fait prendre en flagrant délit, et qu’en prenant la fuite, il aurait laissé tomber cette pièce à conviction.

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Terminons ce billet avec une autre colonne, dont le béton s’est effrité sur toute sa hauteur.

Dans le second billet, la suite des photos, jusqu’à la rue Saint-Hubert, comprenant, entre autres, un détail intéressant, c’est le moins que l’on puisse dire, sur la bretelle de sortie, en direction est, celle qui mène à la rue Saint-Hubert, et à l’avenue Papineau.  C’est donc à suivre.

Élections provinciales: Ne jugeons pas que sur les apparences

Bon, je vais vous faire un aveu.  Ce n’est pas parce que l’on opère un blogue que l’on est à l’abri de la tentation de juger au premier coup d’oeil.  Moi aussi, j’ai cette tendance malheureuse à porter un jugement à priori, qui s’avèrera erroné, après quelques conversations.

Aussi, pour les prochaines élections, qui s’en viennent très rapidement, permettez-moi de me prêter à ce petit jeu qui, tenons-nous le pour dit, ne demeurera qu’un jeu.  Je vous montrerai des photos* de candidats, ou plutôt de candidates, et je vous ferai part de mes premières impressions.  Évidemment, compte tenu que je suis un homme, je suis davantage attiré par des photos de femmes.  Quoi de plus normal, après tout.

Je ne peux pas décrire un type précis de femme qui m’attire au premier regard.  Par contre, certaines ont 31 MARIE-FRANCE DAOUST_Hquelque chose d’attirant.  Prenons celle-ci, par exemple. Cette candidate du parti libéral n’est sûrement pas un mannequin, mais elle a un je-ne-sais-quoi qui impressionne.  Est-ce son regard, avec ses yeux tout petits, ou encore cet air, qui laisse l’impression qu’elle ne laisse pas entrer n’importe qui, dans son entourage?  N’empêche que quand j’ai vu le visage de Marie-France Daoust, sur ses pancartes, dans la circonscription de Deux-Montagnes, il y a une petite voix, à l’intérieur de moi, qui a dit « Wow! »

Bien entendu, le fait que je travaille sur la route me permet de voir des dizaines de pancartes de candidats différents.

4 LISE THERIAULT_HUne autre photo intéressante, celle de la députée sortante d’Anjou, Lise Thériault.  Je peux vous en parler un peu, d’abord parce que c’est ma députée, mais surtout parce que je l’ai rencontrée en personne, lors du scrutin de 2007, alors que je travaillais dans un bureau de vote, et qu’elle est venue saluer le personnel électoral.  Elle a l’air bien, comme ça, sur sa photo, mais en personne, c’est une grande femme, très ravissante.  Elle fait très bonne impression, ce qui est bien, pour une femme d’affaires.  Parce qu’avant d’être députée, madame Thériault était femme d’affaires.

En consultant les divers sites des partis politiques principaux, vous pourrez voir les photos de tous les candidats en lice; vous pourrez les regarder, et juger par vous-même.70 ISABELLE MERCILLE_H2_HR

D’autres candidates m’impressionnent également, que ce soit par leur jeunesse, ou encore par un petit quelque chose, sur l’image, que ce soit le sourire, le regard, ou l’apparence générale.  Par exemple, regardons ce que dégage Isabelle Mercille, candidate dans la circonscription de Marie-Victorin, toujours au parti libéral.  Je ne sais pas pour vous, mais à mes yeux, elle dégage quelque chose de rassurant, qui donne envie de s’approcher, de lui faire confiance.  Mais en même temps, j’ai l’impression que si je me trouvais seul, en sa compagnie, je serais plutôt mal à l’aise; je bafouillerais plus que je parlerais, je crois.  C’en est une autre, qui a provoqué un « Wow! », en moi, lorsque j’ai vu sa pancarte.

83 YOLANDE JAMES_HUne autre, qui m’a fait agréablement réagir, c’est la députée sortante de la circonscription de Nelligan, dans le West-Island, et j’ai nommé Yolande James.  Bon, c’est vrai qu’elle a la jeunesse pour elle, mais sur cette photo, n’eut été de son rouge à lèvres un peu trop proéminent, avouez que madame James donne l’impression d’avoir beaucoup de classe.

Évidemment, certains diront – avec raison – que les photos des candidats, sur les pancartes, ne sont pas totalement originales, et ont été retouchées, pour ne pas dire photoshoppées.  Par contre, si la grande majorité des photos de candidates du parti libéral ont été améliorées (même Charlotte L’Écuyer a presque l’air sexy!), ce ne fut pas le cas pour toutes.100 NATHALIE RIVARD H_HIRES

Je prendrai l’exemple de la candidate du parti libéral dans Rosemont, Nathalie Rivard.  Je ne sais pas s’il lui est arrivé un malheur, entre la campagne de 2007 et la présente, ou encore si le photoshoppeur est son ex, et qu’il a voulu se venger, mais je trouve qu’on l’a vraiment maganée, la pauvre.  Elle a pourtant provoqué, en moi, un énorme « Wow! », sur ses pancartes de la dernière campagne.  Mais là, je ne sais pas.  Elle n’est pas laide, loin de là, mais j’ai l’impression que « le gars des vues » ne l’a pas arrangée.

Du côté des péquistes, il y a, là aussi, de jeunes et jolies candidates, et d’autres, un peu moins jeunes, mais très ravissantes, quand même.  Par contre, c’est dans ce parti que se arton69mariemalavoytrouve celle que j’appellerais « mon éteignoir ».  Pas qu’elle soit laide, elle non plus, mais elle me fait penser à une cousine de ma mère, qui, à chaque fois qu’elle débarquait à la maison, me « tombait dans la face » à propos de tout et de n’importe quoi, ce qui n’arrangeait rien.  Et cette candidate, qui me fait penser à la cousine de ma mère, c’est Marie Malavoy.  Juste à la voir, elle me « purge », comme disait feu mon frère.  C’est peut-être une femme formidable, en personne, mais juste au niveau de l’image, il n’y a rien à faire!  Désolé, madame Malavoy.  Vous n’y êtes pour rien.

Comme je le disais, il y a aussi de très belles candidates, au parti québécois.  Je pense, par exemple, à la arton158veroniquehivoncandidate dans la circonscription de Joliette, Véronique Hivon.  Quel regard vif!  Elle semble avoir une personnalité attachante, oui, mais ses yeux… wow!  Je suis certain que, quand elle fait du porte à porte, et qu’elle regarde un électeur dans les yeux, en lui serrant la main, et en lui disant « Alors, je peux compter sur vous, le 8 décembre prochain? », le vote du monsieur est assuré à 95%.  À moins que sa conjointe regarde la scène, du coin de l’oeil; une fois la porte refermée, et notre type seul avec sa femme, il regardera probablement par terre, quand sa tendre moitié lui dira « Ouais, me semblait que tu votais pour l’ADQ, cette fois-ci? »  Le pauvre gars aura tout un cas de conscience, lorsqu’il sera tout seul dans l’isoloir.  Je parle de l’isoloir du bureau de vote, bande de pervers!  Faut tout leur expliquer…

arton120mireillemercier-royUne autre candidate péquiste, qui a un air pas commun, c’est celle de la circonscription de Beauce-Nord, Mireille Mercier-Roy.  Je lui trouve un air espiègle, un je-ne-sais-quoi,…  Elle a le genre, comment dire, que son chum ne doit pas s’ennuyer, avec elle.  Je ne sais pas comment la décrire, je cherche mes mots.  Peut-être devrais-je dire qu’elle a l’air passionné?  En tous cas, elle n’est pas banale.  Personnellement, c’est un autre cas de « Wow! »

Je terminerai, du côté du parti québécois, avec la candidate dans la circonscription de Jean-Lesage, et j’ai nommé Hélène Guillemette.  Au centre de cette chevelure abondante, on voit un visage plutôt déterminé.  Elle semble fière dearton154heleneguillemette son coup, comme si elle disait « Ouais, ça y est, j’ai réussi! ».  Une jolie jeune dame, qui ne semble pas avoir atteint la trentaine, encore.  Mais même si Hélène a une très belle gueule, elle aura bien besoin de toute sa détermination, surtout si l’ADQ est encore un parti fort dans la région de la vieille capitale.

Parlant de l’action démocratique du Québec, si l’on regarde au sein de cette formation, il y a moins de femmes, parmi les candidats, et les photos, sur le site, sont de moins grandes dimensions, ce qui ne les met pas autant en valeur que les autres candidates.  Nous pouvons quand même jeter un oeil sur quelques candidates, ou députées sortantes.

1a6f853d9alindalapointeCommençons avec la députée sortante de la circonscription de Groulx, dans la couronne nord de Montréal, Linda Lapointe.  Linda est une femme d’affaires bien connue, qui oeuvrait dans le domaine de l’alimentation, avant de devenir députée.  Je n’ai aucun doute que quand elle donne une poignée de main à quelqu’un, elle doit regarder la personne dans les yeux, et la poignée de main est sûrement franche, bien sentie.

698f55c709karinesimardUne autre, qui a un regard intense, et qui tente à nouveau sa chance, pour l’ADQ, est Karine Simard, qui va croiser le fer contre Marie Malavoy, entre autres, dans Taillon, sur la rive-sud de Montréal.  Karine semble tout à fait charmante.  Mère de trois enfants, elle a l’air toute jeune, encore.

Alors, voilà pour mon petit jeu.  Cela peut sembler plutôt léger, de juger des candidats à travers leur apparence, mais souvenons-nous qu’il ne s’agit que d’un jeu; chaque candidat, et chaque candidate, se doit d’avoir une bonne connaissance des dossiers locaux, et nationaux, ainsi que du programme de son parti, si l’on veut que cette personne fasse un excellent travail de député.  Autrement dit, une fois dans l’isoloir, il faut penser plus loin que la belle gueule, et tenter de juger surtout les compétences.

Si d’autres candidates vous impressionnent, n’hésitez pas à me le faire savoir, afin que je trouve leur photo, et que je l’ajoute, dans ce billet.  Quant à vous, mesdames, qui voudriez voir de beaux messieurs, allez-y, vous aussi!  Faites-moi part de vos coups de coeur, et je monterai une partie de ce billet selon vos meilleurs choix.

* Il est à noter que les photos proviennent des sites web des partis politiques, et n’appartiennent pas au Blogue de Richard3.  Si l’utilisation faite de ces photos, en ce blogue, est interdite, par les propriétaires légitimes des photos, je les retirerai à leur demande.