Dans le dernier billet, je me suis arrêté aux environs de la rue Chambord. Cette fois, je continue, toujours vers l’ouest, jusqu’à la rue Saint-Hubert.
Au plafond, dans la section 15, encore la même chose. Du rapiéçage qui n’a pas tenu le coup.
Le panneau dit « Symboles d’installations propres et sécuritaires ». Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire!
Probablement les bases d’anciennes guérites, ou de barrières mécaniques, qui fermaient l’accès, au niveau du dernier passage avant l’avenue Christophe-Colomb.
Voici l’entrée de la section 13. Sera-ce la section malchanceuse?
Encore une fois, un rapiéçage frais, mais avec une portion manquante.
La journée avait été un peu pluvieuse. À preuve, l’eau, qui s’écoule du joint.
Bienvenue dans la section 12. Si les sections 15, 14 et 13 étaient très courtes, la section 12 s’allonge depuis l’avenue Christophe-Colomb jusqu’à la rue Saint-Hubert. En fait, aucune indication, à Saint-Hubert, ne signalait que l’on changeait de section. C’est à suivre. Pour l’instant, voyez les flaques d’eau, qui font une belle ligne droite, au centre.
Avouez que ça faisait longtemps, que je vous avais montré du beau styromousse bleu.
Encore des tiges d’armature à nu. Plus ça change, plus c’est pareil.
Voici des stalactites. Quoi, vous ne me croyez pas? Attendez un peu. Je mets un peu de zoom,…
…et voilà! Vous les voyez de plus près, maintenant.
À nouveau, de l’écoulement, au niveau d’un joint, et des tiges métalliques dénudées.
Voici la bretelle de sortie, en direction est, qui mène à la rue Saint-Hubert, et aux avenues Papineau et Christophe-Colomb. Le grillage qui y est apposé ne sert pas à y fixer des décorations de Noël, mais bien à y retenir le béton, qui risquerait, autrement, de se retrouver dans votre pare-brise.
La même bretelle, vue de plus près. On y voit la rouille, des barres d’armature métalliques, qui suintent à travers le béton. Rassurant, dites-vous? Attendez de voir…
…celle-ci. On y distingue le joint entre deux coulées de béton, à travers les tiges rouillées. Je crois que je prendrai une autre sortie, finalement.
J’ai pourtant vu des travaux, l’été dernier, à cet endroit. On ne devait sûrement pas réparer le béton.
Tout près de la rue Saint-Hubert, on voit bien, encore une fois, l’écoulement d’eau, depuis le dessus de la surface de roulement, à travers le joint des deux chaussées.
Nous sommes rendus, cette fois, à la rue Saint-Hubert. Il reste suffisamment de chaussées en hauteur pour une ou deux auutres visites, puisque cette partie surélevée va jusqu’à l’ouest du boulevard Saint-Laurent, et une autre partie surélevée débute à l’est de l’avenue Sainte-Croix, à ville Saint-Laurent, ou du chemin Lucerne, à ville Mont-Royal, selon que l’on se trouve au nord, ou au sud de la Métropolitaine, et se termine à l’ouest de l’échangeur de la Côte-de-Liesse. Bref, de quoi faire une bonne indigestion de béton effrité.