Virginie Roy se fait défaitiste, pour son bilan de 2008

J’ai recommencé à lire les écrits de Virginie Roy.  Bon, je sais, j’ai été un peu dur, avec elle, à l’occasion, mais elle court après les coups.  Comme par exemple, dans son billet d’hier (17 décembre), elle prétend que l’année 2008 fut un échec, du côté environnemental.  Essayons ensemble de décortiquer son article.

Elle aborde d’abord l’affaire des changements climatiques en disant que « Avec la crise économique, les changements climatiques, le dossier le plus préoccupant de l’heure, semblent avoir été mis de côté pendant l’année 2008. Ainsi, le phénomène guette encore et toujours les populations ainsi que les biodiversités du monde. »  Je veux bien croire que le phénomène guette le monde, mais en définitive, et au risque de me répéter, le monde ne peut pas empêcher les changements climatiques de survenir.  On peut se prémunir contre les effets de tels changements, mais on ne peut pas les empêcher.  C’est clair comme de l’eau de source; personne n’aurait pu empêcher le Groenland de se couvrir de glace, il y a plusieurs centaines d’années.  Mais la belle qui ne sort pas les poubelles(1) refuse de se rendre à l’évidence, tout comme de bien connues, et bien nombreuses personnalités.  Même que je ne sais pas si elle voudra l’admettre, mais le fait que des milliers – des millions – de gens soient aveuglés par cette croyance, que l’on peut empêcher les changements climatiques, permet à des activistes, comme Al Gore, et David Suzuki, de vendre des conférences, à des milliers de dollars l’heure, et à plein de lobbyistes de faire des tonnes de fric sur le dos des gouvernements, donc, des contribuables.  Je me permettrai de faire remarquer à Virginie Roy que si l’année 2008 est la dixième année la plus chaude depuis 1850, c’est parce qu’il y en a eu 9 autres, plus chaudes encore, que celle qui s’achèvera bientôt.  Sinon, on se serait empressé de dire que 2008 était LA plus chaude de toutes.

Quand aux statistiques de réduction des gaz à effet de serre (GeS), et du piètre bilan du Canada, dans ce domaine, faudrait-il que madame Roy se rende à l’évidence que l’augmentation du taux de GeS du Canada n’a pas commencé sous Stephen Harper, mais sous Paul Martin!  Elle devrait au moins remercier les conservateurs de « parler des vraies affaires », devant l’ONU, et les autres forums internationaux, au lieu de faire comme les libéraux, et de tenir un discours vert, devant les médias, et de faire le contraire dès que les caméras sont éteintes.

Virginie Roy aborde ensuite les décisions des autres ordres de gouvernements, en matière de transports.  Peut-être que « la ville de Montréal a pondu un plan de transports ambitieux« , mais tout le monde sait que la ville de Montréal n’a pas les moyens de ses ambitions.  On essaie de culpabiliser les automobilistes, alors que l’on sait que ceux-ci représentent des sources de revenus, autant pour la ville elle-même que pour les organismes de transport en commun.  Quant aux décisions de Québec d’aller de l’avant, avec le pont de l’A-25, la rue Notre-Dame et l’échangeur Turcot, le gouvernement provincial avait-il vraiment le choix?  Le pont de l’A-25 viendra corriger un retard de développement de presque 30 ans, en plus de donner un premier véritable axe nord-sud, qui permettra de traverser l’île de Montréal en ligne directe.  Pour le bénéfice de l’information de madame Roy, je dirai ici qu’afin de procéder à l’amélioration de la rue Notre-Dame, environ 1200 unités de logement ont été rasées au sol, chassant autant de familles, il y a de cela plus de 35 ans, et ne serait-ce que par respect envers ces familles, et pour leur prouver qu’elles n’ont pas été chassées pour rien, il faudra bien améliorer cet accès vers le tunnel Lafontaine, depuis le centre-ville; d’ailleurs, si l’ouest a droit à un accès rapide, en l’autoroute Ville-Marie, dont il ne pourrait plus se passer, désormais, pourquoi faudrait-il en priver l’est?  En ce qui a trait à Turcot, si on ne refait pas complètement cet échangeur, il tombera de lui-même sur la tête des gens; c’est d’ailleurs déjà commencé!

Pour le reste, les gouvernements qui se fixent des objectifs trop ambitieux n’ont qu’eux seuls à reprocher, si ces mêmes objectifs ne sont pas atteints.  Aussi, se fixer des objectifs est une chose, mais se donner les outils afin de les atteindre est une toute autre paire de manches.  D’un côté, on se plaint que les objectifs de gestion des matières résiduelles ne sont pas atteints, alors que de l’autre, une bonne partie des matières mises au recyclage par les citoyens finissent dans les dépotoirs.  Quant aux villes qui ont adopté « un système efficace à trois voies : recyclages, déchets et compostes« , elles ne vont sûrement pas se vanter de mettre en place un système de ramassage des ordures qui multiplie par trois les émissions de GeS, puisqu’il faut trois séries de camions, et trois séries d’installations, pour faire le travail.

Bref, c’est vrai que l’on peut faire mieux, en matière d’environnement.  Encore faut-il mettre les gens dans le coup, et promettre rétribution, pour le travail accompli.  Par exemple, il traîne beaucoup moins de bouteilles de plastique de boissons gazeuses, dans l’environnement, que de bouteilles d’eau.  Pourquoi?  Parce que quand on rapporte ses contenants – cannettes et bouteilles – de boissons gazeuses, il y a 5 cents à la clé, pour chacun d’eux.  Pourquoi ne pas faire de même avec les bouteilles d’eau?  D’ailleurs, si l’on consomme l’eau embouteillée, c’est qu’il y a une raison, principalement d’ordre pratique.  Pourquoi alors ne pas rapporter lesdites bouteilles à la maison, et les remplir avec l’eau du robinet?  Du coup, on allie le côté pratique, et on pollue moins, puisque les mêmes bouteilles peuvent servir pendant des mois.  Évidemment, ce n’est pas Al Gore qui va proposer un truc comme le remplissage de ses bouteilles d’eau; il préfèrera soumettre des plans onéreux aux gouvernements, et faire des tonnes de fric avec ses conférences.

(1) Ce n’est pas moi qui le dit; lisez-le par vous-même, dans cet article, signé Virginie Roy.

Mise à jour le 27 décembre 2008, à 15h05.

A-40: Épisode 3 – Le côté sombre de l’autoroute Métropolitaine

Bon, je disais, il n’y a pas si longtemps, que ça faisait un bail que je n’étais pas allé prendre des photos.  J’ai donc profité d’un jour de congé imprévu (ben oui, ça arrive) pour aller prendre quelques nouvelles images d’un endroit que je n’ai pas examiné depuis des mois, et j’ai nommé l’autoroute Métropolitaine.

La dernière fois, je me suis arrêté au rond-point de l’avenue Papineau.  Alors cette fois-ci, je repars de ce point, vers l’ouest, jusqu’à la rue Saint-Hubert.  Comme j’ai pris suffisamment de photos pour illustrer deux billets, je vous montrerai ici les sections 18, 17 et 16, soit plus ou moins jusqu’à la hauteur de la rue Chambord, puis dans un second billet, je mettrai les autres photos, soit celles des sections 15 à 12, inclusivement.

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Moi qui croyais pouvoir vous montrer des trucs vraiment nouveaux,…

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…je suis hanté par cette envahissante impression de vous passer des reprises…

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…des images du printemps dernier, comme ici, où l’on voit les feuilles de styromousse.  Pourtant, cette photo date bien du 2 décembre 2008.

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C’est vrai, quoi; c’est encore des photos de tiges métalliques à nu,…

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…de béton qui s’effrite à le regarder,…

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…et de colonnes fissurées de haut en bas.  Bref, plus ça change, plus c’est pareil.

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La section 18 peut rivaliser avec les autres sections que j’ai visité avant.

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Ici, des rapiéçages qui ont fini par lâcher prise,…

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…et là, dans la section 17, une affiche qui vous avertit du fait que l’on vous regarde.  C’est que les sections 17, et 16, sont louées par la compagnie d’assurance Industrielle-Alliance, et fait l’objet de surveillance à distance.

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Comme vous pouvez le voir, ce n’était pas des blagues.  On vous regarde pour vrai.

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Évidemment, qui dit Métropolitaine vue d’en-dessous, dit forcément grillage, pour retenir les fragments de béton.

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Bienvenue dans la section 16, soit l’autre section réservée par l’Industrielle-Alliance.  Je comprends qu’il n’y ait personne, dans cette guérite; les vitres sont tellement sales que l’on aurait peine à voir dehors.  Et ça, ce n’est rien; attendez que l’hiver, et ses épandages de sel routier, batte son plein.

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C’est sous cet autre bout de grillage que j’ai vu un type, qui quittait le stationnement, avec sa voiture, et qui a baissé la glace latérale, pour m’adresser la parole.  Quand je lui ai demandé « Vous n’avez pas peur que ça vous tombe dessus? », il m’a répondu « J’y ai déjà pensé ».  Ça vous donne une idée.

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Encore des tiges d’armature à nu, cette fois sur la bretelle de sortie vers l’avenue Christophe-Colomb.

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On dirait un autre rapiéçage qui n’a pas tenu le coup, ici.

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Enfin, une photo inusitée.  Tout près de la colonne, un soulier, tout seul, et qui n’a pas trop l’air délabré.  Un peu comme si quelqu’un s’était fait prendre en flagrant délit, et qu’en prenant la fuite, il aurait laissé tomber cette pièce à conviction.

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Terminons ce billet avec une autre colonne, dont le béton s’est effrité sur toute sa hauteur.

Dans le second billet, la suite des photos, jusqu’à la rue Saint-Hubert, comprenant, entre autres, un détail intéressant, c’est le moins que l’on puisse dire, sur la bretelle de sortie, en direction est, celle qui mène à la rue Saint-Hubert, et à l’avenue Papineau.  C’est donc à suivre.

Assemblée nationale: Ça va jouer dur…

La session parlementaire de l’automne 2008, qui vient de commencer, à l’Assemblée nationale, risque de nous en montrer « des vertes, et des pas mûres ».

Déjà, la première semaine fut plutôt mouvementée.  Jean Charest a reçu une première « claque sur la gueule » lorsque les deux partis d’opposition, ensemble, ont fini par proposer le péquiste François Gendron, à titre de président de l’assemblée, et que celui-ci fut élu, compte tenu que les libéraux sont minoritaires.  Les paroles du premier ministre ne laissaient place à aucun flou; « atteinte au climat de confiance, malheureuse intrigue, jeux de coulisses, non-respect de la parole donnée, subterfuge, candidature cachée, rupture avec 216 ans de tradition parlementaire », name it !  Il a même avancé que ce geste pourrait avoir des conséquences.  Bref, en bon québécois, Charest était en beau tabarnak!

À peine quelques heures plus tard, ce fut au tour de Jean Charest lui-même de contre-attaquer, accueillant deux députés adéquistes dans son équipe.  Le député d’Iberville, André Reidl, et celui de Champlain, Pierre-Michel Auger, ont en effet joué les « vire-capots », pour passer de l’autre côté de la chambre, avec les libéraux.  Changement de positions; c’était au tour de Mario Dumont d’être en beau tabarnak, et à Jean Charest d’être fier de son coup.

Reste à voir comment tout cela va se poursuivre.  Ce week-end, à Drummondville, les adéquistes sont réunis en conseil général, et Mario Dumont en a appelé au sens de l’engagement de ses députés, lui qui a dit aux journalistes que les liens entre les députés actuels s’étaient resserrés, suite à ces deux défections.  Mais le gros bout du bâton demeure entre les mains du premier ministre, car même s’il le nie régulièrement, sa façon d’être montre le Jean Charest des campagnes électorales.  En deux mots, le premier ministre risque bien de nous convoquer aux urnes dès cet automne, ce qui nous occasionnerait une seconde campagne d’ici les fêtes, et ce même si cela effraie Pauline 1ère.  Si cela se confirme, ce sera très bientôt, d’ici deux semaines, tout au plus.  Après cela, il sera trop tard, car les québécois n’ont jamais beaucoup aimé les élections en plein hiver.

Bref, les grands gagnants, cet automne, semblent bien être les imprimeurs de pancartes!

A-5: (2) Ça commence à prendre forme!

Voici la deuxième moitié de la pile de photos que j’ai prises, lors de mon dernier passage au nord de Gatineau, plus précisément à Chelsea, sur le chantier de l’autoroute 5.

Ici, on ne voit pas très bien, en raison du contrejour, causé par le soleil couchant, mais si l’on regarde bien, on peut voir l’ouverture pratiquée dans la forêt, pour laisser place à l’A-5.

On voit l’amoncellement de blocs de styromousse, installés afin de servir de base à la chaussée de l’A-5, en direction sud.  Cette technique est utilisée pour réduire le poids des matériaux qui servent de base à la chaussée.

En me retournant vers le nord, on voit la fin de l’amoncellement de blocs de styromousse, à l’endroit où il reste encore un peu de montagne à retirer.

Au bout des blocs, en regardant plus loin, vers le sud, le terrassement de l’A-5 sud est plus avancé.

Cette fois, c’est la chaussée vers le nord, que l’on voit, mais en regardant vers le sud.  À l’avant-plan, une potence de lampadaire, avec la conduite électrique, en plastique.  Au-delà de la potence, la conduite est fraîchement recouverte de sable,…

…alors que si l’on regarde vers le nord, la conduite n’est pas encore recouverte.  Au loin, à droite, c’est la route 105.

À nouveau, la chaussée nord, vue d’un peu plus loin, vers le sud.

Sur la chaussée sud de l’A-5, un plan de concassage.  Il est fréquent, sur des chantiers de cette envergure, que l’on installe une telle usine directement sur le site, ce qui réduit le transport de la pierre fraîchement dynamitée.

Entre les deux chaussées, un poste de pesée, pour les camions qui transportent la pierre concassée.

Le soleil commence sérieusement à baisser.  Ici, à gauche, la bretelle d’entrée, depuis le chemin de la Rivière, et à droite, la chaussée nord de l’A-5.

Nous voici tout près du viaduc que l’on a vu dans la première moitié du paquet de photos.  En contrebas, la bretelle de sortie, à la fin actuelle de l’A-5 nord.

Cette fois, c’est le viaduc de l’A-5, en direction sud, au niveau du chemin de la Rivière.  Au loin, les feux des véhicules qui prennent l’A-5 sud, vers Gatineau.

Dans les commentaires reçus suite à la publication de la première moitié des photos de ce chantier, celui de Félix, qui me disait que ce petit bout de chemin, qui relie la fin actuelle de l’A-5 à la route 105 n’est pas une portion de chemin de la Rivière.  À proprement parler, il a raison, parce que l’intersection de la route 105 et du vrai chemin de la rivière est située à environ 125 pieds au sud de celle de ce chemin de raccord.  Je ne voudrais pas créer de désaccord, ici; il est plus que probable que la municipalité de Chelsea, là où se situe la scène, n’appelle pas ce raccord « chemin de la Rivière », mais quand l’A-5 sera prolongée, la sortie 21 sera identifiée comment, d’après vous?  Je n’ai pas interrogé qui que ce soit, au MTQ, mais il est plus que probable que l’on voit, sur la supersignalisation, la mention « chemin de la Rivière », probablement accompagnée d’une mention pour le Parc de la Gatineau, parce qu’il n’y a pas vraiment autre chose, dans les environs, que ce soit un chemin principal, ou un périmètre urbain quelconque.

Par contre, ce même Félix a aussi mentionné que « ça sent 2009 ».  Sur ce point, le MTQ, sur son site web, prévoit que ce tronçon sera effectivement ouvert à l’automne de 2009.  Le site raconte également, de façon plus vague, en utilisant le terme « échéancier technique planifié », que le tronçon suivant, de six kilomètres et demi, qui permettra de relier l’autre tronçon existant de l’A-5, près du village de Wakefield, dans la municipalité de La Pêche, sera construit entre 2009 et 2012, alors que le dernier, long d’environ un kilomètre, qui permettra d’éviter une section particulièrement dangereuse, sur la route 105, devrait être réalisé à partir de 2013, et être ouvert à la circulation en 2014.

A-5: (1) Ça commence à prendre forme!

MarcFP85 l’a bien mentionné, en commentaire, dans mon dernier photo-billet, quand je demandais de deviner quel autre chantier j’ai visité en Outaouais.  Il s’agit bien de l’autoroute 5.

Ça faisait un bon bout de temps que je l’avais en tête, celui-là.  Eh bien voilà, cette fois, c’est fait!  J’ai pris plusieurs photos, tant et si bien que je devrai les montrer en deux billets distincts.  Il n’y a pas de thèmes vraiment particuliers, au niveau des photos, alors j’ai séparé le paquet à peu près en deux.  Voici donc la première moitié de la pile.

Voici la fin actuelle de l’A-5, à la hauteur de Chelsea.  Les nombreuses balises vous dirigent vers la sortie 21, qui mène à l’intersection de la route 105, et du chemin de la Rivière.

Et voilà ce que l’on voit, quand on entre derrière les balises.  Un chantier qui prend forme.

Depuis le même endroit, je me suis tourné de quelques 90 degrés vers la droite, pour prendre cette fenêtre, dans le roc,…

…puis d’un autre 90 degrés à droite, pour vous montrer un dernier amoncellement de roc à faire éclater, à côté duquel la blogue-mobile a l’air bien petite.

Je me suis approché de l’une des pièces de résistance de ce chantier, à savoir le viaduc de l’A-5 nord, qui surplombe le chemin de la Rivière.

Le soleil a beau être éblouissant, sur la blancheur du béton, mais on peut quand même constater que la marche est trop haute, et que la blogue-mobile ne peut pas grimper là.

Une photo du viaduc de l’A-5 sud, prise depuis celui de l’A-5 nord, toujours au-dessus du chemin de la Rivière.

Au-delà du viaduc du chemin de la Rivière, la chaussée de l’A-5 nord a l’air beaucoup plus avancée.

Quand on prend le chemin Pine, situé un peu au nord du chemin de la Rivière, on doit passer sous l’A-5.  Le passage sous la chaussée nord fait penser à un petit tunnel,…

…alors que celui sous la chaussée sud, ben… c’est pas mal semblable, en fait.

C’est à cet endroit que le plus gros des travaux se termine, un peu au sud du chemin Cross Loop.  Ici, on voit une potence de lampadaire, au beau milieu des deux chaussées.

Ici, deux foreuses, au repos.  Elles servent à percer les trous dans lesquels on met la dynamite, pour exploser les parois rocheuses.

À cet endroit, on bouffe la montagne, petit à petit, pour faire place à la chaussée sud de l’A-5.

Entre la potence de lampadaire, que l’on a vu de plus près sur une pose précédente, et la blogue-mobile, on fait une petit bout de chaussée qui servira d’intersection entre l’A-5 et la route 105, que l’on voit en arrière-plan, juste devant les arbres.

Le bout de chaussée viendra recouvrir ce ponceau, et se rendra jusqu’au niveau de la route 105,…

…où il rejoindra cette bouche d’égout pluvial, présentement toute seule parmi les longues herbes.

Il reste encore une douzaine de photos, que je mettrai dans un second billet.  Comme je l’ai déjà mentionné, j’essaie de ne pas mettre trop de photos dans un même billet, question de donner une chance à ceux et celles qui ont des ordinateurs moins puissants.  Ce second billet suivra, dans les prochains jours.