A-50, en 2010: (3) Du côté de Lochaber

Lors de ma dernière tournée en Outaouais, j’ai pris des photos des différents chantiers de l’A-50, bien évidemment.  Par contre, comme je voulais couvrir un maximum de territoire dans une seule journée, j’ai dû me contenter de l’essentiel, et passer rapidement d’un endroit à l’autre.  J’ai donc pu constater que tout le long de la distance entre la sortie 187 (route 317, au nord de Thurso) et la sortie 239 (chemin Scotch, à Grenville-sur-la-Rouge), les travaux sont débutés.  Aujourd’hui, je vous présente des images de ce qui se passe du côté de Lochaber.

Ici, c’est à quelques mètres au sud du 6e Rang, à Lochaber, et je vise en direction ouest.  De l’autre côté des arbres, on retrouve la sortie 187, soit la fin actuelle du tronçon de l’Outaouais.

Comme pour la photo précédente, prise du même endroit, je n’ai pas osé traverser la clôture.  Aussi, en visant vers l’est, on ne voit qu’un bout de chaussée, qui semble descendre une petite pente.  Mais qui sait; peut-être qu’un jour, je roulerai dessus.

Nous voici maintenant à 4 ou 5 kilomètres plus loin, à vol d’oiseau.  C’est la chaussée de l’A-50, vers l’ouest, vue depuis le 7e Rang, toujours à Lochaber, tout près de la montée du Gore.

Si je me tourne de 180 degrés, par rapport à la photo précédente, voici ce que l’on voit.  La chaussée de l’A-50 sera nettement plus basse que le sol actuel des lieux, et on travaille à l’excavation.  Si vous cliquez sur la photo, afin de la voir en pleine dimension, vous verrez trois cônes orange, dans l’ouverture, au centre de la photo; il s’agit de la montée du Gore.  Allons-y.

Juste au sud de la montée du Gore, les travaux d’excavation vont bon train,…

…mais perturbent quelque peu la circulation locale.  Ces énormes camions doivent rouler, sur quelques mètres, directement sur la montée du Gore, puisque le chantier s’étend sur les deux côtés de ce chemin de campagne.

Question d’éclaircir la situation, voici de quoi ont l’air les environs.  L’A-50 croisera donc le 7e Rang, puis la montée du Gore, qui sont à très peu de distance, l’un de l’autre.  Cette carte est issue de l’Atlas routier du Québec, édition 2005, de la compagnie MapArt.

Voici maintenant, à partir de la même carte, l’arrangement des lieux, à la fin des travaux.

Évidemment, il reste encore pas mal de besogne à faire, là-bas.  Ce chantier fut probablement l’un des derniers à se mettre en marche.  Selon le site web du MTQ, ce tronçon, qui reliera Lochaber, au nord de Thurso, à Notre-Dame-de-Bonsecours, au nord de Montebello, sera également le dernier à être ouvert à la circulation, quelque part en 2012.  À moins que d’autres reports ne surviennent, évidemment.

Fermeture de Miron: Pourquoi ne pas remplir d’autres anciennes carrières?

Dans un petit article, signé Charles Poulin, publié dans le Journal de Montréal de ce samedi, et repris par le site Canoë, on explique que la partie exploitée de la carrière Miron, transformée en dépotoir, il y a 20 ans, venait de recevoir ses derniers déchets à être enfouis.  Le site, qui fait partie du Complexe environnemental Saint-Michel (CESM), devrait maintenant être réaménagé en parc, d’ici 2020.  Toujours selon l’article, ce parc pourrait avoir les mêmes dimensions que celui du Mont-Royal.  À cet effet, il ne recevra désormais que des matériaux d’excavation.

La question que je me pose, c’est le nombre de carrières, dont l’exploitation a cessé, qui pourraient, à leur tour, être transformées en autant de dépotoirs, ce qui aiderait à régler, du moins pour un certain temps, le problème des déchets à enfouir, dans le grand Montréal.  Nous savons que le dépotoir de Lachenaie, entre autres, approche la pleine capacité, et que celle-ci fut légèrement accrue, question de pouvoir continuer à desservir la région, alors que les autorités n’osent pas lui accorder la permission de procéder à une véritable expansion, face à l’opposition des gens de la place, mais surtout celle des groupes environnementalistes organisés.  Nous savons aussi que des normes existent, et sont régulièrement mises à jour, concernant l’enfouissement des déchets.  Les biogaz, résultant de la décomposition des déchets, sont maintenant récupérés.  Dans le cas du site de la compagnie EBI, dans le secteur de Berthierville, ces gaz naturels sont purifiés, et transportés via le pipeline gazier de Trans-Québec et Maritimes (TQM), qui passe à quelques centaines de mètres du site.

Sachant cela, je crois que certaines carrières désaffectées pourraient très bien accepter des déchets, ce qui permettrait, en plus de régler un problème criant de capacité d’enfouissement, de remplir ces énormes trous pratiqués un peu partout.  Ces carrières ont fourni toutes sortes de matériaux, au fil des ans, mais à la fin de leur exploitation, ces sites sont souvent laissés à l’abandon.  Voilà une bonne façon de les réutiliser.

J’ai pris l’air… de Lanaudière!

Quoi faire, par un beau dimanche après-midi, quand un impondérable empêche de réaliser l’activité prévue?  Dans mon cas, ce fut de sauter dans la bagnole, et de partir faire un tour, qui m’a mené à différents endroits, dans la ravissante région de Lanaudière.  Les premières photos furent toutes prises sur le territoire de la ville de Jolette.

Je ne sais pas si le MTQ a oublié de faire installer la supersignalisation, mais en attendant, on a tout simplement utilisé un panneau à message variable (PMV), sur lequel on a indiqué que la rue Ernest-Harnois est désormais accessible, en prenant la sortie 12,…

…que voici.  Nous sommes sur l’autoroute Antonio-Barrette, mieux connue comme étant l’A-31.

J’ai décidé, une fois sorti de l’autoroute, de me rendre tout au bout de la nouvelle rue.  Alors d’intersection en intersection, j’ai finalement abouti à la toute fin de la rue Samuel-Racine Est.  Les véhicules que l’on voit, au loin, circulent à vive allure, sur la route 131.

Voici l’endroit où la nouvelle rue Samuel-Racine croise la route 158 (chemin des Prairies), tout juste au sud de l’échangeur A-31/QC-131/QC-158.  De l’autre côté de la route 158, on voit, au loin, la traverse de chemin de fer…

…que voici, cette fois vue de plus près.  Si vous avez l’impression que la traverse ne fait pas toute la largeur de la rue, dites-vous bien que ce n’est pas une impression.  La nouvelle rue Samuel-Racine Ouest a été réalisée sur un ancien chemin privé, qui donnait accès à un poste de distribution d’Hydro-Québec, de là la différence de largeur.

Ici, nous regardons vers le nord, sur la rue Ernest-Harnois, et la rue qui passe au bout, c’est la rue Samuel-Racine Ouest.

Quand on se retourne vers le sud, on voit la rue Ernest-Harnois qui s’étend sur une bonne longueur.

À ce niveau, la rue Ernest-Harnois est asphaltée, et existe depuis un peu plus longtemps.  Nous voyons ici l’intersection avec la rue Nazaire-Laurin.

Un peu au sud de la rue Nazaire-Laurin, toujours sur la rue Ernest-Harnois, une toute nouvelle rue, qui ne porte pas encore de nom.  Allons voir où elle mène.

Cette rue sans nom se rend, finalement, jusqu’au chemin Lasalle.  Cette intersection se trouve à quelques dizaines de mètres au nord de la limite de Saint-Thomas-de-Joliette.

De retour sur la rue Ernest-Harnois, à l’extrémité sud de celle-ci, où la rue se transforme en échangeur partiel.  La nouvelle sortie Ernest-Harnois, de l’A-31, n’existe qu’en direction nord, afin de mieux desservir le parc industriel du secteur du chemin Lasalle.  L’intersection du chemin Lasalle et de la route 158 n’est pas du tout conçue pour les camions-remorques, et cet échangeur partiel vient améliorer grandement l’accès à ce parc industriel, qui est d’ailleurs en pleine expansion.

Pendant que je me trouve à Joliette, autant en profiter pour prendre en photo la route 158, à la hauteur du chemin Base-de-Roc, là où l’énorme échangeur de ce qui devait être l’A-50 prend forme.  La dernière fois que j’ai photographié cet endroit, c’était en plein hiver, et on ne voyait pas les voies rapides centrales, parce qu’elles étaient ensevelies sous la neige.

En mettant le zoom à la position la plus éloignée, on voit bien les voies rapides se couper, ainsi que le viaduc sur lequel passe l’A-31, et sous lequel tout l’espace nécessaire pour construire les voies rapides était disponible.

Chemin faisant, j’ai remarqué ce panneau d’arrêt, qui n’est là que pour… la forme!  Je veux dire, une chance qu’il n’y a que les panneaux d’arrêt qui ont cette forme octogonale, sinon, on se demanderait bien de quoi il s’agit.  Photo prise à l’intersection du rang de la Grande Chaloupe, à Saint-Thomas-de-Joliette.

Vous voyez cette intersection.  Eh bien, regardez-la comme il le faut, car elle va se transformer!  En effet, le MTQ vient de lancer l’appel d’offres pour sa reconstruction, avec feux de circulation, voies de virage à gauche, etc.  Ça devrait se faire cet automne.

MISE À JOUR – 24 OCTOBRE 2008

À défaut d’avoir installé la supersignalisation, le MTQ a installé ce panneau, à environ 2 kilomètres avant la nouvelle sortie, qui débouche sur le parc industriel du chemin Lasalle.  Quant aux nouvelles rues de ce parc industriel, la boucle, à la fin de la rue Samuel-Racine Est, était asphaltée, mais d’importants travaux d’excavation avaient lieu à l’intersection de la rue Samuel-Racine et du chemin des Prairies (route 158).

Pont Sophie-Masson: Un bon début

Le beau temps m’a fait sortir, cet après-midi. J’en ai profité pour apporter mon appareil, et visiter quelques chantiers. Voici donc le premier, celui du pont Sophie-Masson, qui relie désormais Laval et Terrebonne. Mais en fait, qui est donc Sophie Masson?

Selon une courte recherche sur internet, Sophie Masson serait l’épouse de Joseph Masson, dernier seigneur de Terrebonne. Elle fit construire, alors qu’elle était veuve, un manoir, dont les travaux se sont échelonnés de 1848 à 1854. Ce manoir est aujourd’hui la partie historique de l’école secondaire Saint-Sacrement, dans le vieux Terrebonne.

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Voici l’intersection de la montée Masson et du boulevard des Mille-Îles, à Laval, où se situe la jetée sud du nouveau pont.

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Les gens étaient bien avisés que le vieux pont de Terrebonne était fermé,…

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…et afin d’être bien certain que personne n’allait l’utiliser, on a démoli les travées reliées aux rives!

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Tout n’est pas terminé; un passage pour piétons fut « emprunté » à la chaussée principale.

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Le bureau de chantier, du côté de Terrebonne.

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Le panneau du passage pour piétons est vissé directement à l’arbre. De quoi provoquer quelques crises d’urticaire à certains environnementalistes.

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Le nouveau mur de soutènement, sur lequel il reste du travail à faire.

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L’excavation nécessaire à la construction du mur de soutènement.

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Le chemin d’accès au chantier du mur de soutènement, et au dessous du pont.

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La jetée du côté de Terrebonne, qui donne sur la rue Chapleau. Il reste encore beaucoup de besogne à accomplir.

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Toujours du côté de Terrebonne, on voit bien qu’une section du vieux pont a déjà été démolie.

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Depuis le parc Majeau, à Terrebonne, le section manquante du côté lavallois.

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Cette fois, les deux sections restantes du vieux pont de Terrebonne, sises au beau milieu de la rivière des Mille-Îles, qui attendent les démolisseurs.

Comme on peut le constater, il reste encore beaucoup de travail à faire, mais l’essentiel, c’est qu’il est ouvert à la circulation, ce qui permet aux gens vivant de part et d’autre d’éviter d’avoir à faire un détour par l’A-25. Au cours de l’année 2008, certaines fermetures complètes seront nécessaires pour achever les travaux, dont les deux approches du pont.

J’ai profité de mon passage à Terrebonne pour vous montrer une autre belle merde du MTQ, et j’ai nommé le viaduc de l’A-25, qui surplombe le boulevard Moody.

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Les échafaudages « temporaires », qui supportent le viaduc en son centre, sont à cet endroit depuis quelque chose comme un an et demi! Comme quoi le MTQ se veut rassurant, en ce qui concerne la sécurité du public. Aucune date n’est annoncée pour la rénovation de ce viaduc. Ça tient pour l’instant, alors pourquoi se presser?

A-50: J’avais dit que j’y retournerais

Lors de ma première visite sur le chantier de l’A-50, j’ai pris des photos de la section entre Grenville-sur-la-Rouge et Lachute. Ensuite, un deuxième passage en Outaouais m’a permis de vous montrer des images de l’autre bout du chantier, soit entre Buckingham et la montée Laurin, images sur lesquelles il était évident que je m’étais fait prendre par le coucher du soleil. Cette fois, je vous propose des clichés de ce qui se trouve entre les deux, soit la section de Fassett, ainsi que ce qui se trouve entre Thurso et la montée Laurin. Encore une fois, le soleil m’a joué des tours, mais les clichés sont mieux rendus que lors de ma dernière tentative. Voyez par vous-mêmes…

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Sur cette image, prise depuis la montée Boucher, à la limite est de la municipalité de Fassett, on voit que le chantier est fermé pour cette année. D’ailleurs, des préposés s’affairaient à clôturer les lieux. C’est quand même bizarre de voir que le fond de la route est encore sur le sable, mais que la supersignalisation est déjà installée.

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La montée Fassett a maintenant fière allure. On voit au loin l’échangeur, et le viaduc de l’A-50.

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Ici, on peut voir que vers l’ouest, la section de Fassett s’arrête « drette là », comme dirait l’autre. En effet, quand on regarde sur une carte, on se rend vite compte que cette section de l’A-50 fut construite à l’intérieur des limites de la municipalité de Fassett. Est-ce que le maire de la place est un « bon ami » des libéraux au pouvoir?

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Nous ne savons pas combien de matériau il manque avant l’asphalte, mais nous savons désormais que la sortie de Fassett est la sortie 216.

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Un peu à contrejour, mais on distingue bien le panneau indiquant le traversier de Fassett à Lefaivre, en Ontario.

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À contrejour aussi, le panneau de sortie de Fassett.

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À Thurso, les travaux sont plus imposants. On a dynamité le roc pour faire place à l’autoroute, comme le montre bien cette image de ce qui deviendra l’intersection des bretelles de sortie/d’entrée de l’A-50 ouest et du 6e Rang, qui est parallèle à l’A-50.

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L’A-50 est et la bretelle de sortie vers la route 317,…

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…et tout juste à côté, la bretelle d’entrée de l’A-50 ouest.

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En haut de ce massif de roc, on peut voir les garde-fou de béton qui délimitent la route 317 temporaire, ce qui donne une bonne indication de la profondeur de la tranchée dynamitée dans le roc. L’excavation doit bien avoir une bonne dizaine de mètres. Ce massif disparaîtra après l’ouverture du viaduc de la route 317, pour laisser place au passage de l’A-50. Au sol, c’est la fondation de la chaussée de l’A-50 qui s’arrête sec devant le massif.

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Le foutu soleil ne m’a pas permis de prendre ce cliché sans y voir mon ombre de photographe pourri. Quoi qu’il en soit, il s’agit de la bretelle d’entrée de l’A-50 est, et au loin, la fin de l’A-50 vers l’est.

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Pourquoi avoir photographié un simple poteau de bois? Pour démontrer la hauteur du rehaussement des bretelles de sortie/d’entrée de l’A-50 est. Sur un poteau comme celui-ci, on retrouve normalement, de haut en bas, les lignes de haute tension, habituellement 14,400 volts, ici au nombre de trois, pour une ligne triphasée, puis la ligne de basse tension, sur laquelle on branche les entrées électriques, résidentielles ou autres, et finalement les circuits de télécommunication (téléphone, câble). Aussi, debout sur la surface – non-finie – de la bretelle, mes yeux arrivaient un peu au-dessus de la ligne de basse tension, que l’on peut voir au niveau de la ligne formée par la base des arbres, là où ils rejoignent le sol. Bref, c’est haut! Imaginez que les bretelles du côté sud de l’autoroute sont rehaussées d’une dizaine de mètres, alors que l’autoroute comme tel et les bretelles situées au nord de celle-ci sont dynamitées à une profondeur de 10 à 12 mètres dans le roc. Il devient donc évident que l’on a passé l’autoroute en pleine falaise.

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La route 317 temporaire, qui passe sur le massif de roc que vous avez vu tantôt. Voyez le rehaussement de pierres qui a été fait pour diminuer l’angle de la pente.

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L’emprise de la route 317. Au loin, on aperçoit les véhicules qui prennent la route temporaire.

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Une autre vue de la route 317 temporaire, que l’on a fait de dimension juste suffisante pour permettre à deux véhicules de se rencontrer.

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Belle vue en plongée, prise depuis la route temporaire. On y voit d’abord le viaduc de la route 317, en construction, le pont de la rivière Blanche, aussi en construction, et au loin, le viaduc de la montée Parent, pratiquement complété.

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Ici, on voit le massif de roc situé au nord-ouest du viaduc de la route 317, qui dépasse un peu celui-ci en hauteur, ce qui donne une autre idée de la profondeur de l’excavation au fond de laquelle passera l’A-50.

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Depuis le massif de la route temporaire, dont on voit les garde-fou de béton, la fin de l’A-50 vers l’est, et les deux massifs séparant l’autoroute et les bretelles de sortie/d’entrée.

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J’ai pris cette photo debout sur la fondation de la chaussée de l’A-50, sous le viaduc de la montée Parent. Juste devant, le chemin de détour de la montée Parent, sinueux comme ce n’est pas possible, et au loin, le pont de la rivière Blanche et le viaduc de la route 317.

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Ici, c’est le viaduc de l’A-50 au-dessus de la montée Ranger, dans la municipalité de Lochaber-Partie-Ouest. Voyez la hauteur des massifs de roc, tout autour.

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Le soleil bas m’a joué des tours, encore une fois, mais on constate la hauteur impressionnante des massifs alors que l’on passe sous le viaduc.

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Cette fois, on voit un peu mieux. C’est l’intersection de la montée Parent, au fond, et d’une petite route locale. J’espère que les tempêtes hivernales ne vont pas carrément remplir ces tranchées.

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Cette fois, la photo est un peu plus claire que celle que j’ai prise lors de ma dernière visite. C’est l’A-50, tout juste à l’extrémité est du viaduc de la montée Laurin, à Lochaber-Partie-Ouest. Voici ce que l’on voit vers l’est,…

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…et ce que l’on voit vers l’ouest, au même point. Ce que j’aurais aimé y faire un tour. Je devrai sûrement soudoyer un responsable du MTQ pour ce faire, parce que les accès sont très bien protégés. Cette petite clôture à neige n’est qu’une illusion; je suis appuyé sur des garde-fous de béton.

Ma question: Pourquoi avoir devancé la terminaison de cette section s’il est impossible d’y accéder tant que l’autre, de la montée Laurin jusqu’à Thurso, n’est pas terminée? Encore une histoire de promesses d’élections, je présume…

Alors voilà. Je crois que j’ai fait le tour du projet, à tout le moins pour cette année. Je ne crois pas que d’autres parties de l’A-50 se mettent en chantier avant l’an prochain, compte tenu que nous en sommes déjà à la mi-novembre.