A-25: 1- Boulevard Henri-Bourassa, à Montréal

Voici le début d’une nouvelle série de billets sur l’autoroute 25, dans son prolongement entre le boulevard Henri-Bourassa, à Montréal, et l’autoroute 440, à Laval.  Le premier billet vous montrera quelques images des environs du boulevard Henri-Bourassa, et du nouveau viaduc du Canadien National (CN).

Une vue, ici, d’un train qui s’engageait sur le viaduc temporaire du CN, prise depuis l’intersection des boulevards Henri-Bourassa et Louis-Hippolyte-Lafontaine.  Ce dernier est, en fait, le prolongement actuel de l’A-25, vers le nord.

Les vestiges de l’ancien boulevard L.-H.-Lafontaine, qui seront appelés à disparaître, eux aussi, lors de la réalisation de la nouvelle A-25.

Une vue du chantier du nouveau viaduc du CN, depuis l’ancien boulevard L.-H.-Lafontaine.

Le message de la compagnie Garnier, responsable du chantier, semble suffisamment clair.

Tout à côté de la voie ferrée, qui passe sur le viaduc temporaire, on peut voir le rehaussement nécessaire à l’installation de la voie ferrée sur le nouveau viaduc.

Juste au bord de la tranchée, on voit le boulevard L.-H.-Lafontaine, qui passe sous le viaduc temporaire du CN.

Vue depuis le même endroit, l’intersection des boulevards Henri-Bourassa, et L.-H.-Lafontaine.

Le ravissant arrangement floral, qui marque votre arrivée sur le territoire de l’arrondissement d’Anjou, devra être déplacé, parce qu’il se trouve sur le site du prolongement de l’A-25.

Des travaux ont aussi été lancées du côté sud du boulevard Henri-Bourassa.  S’il s’agit du point de raccordement des bretelles d’entrée et de sortie de l’A-25, il faudra alors déplacer le pylône d’Hydro-Québec.

Cette image nous permet d’apprécier deux choses tout à fait différentes.  D’abord, le caractère (ou police) d’écriture Clearview, utilisé sur le panneau de gauche, rend le panneau beaucoup plus facile à lire que celui de droite.  L’autre chose, que moi, j’ai apprécié, est la différence nette entre un zoom numérique, et un zoom optique.  En effet, j’étais à environ 200 mètres de ces deux panneaux, lorsque j’ai croqué cette photo.  Vous avez deviné; je m’amuse maintenant avec mon nouvel appareil-photo!

J’ai d’autres photos en banque, qui vont suivre bientôt, sur les différents chantiers de l’A-25.

A-5: (1) Ça commence à prendre forme!

MarcFP85 l’a bien mentionné, en commentaire, dans mon dernier photo-billet, quand je demandais de deviner quel autre chantier j’ai visité en Outaouais.  Il s’agit bien de l’autoroute 5.

Ça faisait un bon bout de temps que je l’avais en tête, celui-là.  Eh bien voilà, cette fois, c’est fait!  J’ai pris plusieurs photos, tant et si bien que je devrai les montrer en deux billets distincts.  Il n’y a pas de thèmes vraiment particuliers, au niveau des photos, alors j’ai séparé le paquet à peu près en deux.  Voici donc la première moitié de la pile.

Voici la fin actuelle de l’A-5, à la hauteur de Chelsea.  Les nombreuses balises vous dirigent vers la sortie 21, qui mène à l’intersection de la route 105, et du chemin de la Rivière.

Et voilà ce que l’on voit, quand on entre derrière les balises.  Un chantier qui prend forme.

Depuis le même endroit, je me suis tourné de quelques 90 degrés vers la droite, pour prendre cette fenêtre, dans le roc,…

…puis d’un autre 90 degrés à droite, pour vous montrer un dernier amoncellement de roc à faire éclater, à côté duquel la blogue-mobile a l’air bien petite.

Je me suis approché de l’une des pièces de résistance de ce chantier, à savoir le viaduc de l’A-5 nord, qui surplombe le chemin de la Rivière.

Le soleil a beau être éblouissant, sur la blancheur du béton, mais on peut quand même constater que la marche est trop haute, et que la blogue-mobile ne peut pas grimper là.

Une photo du viaduc de l’A-5 sud, prise depuis celui de l’A-5 nord, toujours au-dessus du chemin de la Rivière.

Au-delà du viaduc du chemin de la Rivière, la chaussée de l’A-5 nord a l’air beaucoup plus avancée.

Quand on prend le chemin Pine, situé un peu au nord du chemin de la Rivière, on doit passer sous l’A-5.  Le passage sous la chaussée nord fait penser à un petit tunnel,…

…alors que celui sous la chaussée sud, ben… c’est pas mal semblable, en fait.

C’est à cet endroit que le plus gros des travaux se termine, un peu au sud du chemin Cross Loop.  Ici, on voit une potence de lampadaire, au beau milieu des deux chaussées.

Ici, deux foreuses, au repos.  Elles servent à percer les trous dans lesquels on met la dynamite, pour exploser les parois rocheuses.

À cet endroit, on bouffe la montagne, petit à petit, pour faire place à la chaussée sud de l’A-5.

Entre la potence de lampadaire, que l’on a vu de plus près sur une pose précédente, et la blogue-mobile, on fait une petit bout de chaussée qui servira d’intersection entre l’A-5 et la route 105, que l’on voit en arrière-plan, juste devant les arbres.

Le bout de chaussée viendra recouvrir ce ponceau, et se rendra jusqu’au niveau de la route 105,…

…où il rejoindra cette bouche d’égout pluvial, présentement toute seule parmi les longues herbes.

Il reste encore une douzaine de photos, que je mettrai dans un second billet.  Comme je l’ai déjà mentionné, j’essaie de ne pas mettre trop de photos dans un même billet, question de donner une chance à ceux et celles qui ont des ordinateurs moins puissants.  Ce second billet suivra, dans les prochains jours.

QC-175: Entre Laterrière et la route 169

Les dernières photos que j’ai prises, lors de mon escapade, furent plutôt intéressantes, surtout lorsque je parviens à rouler sur un chantier presque terminé.  Et c’est arrivé (eh oui, encore!) sur la route 175, quelque part entre le secteur Laterrière, de la ville de Saguenay, et l’intersection de la route 169, dans la Réserve faunique des Laurentides.  Les photos furent prises vers le sud, sauf avis contraire.

Aux environs du kilomètre 227, à l’entrée nord de la réserve faunique.

Près du kilomètre 219, où une bretelle qui permet de passer de deux chaussées à une seule (que l’on appellera désormais un « deux-dans-un ») existe toujours.

Le deux-dans-un du kilomètre 213 est encore plus frais, mais désormais inutilisé.  La photo fut prise en regardant vers le nord.

Au kilomètre 209, toutefois, il faudra vraiment passer de deux chaussées à une seule.  À moins que…

…eh ben ouais, nous en avons la preuve, maintenant; Richard3 a développé une dépendance à l’asphalte nouvellement appliquée!  Ici, on s’affaire à quelques travaux de finition, entre les deux chaussées.  Nous sommes aux environs du kilomètre 206.

Environ un kilomètre plus loin, ce sont des installateurs de signalisation, qui sont en plein travail.

La base d’opérations de l’un des entrepreneurs de ce méga-chantier, à la hauteur du chemin d’accès au Camp Cyriac.

Nous sommes entre les kilomètres 201 et 200, sur la nouvelle chaussée, et l’on voit très bien l’ancienne, à gauche, où l’on circulait encore dans les deux directions, lors de mon passage.

Un peu au sud du pont de la rivière Gilbert, des travailleurs complètent ce qui semble être un autre deux-dans-un, qui servira lors de l’ouverture de ce nouveau tronçon, qui ne saurait tarder, à voir l’avancement des travaux.

Voilà une raison de plus d’avoir procédé à l’achat d’un nouvel appareil-photo.  Celle-ci fut prise avec le zoom au maximum, c’est à dire en 4,0x, mais comme il s’agit d’un zoom numérique, et non optique, ça donne des résultats merdiques, comme on peut le voir ici.  Ce sont les mêmes travaux que sur la pose précédente, mais vus vers le nord, cette fois.  Et la voiture blanche, stationnée en travers, c’est une auto-patrouille de la SQ.

Au kilomètre 190, l’emprise de la nouvelle chaussée est déboisée,…

…alors qu’un kilomètre plus loin, le dynamitage, et le terrassement, sont déjà entamés.

Près du kilomètre 188, j’ai pris le temps de m’arrêter, puis de descendre de la blogue-mobile, afin de prendre cette photo vers le sud,…

…ainsi que celle-ci, vers le nord, où l’on voit le secteur déboisé, mais pas encore dynamité.

Ici, au kilomètre 184, on gruge littéralement la montagne.  Les énormes camions transportent la pierre, fraîchement dynamitée, vers un site de concassage, afin de continuer le terrassement de la nouvelle chaussée.

Ici, la nouvelle chaussée n’est plus à droite, mais plutôt à gauche.  Nous sommes au kilomètre 182,5.

Voici un beau pont tout neuf, qui traverse une rivière, probablement la petite rivière Pikauba.  C’est au kilomètre 178.

Cette fois encore, le soleil me rattrape.  On le voit plus difficilement, à cause de l’ombre, mais il y a une ouverture dans la forêt, près du kilomètre 172.  Comme je regarde vers le sud, cela indique que la nouvelle chaussée est de retour à droite.

Et voici l’intersection des routes 175 et 169.  Je présume qu’il sera modifié, compte tenu de la construction de la nouvelle chaussée.

Évidemment, j’ai dû me dépêcher, pour prendre les photos, parce que le soleil me rattrapait, et que l’ombre de cette fin de journée faisait que les images ne sortaient pas bien.  Par contre, je devrai retourner dans la réserve, avant les premières neiges, afin de prendre certains détails de ce secteur, ainsi que tout le secteur au sud de l’Étape, où d’autres travaux, reliés à ce même méga-chantier, sont présentement en cours.

Un autre problème qui survient, lorsque l’on veut prendre des photos de chantiers de construction sur une route ouverte à la circulation, c’est que l’on ne peut pas toujours prendre les sites les plus spectaculaires, puisqu’il est impossible de s’y arrêter sans nuire à la circulation, déjà perturbée par les travaux eux-mêmes.  Par contre, les images que vous voyez ici vous donnent quand même une idée de grandeur de ce chantier, auquel participe aussi le gouvernement fédéral.

Ceci fait le tour des photos que j’ai prises lors de mon escapade de vacances.  J’espère que celles-ci vous ont plu.  Dans les jours qui viennent, vous pourrez voir d’autres images prises pendant mes vacances, mais lors d’une autre sortie de la blogue-mobile.  J’espère aussi, prochainement, pouvoir mettre à l’épreuve mon tout nouvel appareil-photo, qui me permettra de prendre de bien meilleures photos à distance.

A-20: Bientôt à Mont-Joli!

Nous sommes en période de travaux routiers, au Québec.  Pendant que le gouvernement de notre société distincte (que dis-je, de notre nation!) parle d’un effort sans précédent, je suis plutôt du genre à tempérer, et à parler de rattrapage forcé; le Québec est tellement en retard, autant dans le développement de son réseau routier que dans son entretien, que l’on pourrait presque tenir un fil de presse actif, avec les fermetures, et les restrictions de charge, appliquées aux infrastructures.

Mais bon, la série a beau s’appeler « Les merdes du MTQ », les fonctionnaires doivent aussi avouer que j’illustre également les bons coups.  En voici justement un; le prolongement de l’A-20 vers Mont-Joli.  Je vous montre d’abord sa fin actuelle, à l’intersection de la route 298, à Sainte-Luce.

Le promontoire sud du viaduc de la route 298, à Sainte-Luce, avec l’intersection de la bretelle de sortie de l’A-20 est.

Au lieu d’installer le panneau entier, et de camoufler la partie du bas, les installateurs de celui-ci en ont tout simplement retiré la partie du bas.

Vu depuis le viaduc de la route 298, l’entrée vers l’A-20 ouest fait l’objet d’un détour bizarre, dont la seule raison, à ce que j’en ai vu, est de créer une aire de contrôle, à l’usage des « petits bonhommes verts ».  Non, il ne s’agit pas des candidats du parti pro-environnementaliste, ni d’un contingent d’extra-terrestres, et non plus de militants de Greenpeace.  Ce sobriquet désigne plutôt des contrôleurs routiers de la Société de l’assurance-automobile du Québec (SAAQ), qui veillent à l’application de la loi 430, qui régit l’utilisation des camions lourds, le temps de travail des chauffeurs, etc.  En fait, ce surnom est relié à la couleur des uniformes des contrôleurs routiers.

Toujours depuis le viaduc de Sainte-Luce, on regarde cette fois l’A-20 est, qui file vers Mont-Joli, et sur laquelle on en est rendus aux travaux d’asphaltage.  Même que j’ai roulé dessus, mais n’allez le dire à personne!

Pour la partie « horreur » de ce billet, je n’avais rien sous les yeux, puisqu’il s’agit d’une construction relativement nouvelle.  J’ai donc dû me résigner à photographier cette araignée, en plein travail de tricot, suspendue à l’un des panneaux de petite signalisation.

Cette fois-ci, le soleil « ne roulait pas de mon bord », ce qui a donné un contrejour terrible.  Il s’agit d’un autre demi-panneau, désignant la route 298 est, vers le secteur Luceville de la municipalité de Sainte-Luce.

Je suis sur le viaduc de la route Carrier, toujours à Sainte-Luce, et je regarde l’A-20 ouest,…

…puis je me retourne, pour vous montrer l’A-20 est.

Je suis maintenant à l’extrémité ouest de l’une des nouvelles voies de desserte, à moins de 2 kilomètres de la route Jacques-Cartier (route 132), à Mont-Joli.  Les travaux d’asphaltage étaient rendus à cet endroit, lors de mon passage.

Il y a des travaux d’envergure, à la hauteur de Mont-Joli, pour l’arrivée de l’A-20.  Ici, nous sommes au nord de l’avenue Perreault Ouest,…

…alors que nous voyons un carrefour giratoire, tout juste en face.  Il se situe dans un prolongement, à l’ouest du boulevard Gaboury, du boulevard Jacques-Cartier, et devrait raccorder les bretelles d’accès à l’A-20 à ces boulevards, ainsi qu’à l’avenue Perreault Ouest.

Ici, un camion déverse son contenu sur un terrain, le long du prolongement, vers l’ouest, du boulevard Jacques-Cartier.

Je suis légèrement au nord de l’accès à l’aéroport de Mont-Joli, et à voir cette image, on dirait bien qu’on s’apprête à construire une nouvelle route 132, à cet endroit.

Je suis curieux de voir l’aménagement final de l’A-20, suite à ces travaux, afin de savoir si un autre prolongement sera possible.  Il manque encore environ 80 kilomètres d’autoroute, entre Saint-Georges de-Cacouna et Le Bic, qui devront être complétés, avant que l’on puisse dire que le Bas-du-Fleuve soit vraiment relié au réseau autoroutier du Québec.  Et encore, il ne s’agit que d’une super-2!  D’ailleurs, nous savons tous que les super-2 sont des solutions temporaires, et très peu sécuritaires.

Alors espérons que la suite des choses nous apporte enfin une vraie autoroute vers le Bas-du-Fleuve.

MISE À JOUR – 21 JANVIER 2009

Selon ce communiqué du MTQ, émis le 2 décembre 2008, l’A-20, entre Sainte-Luce et Mont-Joli, y compris le nouveau carrefour giratoire, sur la route 132, est ouvert à la circulation depuis 10h00, ce matin-là.  Cela confirme un commentaire de Sam, qui m’avisait que cette section était ouverte.

A-85/QC-185: Saint-Louis-du-Ha! Ha! (3- Le nord du village)

Voici la dernière étape des images illustrant la série de chantiers de la future autoroute 85, à Saint-Louis-du-Ha! Ha!.  Nous jetons un regard, cette fois, sur les activités situées au nord du village.

Vous voyez ici les bretelles, d’entrée et de sortie, de ce qui sera l’échangeur de l’A-85 nord, qui desservira le village de Saint-Louis-du-Ha! Ha!  Elles se raccordent au prolongement de la rue Marquis.

Voici une suite d’images, prises du sud vers le nord, qui montrent que…

…si les bretelles sont, à toutes fins pratiques, complétées,…

…les deux chaussées commencent à peine à prendre forme,…

…et qu’il reste encore beaucoup de travail à accomplir.

Pour les trois photos suivantes, je me suis déplacé près de ce qui était le motel Francoeur, au nord du village.  Ici, on voit le chantier vers le sud,…

…alors qu’ici, nous sommes directement en face de l’ancien motel, où il ne semble plus y avoir d’activité.

Toujours depuis le même endroit, quand on regarde un peu plus au nord, on constate que les travaux de terrassement n’en sont qu’à leurs premiers balbutiements.

Dernière photo de chantier, vers le nord, depuis la côte, là où l’actuelle route 185 se séparait en deux chaussées distinctes, un peu au nord de l’intersection de la rue Commerciale.

Voilà, c’est terminé en ce qui concerne le duo A-85/QC-185.  Si l’on se fie au site web du MTQ, les travaux que l’on a vus, dans l’ensemble des quatre billets, ont débuté en 2006.  Aucune date de fin des travaux n’est mentionnée, ce qui laisse croire que l’ouverture ne se fera pas avant la fin de 2009, peut-être même en 2010.

Il reste deux autres tronçons à compléter, si l’on veut obtenir une véritable autoroute depuis l’A-20 jusqu’à la frontière du Nouveau-Brunswick.  Celui situé au nord du site de la dernière photo est d’une longueur de quelques 40 kilomètres, et s’étend jusqu’à Saint-Antonin.  Le MTQ est dans l’attente de l’avis de recevabilité du Ministère du développement durable, de l’environnement et des parcs (MDDEP), suite au dépôt, en août 2007, de l’étude environnementale.  Quant à celui qui va de Cabano à la frontière, il sera composé de trois chantiers distincts (de Cabano à Notre-Dame-du-Lac, sur 6 km, de Notre-Dame-du-Lac à Dégelis, sur 14 km, et de Dégelis à la frontière, sur 13 km), totalisant 33 kilomètres, et entrecoupés par les aménagements déjà accomplis par le MTQ, soit à Notre-Dame-du-Lac, sur 1,8 km, en 2002, et à Dégelis, sur 1,2 km, en 2004.  Dans ce dossier, toujours selon le site web du MTQ, la préparation des plans et devis a débuté en mai 2008, une fois que le BAPE ait rendu public son rapport, ce qui fut fait le 24 avril 2007.

Ne reste plus qu’à espérer que la suite des choses se fasse avec diligence, si l’on veut rouler, un jour, sur une autoroute sécuritaire, entre Rivière-du-Loup et Edmundston.  Encore une fois, le Québec sera le chaînon manquant, dans ce dossier, puisque la portion néobrunswicoise de la route Transcanadienne (NB-2) est désormais complétée sur deux chaussées distinctes depuis la fin de 2007.