Déneigement: Anjou arnaque ses citoyens! — DOSSIER RÉGLÉ!

DOSSIER RÉGLÉVoir ce billet.

Il m’en est arrivé une bonne.  Je vous raconte.

Hier (lundi) après-midi, j’arrive du travail, et les affichettes de stationnement interdit, que l’on plante dans le banc de neige, afin de signifier que l’on va nettoyer la rue, sont installées.  Alors je déneige ma bagnole, qui est stationnée en bordure de la rue, et je la mets dans le stationnement municipal, situé juste en face de chez moi.  En descendant de la bagnole, je constate que les feux clignotants du stationnement, qui signifient que le stationnement y est interdit, parce que l’on va le nettoyer, sont en fonction eux aussi!

Normalement, l’arrondissement laisse un délai de 24 heures, entre le déneigement de la rue et celui du stationnement, afin de permettre, entre autres aux travailleurs, de stationner leurs véhicules au bon endroit, de façon à ne pas nuire aux opérations de déneigement. Mais cette fois-ci, tout est mis en oeuvre pour que l’on nettoie les deux le même jour!

Je décide donc d’appeler à la mairie d’arrondissement.  La dame qui me répond ne semble pas trop comprendre mes interrogations (elle doit sûrement habiter dans une belle grande maison, munie d’un garage double).  Après un certain temps, on dirait qu’elle commence enfin à saisir que je ne peux pas aller travailler avec mes deux véhicules en même temps.  Comme elle juge qu’elle ne peut me répondre de façon satisfaisante, elle me transfère aux département des travaux publics.  Là, je tombe sur une boîte vocale.  Je laisse un message, expliquant mon problème, et demandant une solution, avec mon numéro de téléphone, afin que l’on me fournisse des réponses.  J’attends toujours le retour d’appel, au moment où je tape ces lignes.

Devant la situation, je quitte pour le travail, ce matin, avec la blogue-mobile, laissant la bagnole dans le stationnement.  À mon retour, ce soir, je retrouve ma bagnole dans le stationnement, mais déplacée, avec, sous l’essuie-glace, un constat d’infraction de 82$.  Le problème est que si je l’avais laissée dans la rue, l’arrondissement l’aurait fait déplacer, et aurait mis un constat d’infraction sous l’essuie-glace.  Je me promets bien de communiquer, à nouveau, avec la mairie d’arrondissement, afin de connaître quelle était la façon de faire qui m’aurait empêché d’avoir ce constat.  Car à moins d’une explication bien précise, et tout à fait logique, il est clair, dans mon esprit, que cette façon de faire n’est rien d’autre qu’une arnaque, afin de pouvoir gratifier plusieurs citoyens de constats d’infraction à payer.  Et à 82$ pièce, ce sera donc des centaines, sinon des milliers de dollars qui entreront dans les coffres de l’arrondissement Anjou.  Et si je n’obtiens pas cette explication, je me rendrai à la prochaine séance du conseil, prévue, selon le site web de l’arrondissement, pour le 3 février prochain, à 19h00.

Une chose est cependant certaine; l’arrondissement Anjou n’aura pas un sou de ma part!

A-40: Épisode 3 – Le côté sombre de l’autoroute Métropolitaine

Bon, je disais, il n’y a pas si longtemps, que ça faisait un bail que je n’étais pas allé prendre des photos.  J’ai donc profité d’un jour de congé imprévu (ben oui, ça arrive) pour aller prendre quelques nouvelles images d’un endroit que je n’ai pas examiné depuis des mois, et j’ai nommé l’autoroute Métropolitaine.

La dernière fois, je me suis arrêté au rond-point de l’avenue Papineau.  Alors cette fois-ci, je repars de ce point, vers l’ouest, jusqu’à la rue Saint-Hubert.  Comme j’ai pris suffisamment de photos pour illustrer deux billets, je vous montrerai ici les sections 18, 17 et 16, soit plus ou moins jusqu’à la hauteur de la rue Chambord, puis dans un second billet, je mettrai les autres photos, soit celles des sections 15 à 12, inclusivement.

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Moi qui croyais pouvoir vous montrer des trucs vraiment nouveaux,…

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…je suis hanté par cette envahissante impression de vous passer des reprises…

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…des images du printemps dernier, comme ici, où l’on voit les feuilles de styromousse.  Pourtant, cette photo date bien du 2 décembre 2008.

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C’est vrai, quoi; c’est encore des photos de tiges métalliques à nu,…

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…de béton qui s’effrite à le regarder,…

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…et de colonnes fissurées de haut en bas.  Bref, plus ça change, plus c’est pareil.

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La section 18 peut rivaliser avec les autres sections que j’ai visité avant.

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Ici, des rapiéçages qui ont fini par lâcher prise,…

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…et là, dans la section 17, une affiche qui vous avertit du fait que l’on vous regarde.  C’est que les sections 17, et 16, sont louées par la compagnie d’assurance Industrielle-Alliance, et fait l’objet de surveillance à distance.

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Comme vous pouvez le voir, ce n’était pas des blagues.  On vous regarde pour vrai.

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Évidemment, qui dit Métropolitaine vue d’en-dessous, dit forcément grillage, pour retenir les fragments de béton.

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Bienvenue dans la section 16, soit l’autre section réservée par l’Industrielle-Alliance.  Je comprends qu’il n’y ait personne, dans cette guérite; les vitres sont tellement sales que l’on aurait peine à voir dehors.  Et ça, ce n’est rien; attendez que l’hiver, et ses épandages de sel routier, batte son plein.

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C’est sous cet autre bout de grillage que j’ai vu un type, qui quittait le stationnement, avec sa voiture, et qui a baissé la glace latérale, pour m’adresser la parole.  Quand je lui ai demandé « Vous n’avez pas peur que ça vous tombe dessus? », il m’a répondu « J’y ai déjà pensé ».  Ça vous donne une idée.

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Encore des tiges d’armature à nu, cette fois sur la bretelle de sortie vers l’avenue Christophe-Colomb.

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On dirait un autre rapiéçage qui n’a pas tenu le coup, ici.

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Enfin, une photo inusitée.  Tout près de la colonne, un soulier, tout seul, et qui n’a pas trop l’air délabré.  Un peu comme si quelqu’un s’était fait prendre en flagrant délit, et qu’en prenant la fuite, il aurait laissé tomber cette pièce à conviction.

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Terminons ce billet avec une autre colonne, dont le béton s’est effrité sur toute sa hauteur.

Dans le second billet, la suite des photos, jusqu’à la rue Saint-Hubert, comprenant, entre autres, un détail intéressant, c’est le moins que l’on puisse dire, sur la bretelle de sortie, en direction est, celle qui mène à la rue Saint-Hubert, et à l’avenue Papineau.  C’est donc à suivre.

Ottawa: L’opposition veut flatter les canadiens dans le sens du poil!

J’aime bien prendre un texte, principalement lorsqu’il s’agit de paroles citées, ou encore d’une lettre ouverte, et la décortiquer, afin d’en saisir tous les aspects.  Aussi, comme les ténors de l’opposition, à Ottawa, ont décidé de publier une lettre ouverte, adressée aux canadiens, pour expliquer leur coup d’état, et ainsi tenter de flatter la population « dans le sens du poil », je prendrai le texte de la lettre, dans sa version publiée dans un article de la Presse Canadienne, et diffusée sur le site web Canoë, texte que je mettrai ici en bleu, et je l’analyserai, passage par passage.

Allons-y.

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Chers concitoyennes et concitoyens,

Le Canada fait face à une crise économique mondiale. Depuis les récentes élections fédérales, il est devenu clair que le gouvernement dirigé par Stephen Harper n’a aucun plan, aucune compétence ni aucune volonté pour répondre de manière efficace à cette crise.

Il faudrait dire la vérité, à savoir que le gouvernement conservateur n’a aucun plan qui corresponde à la pensée keynésienne, qui anime les chefs des trois autres partis présents à la Chambre des communes.  Cela n’a rien à voir avec les compétences, ou la volonté, du gouvernement élu.  Ainsi, cette déclaration laisse entendre que la seule façon de se sortir de la crise est celle préconisée par l’opposition, ce qui est loin d’être vrai.

C’est pourquoi la majorité du Parlement a perdu confiance envers le gouvernement Harper et estime que la formation d’un nouveau gouvernement qui réagira efficacement, prudemment, rapidement et adéquatement à cette crise économique est nécessaire.

Encore une fois, cette phrase est vue selon les paramètres de l’opposition, qui considère qu’ils sont les seuls à savoir quoi faire, face à cette crise, alors que les méthodes qu’ils entendent utiliser se sont avérées exactement celles qui ont coulé l’économie des USA.  Quant à la formation d’un nouveau gouvernement, l’opposition devrait avoir suffisamment de respect de la démocratie pour laisser le peuple choisir.

Le contraste entre l’inaction du gouvernement Harper et les mesures communes prises par toutes les autres démocraties occidentales est frappant. Nous ne pouvons accepter cela.

Qui dit que les autres démocraties faisaient face aux mêmes défis que le Canada, dans cette crise?  Les pays les plus interventionnistes furent justement ceux qui furent le plus secoués, économiquement, par la crise, à savoir les USA, qui est à l’origine de la crise, ainsi que certains pays d’Europe, et le Japon, qui furent les principaux bailleurs de fonds du gouvernement américain.  D’ailleurs, rien ne dit que leurs décisions furent les meilleures, dans les circonstances.  Le Canada n’a pas à affronter la crise du même angle que ces pays, et de ce fait, la solution n’a pas à être la même.  Loin de là.  Par contre, ce que l’opposition ne pouvait accepter, c’est la fin des subventions aux partis politiques, qui, il faut bien l’avouer, fut une erreur stratégique des conservateurs.

Une majorité de Canadiens et de Québécois ont voté pour nos partis le 14 octobre 2008. Nos députés fédéraux composent 55 pourcent de la Chambre des communes.

Si l’opposition croit avoir la légitimité de former un gouvernement, à la lumière de cette lecture des résultats des dernières élections générales, pourquoi n’a-t-elle pas demandé à la gouverneure générale de former le gouvernement dès que les résultats de l’élection furent connus?  Ceci n’est qu’un argument fallacieux pour tenter de faire avaler la pilule aux peuple canadien, pilule qui risque d’être perçue, et ce particulièrement par les habitants de l’ouest du pays, comme une déclaration de dictature.

À la lumière de la situation critique à laquelle sont confrontés nos concitoyens, et du manque de volonté du gouvernement Harper à réagir à cette crise, et à son incapacité à le faire, nous sommes déterminés à soutenir un nouveau gouvernement qui veillera aux intérêts de la population.

Avec le plan de 30 milliards$ que la coalition entend mettre en marche, les citoyens canadiens risquent de voir leur situation devenir plus critique que jamais, leur situation pouvant rivaliser avec celle de nos voisins du Sud, et ce sans avoir été confrontés aux mêmes turbulences qui ont provoqué cette crise.  Quant à l’incapacité du gouvernement Harper, c’est l’opposition elle-même qui l’a créé de toute pièce, en faisant la promotion du renversement de ce gouvernement, qui préconisait une approche différente, approche qui a reçu l’appui des pays membres de l’APEC, lors de leur dernier sommet, tenu à Lima, au Pérou, les 22 et 23 novembre derniers.  De plus, je constate à nouveau que les partis de l’opposition croient être les seuls dépositaires des intérêts de la population

Aujourd’hui, nous informons respectueusement la gouverneure générale qu’elle devrait, à la première occasion, demander au chef de l’opposition officielle de former un nouveau gouvernement qui sera appuyé par nos trois partis, comme le confirment les accords ci-joints.

Alors voilà, reste à savoir si la gouverneure générale voudra bien le faire.  À la lumière de ses compétences en la matière, j’ai malheureusement l’impression qu’elle acquiescera à la demande de l’opposition, sans même poser la moindre question sur les intentions précises de celle-ci.

Veuillez agréer l’expression de nos sincères salutations.

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Peut-être que Stephen Harper, et son gouvernement, en incluant des coupures aux subventions aux partis politiques, ainsi que la suspension de droit de grève aux membres de la fonction publique, ont utilisé une très mauvaise stratégie.  Peut-être qu’à la lumière de ces faits, le gouvernement Harper mérite d’être renversé.  Mais prendre une interprétation différente des résultats des dernières élections pour se hisser au pouvoir, sans passer à nouveau par la population, représente, à mes yeux, un coup d’état.

À ceux qui disent que des sondages révèlent qu’une majorité de canadiens préfèrent une coalition, au lieu de retourner en élections, je répondrai par une question, à savoir: Depuis quand les décisions politiques d’un pays doivent-elles être dictées par des sondages d’opinion?  Devant l’opposition, qui reproche au gouvernement Harper de ne pas prendre ses responsabilités, les canadiens doivent démontrer qu’ils sont conséquents de leurs décisions, et ainsi, prendre leurs responsabilités, face à la crise politique actuelle, qu’ils le veuillent ou non.  C’est à eux (à nous!) de décider qui les représente, et qui forme le gouvernement, à Ottawa, et leur refus de le faire risque de créer un dangereux précédent.  Et s’il faut pour cela retourner aux urnes, alors retournons aux urnes!  Faire autrement devient une usurpation du droit de vote des canadiens, et un déni de leur décision du 14 octobre dernier.

A-5: (1) Ça commence à prendre forme!

MarcFP85 l’a bien mentionné, en commentaire, dans mon dernier photo-billet, quand je demandais de deviner quel autre chantier j’ai visité en Outaouais.  Il s’agit bien de l’autoroute 5.

Ça faisait un bon bout de temps que je l’avais en tête, celui-là.  Eh bien voilà, cette fois, c’est fait!  J’ai pris plusieurs photos, tant et si bien que je devrai les montrer en deux billets distincts.  Il n’y a pas de thèmes vraiment particuliers, au niveau des photos, alors j’ai séparé le paquet à peu près en deux.  Voici donc la première moitié de la pile.

Voici la fin actuelle de l’A-5, à la hauteur de Chelsea.  Les nombreuses balises vous dirigent vers la sortie 21, qui mène à l’intersection de la route 105, et du chemin de la Rivière.

Et voilà ce que l’on voit, quand on entre derrière les balises.  Un chantier qui prend forme.

Depuis le même endroit, je me suis tourné de quelques 90 degrés vers la droite, pour prendre cette fenêtre, dans le roc,…

…puis d’un autre 90 degrés à droite, pour vous montrer un dernier amoncellement de roc à faire éclater, à côté duquel la blogue-mobile a l’air bien petite.

Je me suis approché de l’une des pièces de résistance de ce chantier, à savoir le viaduc de l’A-5 nord, qui surplombe le chemin de la Rivière.

Le soleil a beau être éblouissant, sur la blancheur du béton, mais on peut quand même constater que la marche est trop haute, et que la blogue-mobile ne peut pas grimper là.

Une photo du viaduc de l’A-5 sud, prise depuis celui de l’A-5 nord, toujours au-dessus du chemin de la Rivière.

Au-delà du viaduc du chemin de la Rivière, la chaussée de l’A-5 nord a l’air beaucoup plus avancée.

Quand on prend le chemin Pine, situé un peu au nord du chemin de la Rivière, on doit passer sous l’A-5.  Le passage sous la chaussée nord fait penser à un petit tunnel,…

…alors que celui sous la chaussée sud, ben… c’est pas mal semblable, en fait.

C’est à cet endroit que le plus gros des travaux se termine, un peu au sud du chemin Cross Loop.  Ici, on voit une potence de lampadaire, au beau milieu des deux chaussées.

Ici, deux foreuses, au repos.  Elles servent à percer les trous dans lesquels on met la dynamite, pour exploser les parois rocheuses.

À cet endroit, on bouffe la montagne, petit à petit, pour faire place à la chaussée sud de l’A-5.

Entre la potence de lampadaire, que l’on a vu de plus près sur une pose précédente, et la blogue-mobile, on fait une petit bout de chaussée qui servira d’intersection entre l’A-5 et la route 105, que l’on voit en arrière-plan, juste devant les arbres.

Le bout de chaussée viendra recouvrir ce ponceau, et se rendra jusqu’au niveau de la route 105,…

…où il rejoindra cette bouche d’égout pluvial, présentement toute seule parmi les longues herbes.

Il reste encore une douzaine de photos, que je mettrai dans un second billet.  Comme je l’ai déjà mentionné, j’essaie de ne pas mettre trop de photos dans un même billet, question de donner une chance à ceux et celles qui ont des ordinateurs moins puissants.  Ce second billet suivra, dans les prochains jours.

A-85/QC-185: Saint-Louis-du-Ha! Ha! (1- Le sud du village, et la rue Raymond)

Les chantiers de la future autoroute 85, en voie de réalisation, sont situés à Cabano, que l’on a vu dans le billet précédent, et à Saint-Louis-du-Ha! Ha!, que nous verrons ici, et dans les deux prochains billets.  Commençons par l’entrée sud du village, jusqu’à la rue Raymond.

Nous sommes au kilomètre 45, tout juste à l’intersection de la bretelle de la rue Commerciale, et on peut voir les travaux, à gauche de la route actuelle.

À l’intersection de la rue Commerciale proprement dite.

Un peu plus loin, toujours le long de la route 185.  Nous sommes au kilomètre 46.

Depuis les terrains de l’entreprise Transport VTL, concessionnaire des camions et tracteurs routiers Peterbilt, j’ai pris une suite de photos, du sud vers le nord,…

…qui montrent que les travaux de terrassement avancent,…

…et que le temps viendra où cette route…

…deviendra une superbe autoroute.  Par contre,…

…nous sommes encore loin de la coupe aux lèvres,…

…et l’inauguration n’est définitivement pas pour demain.

Je me trouve, cette fois, à l’intersection de la rue Raymond et de la rue Madgin, du côté ouest de la route 185, juste en face du village.  Je regarde vers le nord.

Ici, c’est l’intersection des rues Raymond et Madgin, avec la présence d’une signaleuse, qui interrompt la circulation, afin de permettre le mouvement des divers camions impliqués dans le chantier.

Voici la pièce de résistance du chantier de Saint-Louis-du-Ha! Ha!.  Le viaduc de la rue Raymond.

La circulation, sur la rue Marquis, qui sert de chemin de déviation à la route 185, attend le passage du feu de circulation, de la rue Raymond, au vert.  Au loin, c’est la rue Dubé, qui entre dans le village, vers l’est.

Une vue vers le sud, toujours depuis la rue Madgin.

Dans le prochain billet, je m’attarderai davantage sur le viaduc lui-même, et l’énorme tranchée creusée, parce que le viaduc sera à niveau avec la surface du sol, et la future autoroute 85 passera en-dessous.  Je terminerai avec un autre billet, qui vous montrera les travaux au nord du village.

Nous sommes près de la fin, en ce qui concerne mon escapade de vacances.  À part ces deux billets portant sur l’A-85/QC-185, il ne reste qu’un billet, qui parlera des travaux de l’A-20, entre Sainte-Luce et Mont-Joli, et un autre, sur la route 175, entre la limite nord de la réserve faunique des Laurentides et l’intersection de la route 169.  Évidemment, je ne compte pas les photos que je suis allé prendre dans une autre région, dans les jours qui ont suivi mon escapade.  De ces photos, certaines furent prises sur un site déjà visité, alors que d’autres vous montreront un chantier que je visitais pour la toute première fois.  Vous pourrez voir le tout au fil des jours à venir…