A-20: Bientôt à Mont-Joli!

Nous sommes en période de travaux routiers, au Québec.  Pendant que le gouvernement de notre société distincte (que dis-je, de notre nation!) parle d’un effort sans précédent, je suis plutôt du genre à tempérer, et à parler de rattrapage forcé; le Québec est tellement en retard, autant dans le développement de son réseau routier que dans son entretien, que l’on pourrait presque tenir un fil de presse actif, avec les fermetures, et les restrictions de charge, appliquées aux infrastructures.

Mais bon, la série a beau s’appeler « Les merdes du MTQ », les fonctionnaires doivent aussi avouer que j’illustre également les bons coups.  En voici justement un; le prolongement de l’A-20 vers Mont-Joli.  Je vous montre d’abord sa fin actuelle, à l’intersection de la route 298, à Sainte-Luce.

Le promontoire sud du viaduc de la route 298, à Sainte-Luce, avec l’intersection de la bretelle de sortie de l’A-20 est.

Au lieu d’installer le panneau entier, et de camoufler la partie du bas, les installateurs de celui-ci en ont tout simplement retiré la partie du bas.

Vu depuis le viaduc de la route 298, l’entrée vers l’A-20 ouest fait l’objet d’un détour bizarre, dont la seule raison, à ce que j’en ai vu, est de créer une aire de contrôle, à l’usage des « petits bonhommes verts ».  Non, il ne s’agit pas des candidats du parti pro-environnementaliste, ni d’un contingent d’extra-terrestres, et non plus de militants de Greenpeace.  Ce sobriquet désigne plutôt des contrôleurs routiers de la Société de l’assurance-automobile du Québec (SAAQ), qui veillent à l’application de la loi 430, qui régit l’utilisation des camions lourds, le temps de travail des chauffeurs, etc.  En fait, ce surnom est relié à la couleur des uniformes des contrôleurs routiers.

Toujours depuis le viaduc de Sainte-Luce, on regarde cette fois l’A-20 est, qui file vers Mont-Joli, et sur laquelle on en est rendus aux travaux d’asphaltage.  Même que j’ai roulé dessus, mais n’allez le dire à personne!

Pour la partie « horreur » de ce billet, je n’avais rien sous les yeux, puisqu’il s’agit d’une construction relativement nouvelle.  J’ai donc dû me résigner à photographier cette araignée, en plein travail de tricot, suspendue à l’un des panneaux de petite signalisation.

Cette fois-ci, le soleil « ne roulait pas de mon bord », ce qui a donné un contrejour terrible.  Il s’agit d’un autre demi-panneau, désignant la route 298 est, vers le secteur Luceville de la municipalité de Sainte-Luce.

Je suis sur le viaduc de la route Carrier, toujours à Sainte-Luce, et je regarde l’A-20 ouest,…

…puis je me retourne, pour vous montrer l’A-20 est.

Je suis maintenant à l’extrémité ouest de l’une des nouvelles voies de desserte, à moins de 2 kilomètres de la route Jacques-Cartier (route 132), à Mont-Joli.  Les travaux d’asphaltage étaient rendus à cet endroit, lors de mon passage.

Il y a des travaux d’envergure, à la hauteur de Mont-Joli, pour l’arrivée de l’A-20.  Ici, nous sommes au nord de l’avenue Perreault Ouest,…

…alors que nous voyons un carrefour giratoire, tout juste en face.  Il se situe dans un prolongement, à l’ouest du boulevard Gaboury, du boulevard Jacques-Cartier, et devrait raccorder les bretelles d’accès à l’A-20 à ces boulevards, ainsi qu’à l’avenue Perreault Ouest.

Ici, un camion déverse son contenu sur un terrain, le long du prolongement, vers l’ouest, du boulevard Jacques-Cartier.

Je suis légèrement au nord de l’accès à l’aéroport de Mont-Joli, et à voir cette image, on dirait bien qu’on s’apprête à construire une nouvelle route 132, à cet endroit.

Je suis curieux de voir l’aménagement final de l’A-20, suite à ces travaux, afin de savoir si un autre prolongement sera possible.  Il manque encore environ 80 kilomètres d’autoroute, entre Saint-Georges de-Cacouna et Le Bic, qui devront être complétés, avant que l’on puisse dire que le Bas-du-Fleuve soit vraiment relié au réseau autoroutier du Québec.  Et encore, il ne s’agit que d’une super-2!  D’ailleurs, nous savons tous que les super-2 sont des solutions temporaires, et très peu sécuritaires.

Alors espérons que la suite des choses nous apporte enfin une vraie autoroute vers le Bas-du-Fleuve.

MISE À JOUR – 21 JANVIER 2009

Selon ce communiqué du MTQ, émis le 2 décembre 2008, l’A-20, entre Sainte-Luce et Mont-Joli, y compris le nouveau carrefour giratoire, sur la route 132, est ouvert à la circulation depuis 10h00, ce matin-là.  Cela confirme un commentaire de Sam, qui m’avisait que cette section était ouverte.

Pont Champlain: Depuis le temps que j’en parle!

Cela fait plusieurs mois que je dis qu’il faut faire quelque chose pour le pont Champlain, et le pont-tunnel Lafontaine, qui ne suffisent plus à la tâche.  Je parle de les doubler tous les deux, et ce depuis que le blogue est ouvert.  Alors voilà que le Journal de Montréal fait sa une, ce matin, avec un nouveau pont Champlain.

Par contre, n’allez pas vous imaginer que les travaux vont commencer cet automne.  On parle d’un horizon de 10 à 15 ans.  Dans les faits, le gouvernement du Canada vient à peine de commander les études et scénarios nécessaires afin d’aller de l’avant,  Donc, cela veut dire que j’aurai ma pension de vieillesse quand je roulerai dessus.  Si la pension de vieillesse existe encore à ce moment-là, évidemment.  Comme dans tous les projets du genre, il faudra des études (celles commandées par le fédéral), des contre-études, les environnementalistes vont s’y opposer, et il y aura probablement même des procès, comme dans le cas du nouveau pont de l’A-25.

Puisque je réclamais son doublement depuis un bon bout de temps, je propose six voies par direction, dont une réservée en tout temps au transport en commun.  Attendons de voir ce que le gouvernement fédéral va nous présenter, de son côté.  On dit qu’il n’est pas exclu qu’une place soit accordée à un système léger sur rails (SLR), ce qui, à mes yeux, représente la plus grande connerie imaginable.  Je m’explique.

Quand un train est rempli à capacité, et que la clientèle augmente, il faut commander des rames supplémentaires, ce qui exige des déboursés incroyables, et des délais interminables.  Regardez toute l’affaire des nouvelles rames de métro; cela vous donnera une idée des délais.  Si le service est assuré par des autobus, dans le pire des cas, on peut louer des véhicules supplémentaires en quelques heures, tout au plus, en attendant de recevoir de nouveaux autobus.  Les tramways furent retirés des rues du grand Montréal pour une question de flexibilité, alors on ne viendra pas me faire croire que cette flexibilité n’est plus nécessaire aujourd’hui.  Un système sur rails, léger ou non, signifie des infrastructures dispendieuses, qui ne peuvent pas être partagées par d’autres équipements, contrairement aux voies réservées pour les bus, qui peuvent aussi servir aux taxis, par exemple, ou aux adeptes du covoiturage.  Et de toute façon, on va le faire arriver où, le SLR?  Au terminus centre-ville, déjà en surcharge, au point que l’AMT va établir bientôt, si ce n’est déjà fait, des arrêts sur le boulevard René-Lévesque?

Pour l’instant, très peu de détails sont sortis, sur ce nouveau pont Champlain.  Le JdeM a le scoop, sur ce projet, qui deviendra certainement une promesse électorale, afin de faire élire quelques candidats conservateurs dans le grand Montréal.  En bout de ligne, voilà de quoi alimenter une bonne demi-douzaine de campagnes électorales fédérales, à part celles des autres paliers de gouvernement.

AJOUT – 29 août 2008

Ceci n’est qu’un petit croquis fait rapidement, et n’est pas à l’échelle.

La configuration que je propose pourrait se décrire comme un 5-2-5, c’est à dire cinq voies de circulation dans chaque direction, et deux voies centrales, réservées en tout temps aux autobus et aux taxis.

A-50: Ça s’en vient! (1- Lachute / montée Labranche)

Bon, je vous ai suffisamment fait languir, avec cette histoire de nouvelles photos.

Les travaux de prolongement de l’A-50 vont bon train.  À preuve, j’ai roulé sur une partie du tronçon qui s’étend de Lachute à Grenville-sur-la-Rouge, mardi dernier (5 août), dont une grande partie était asphaltée.

Ce panneau ne fait évidemment pas partie du nouveau tronçon de l’A-50.  Je l’ai photographié parce qu’il représente l’un des derniers spécimens encore debouts de ces anciens panneaux indicateurs de sortie, sur les autoroutes, désormais remplacés par des panneaux aux dimensions beaucoup plus modestes.  Il s’agit de la sortie 258, qui mène à la route 327, entre Lachute et Saint-André-d’Argenteuil.  Cette sortie fait partie du vieux tronçon qui contourne la ville de Lachute, et qui date de 1975.  C’est donc dire que ce panneau risque d’avoir plus de 30 ans, ce qui explique sa décoloration.

Voici la chaussée de l’A-50, en direction ouest (photo prise en regardant vers l’est), à la hauteur de la route 148, juste à l’ouest de Lachute.  On voit distinctement l’asphalte qui fut appliqué lors de la construction de l’échangeur, en 2005 ou 2006, et la nouvelle couche, fraîchement appliquée.

Pourquoi une telle différence de largeur, dans le pavage?  Tout simplement parce qu’il s’agit de la base, constituée de deux couches d’un type d’asphalte plus grossier, qui sert de structure à la route.  La couche de finition viendra rejoindre l’asphalte existant sur toute sa largeur.

Lors de mon passage, la seule indication que la route ne soit pas tout à fait praticable consistait en ce panneau, placé au milieu de la chaussée, presque sous le viaduc.

Ce bout de clôture à neige devait probablement interdire le passage des véhicules, mais dans sa position actuelle, il ne sert que d’élément de curiosité.

Vu sous cet angle, on dirait que le viaduc de la route 148 a été déposé sur deux bouts de tapis.  Je n’ai pas de confirmation, mais la plupart des ponts et viaducs de la section Lachute/Brownsburg-Chatham semblent avoir été coulés sur place.

Ça ne semble pas évident à voir, comme ça, mais c’est à cet endroit que les deux chaussées de l’A-50 se réunissent en une seule.  Regard vers l’ouest, à moins d’un kilomètre à l’ouest de la sortie 254 (route 148).

Ça saute aux yeux, vu d’ici.  Regard vers l’est, cette fois, avec l’échangeur de la route 148 (sortie 254), tout au loin.

Au même endroit, mais en tournant de 180 degrés, et en regardant vers l’ouest.  À droite, cela semble être ce qui fera office de « voie de demi-tour », à l’usage des policiers et autres véhicules autorisés.

On regarde à nouveau vers l’est (je sais, je suis en train de vous étourdir), cette fois depuis l’approche est du viaduc de la montée Labranche, à Brownsburg-Chatham.  On voit au loin le raccordement des chaussées.

Du même endroit, vers l’ouest.  Voici le viaduc de la montée Labranche.

Deux niveaux, ici.  En haut, la chaussée de l’A-50, et en bas, les bretelles de sortie et d’entrée, non encore asphaltées, et la montée Labranche.

Pendant que je m’attarde à la construction de l’A-50, la vie suit son cours, et les moissons aussi.

Voici la montée Labranche, vue depuis le viaduc.  Dans cette direction, soit vers le sud, vous atteindrez le village de Saint-Philippe-d’Argenteuil, situé à moins d’un kilomètre,…

…alors que dans celle-là, vers le nord, vous aurez à parcourir environ 6 km pour arriver à la ville de Brownsburg.  Ces deux noyaux urbains font partie de la ville de Brownsburg-Chatham.

Je ne sais pas quel genre de joint de dilataion sera installé aux extrémités de ce viaduc, aux dimensions plutôt modestes (…de passe à chevreuils?), mais l’espace actuellement laissé vaut la peine de ralentir, quand on roule sur la chaussée de l’A-50.

C’était la première partie de mes images des travaux de l’A-50.  Trois autres billets s’ajouteront, au fil des jours, pour compléter ce compte-rendu de l’évolution du projet, à tout le moins dans sa partie la plus à l’est.  Les photos que j’ai prises l’ont été entre la route 148 et la route Kilmar, tout près de la rivière Rouge.

J’essaie de ne pas mettre trop de photos dans chaque billet; certains m’ont fait remarquer que lorsque le billet est trop lourd, ils ne peuvent pas visionner toutes les photos, cela étant trop exigeant pour certains ordinateurs.  J’y vais donc de plusieurs billets, en essayant de ne jamais dépasser 20 images par billet.  Je vais donc tenter de profiter de ce vendredi de congé (…qui a dit « Encore? ») pour aller de l’avant avec ces billets.   C’est donc à suivre.

Julie Couillard: Ne serait-elle qu’une « brasseuse de merde »?

Alors que je croyais que tout le brouhaha autour de Julie Couillard commençait à se calmer, voilà que l’un de ses ex (ceux-ci devraient penser à se regrouper en syndicat, ma parole!), Stéphane Sirois, ancien Hells Angels et ex-époux de la belle lavaloise, suggère à Max Bernier de se tenir loin de madame Couillard.  Dis donc, ça ne t’aurait pas tenté de lui dire cela un peu plus tôt, genre il y a un an et demi?

Les médias vont sûrement laisser s’écouler de plus amples détails sur les révélations qu’a fait Stéphane Sirois au journaliste Julian Sher, du Globe and Mail, mais le titre qu’a lancé le site LCN fait mention que Julie Couillard serait déjà morte si Sirois ne l’avait pas épousée.  La question que je me pose, maintenant, est à savoir… si elle en sait tant que cela.  Si c’était le cas, elle serait probablement déjà morte, qu’elle soit l’épouse de Sirois ou non.

Toute cette affaire me donne l’impression que Julie Couillard n’est rien d’autre qu’une « brasseuse de merde » compulsive; elle aime se coller à la racaille, question de profiter des avantages, puis elle se pousse quand elle sent venir la soupe chaude, laisse retomber la poussière, pour mieux revenir par la suite.  Elle a bien enterré Gilles Giguère, après tout, ce qui ne l’a pas empêché d’épouser Sirois par la suite.  Elle s’est aperçue que « un ministre, ça n’a pas d’argent »?  Elle l’a « flushé »!  Va-t-elle continuer à donner des entrevues, dans le but de rétablir sa « dignité », ou bien va-t-elle tout abandonner ici pour aller vivre en République Dominicaine, elle aussi?  Après tout, elle est une « pauvre victime des médias », qui se sont acharnés sur elle comme la misère sur le pauvre monde.  Autre preuve de ce constat; la Presse canadienne révélait hier que Julie Couillard aurait été vue avec un proche de Maurice « Mom » Boucher.

Toujours est-il que mes prédictions se révèlent encore assez proches de la vérité; la descente aux enfers de madame Couillard se poursuit…

A-50: Prise 2 – Ça avance bien!

Dimanche dernier (25 mai), il faisait pas mal plus beau qu’aujourd’hui. Je suis allé en Outaouais, et j’ai pris quelques poses de l’A-50. Voici donc le deuxième billet sur ce projet routier.

Nous sommes en bordure du viaduc de la montée Ranger, qui fut complété l’an dernier. Il reste à faire l’autoroute elle-même, maintenant. Ça va plutôt bien, de ce côté. Le point sur lequel je veux porter votre attention, toutefois, est la hauteur de la paroi rocheuse, qui se situe tout juste à l’ouest de la montée, à côté du viaduc. Il est à noter que la montée Ranger passe sous le viaduc. Alors imaginez la hauteur à partir du sol.

Celle-là, c’est la paroi rocheuse du côté est de la montée Ranger. Vous voyez la hauteur des arbres matures, dessus, et la hauteur de la paroi, jusqu’au niveau du viaduc. Ajoutez à cela de 6 à 8 mètres, et vous verrez que c’est suffisant pour vous donner le vertige, si c’est votre cas.

Ici, c’est la montée Ranger, quand on regarde vers le sud, depuis le viaduc. On voit les terres agricoles, puis la route s’encastre dans la montagne.

Du côté nord, c’est à couper le souffle. Sauf que là, l’ombre nous joue des tours. Attendez un peu…

D’un angle légèrement différent, cette fois. J’imagine l’entrepreneur, qui avait à déneiger ce tronçon de la route; avec l’hiver que l’on vient de subir, il a certainement mérité chaque dollar de son contrat.

Si l’on regarde vers l’ouest, depuis le viaduc de la montée Ranger, on constate que le terrassement de l’A-50 avance bien. Allons voir un peu plus loin.

Derrière ce tas de gravier, il reste du dynamitage à faire, sur plus ou moins trois kilomètres, afin de se rendre jusqu’à la montée Laurin.

Environ à la hauteur du tas de gravier de la photo précédente, un site de concassage, qui permet de croire que le gravier utilisé pour l’A-50 est extrait de la montagne que l’on dynamite afin de faire passer la route. Une forme de recyclage, si l’on peut dire.

De retour au viaduc Ranger, pour jeter un coup d’oeil sur l’A-50, en direction est. À 1,5 km, il y a la montée Parent. Allons-y.

Après avoir roulé le kilomètre et demi sur la surface gravelée, nous voici donc au viaduc de la montée Parent. Au loin, on voit celui de la route 317, qui n’était pas terminé, lors de ma dernière visite. Entre les deux, on retrouve le pont de la rivière Blanche.

Le viaduc de la montée Parent, mais cette fois, vu de dessus. C’est encore un chantier, mais le tout devrait être complété au cours de l’été.

Voici un très bon indicateur de l’épaisseur qu’il reste à remplir, afin de terminer le terrassement de l’A-50. La dernière couche d’asphalte devrait normalement arriver à égalité avec la grille, au-dessus de la prise d’égoût pluvial.

Voici le chantier du pont de la rivière Blanche. Débuté l’an dernier, il reste encore un peu de besogne à y faire, mais ici aussi, ça avance assez bien. Notons que ce tronçon de l’A-50 doit laisser passer la circulation régulière à partir de cet automne.

Nous voyons ici un détail de finition du parapet sud du pont de la rivière Blanche. À gauche, le parapet de béton, complet et démoulé, et à droite, les tiges d’armature de la suite du parapet, auxquelles on doit ajouter les moules – ou les formes, c’est selon – afin de former le coffrage dans lequel le béton sera coulé.

Ici, ce sont les renforts métalliques des parapets, au niveau du joint de dilatation. À gauche, c’est le pont, et à droite, la terre ferme.

Voici les moules, prêts à être assemblés pour former le coffrage, qui servira à la coulée de béton du parapet.

La rivière Blanche, dans toute sa splendeur. On la voit ici en direction sud, avec, sur la rive droite, une de ces espèces de barricades qui doivent, en principe, empêcher les polluants de se retrouver dans la rivière.

Cette fois, la rivière Blanche, vue vers le nord.

Toujours depuis le pont de la rivière Blanche, on voit le viaduc de la route 317, qui relie Thurso et Ripon, en passant par Saint-Sixte. Lors de ma dernière visite, l’automne dernier, un massif de la montagne restait à abattre, afin d’ouvrir le passage à l’A-50. Ce massif servait de chemin temporaire à la route 317. Comme il était impossible de descendre du pont avec ma bagnole, j’ai dû rebrousser chemin, via la montée Parent, et le chemin du 5e Rang, puis remonter la route 317, afin de prendre les photos suivantes.

À l’intersection de la route 317 et les bretelles d’entrée/de sortie de l’A-50 est, le message est on ne peut plus clair.

Du côté nord de l’autoroute, les bretelles d’entrée/de sortie de l’A-50 ouest donnent sur le chemin du 6e Rang, dont le tracé fut lui aussi modifié, afin de permettre cet aménagement.

Le chemin du 6e Rang, en direction de l’intersection de la route 317. Les poteaux sont déjà installés, afin de recevoir la supersignalisation.

Par contre, quand on regarde le long du petit chemin, qui fait face au 580, du 6e Rang, on n’y voit pas l’ombre d’une autoroute. Il faut mentionner que le tronçon que l’on devrait voir à cet endroit ne devrait ouvrir qu’en 2010. Alors il est possible de croire que les appels d’offres, pour cette partie de l’A-50, ne soient pas encore publiés.

Comme on a pu le voir sur les photos des deux premières « prises », les choses avancent plutôt bien, du côté de l’Outaouais. Lors de la prise 3, qui devrait être publiée bientôt, nous pourrons voir que le déboisement va bon train à divers endroits, et qu’un sympathique gardien de sécurité trouve souvent les nuits bien longues.

Alors à bientôt!