Crise économique: Le début de la fin, selon Elgrably-Lévy

Je ne surprendrai personne si je dis que sur le plan économique, je suis plus à droite qu’à gauche.  J’ai confirmé mes appréhensions, et trouvé la voie économique qui correspondait le plus à ma vision de la chose, en lisant les premières chroniques de Nathalie Elgrably-Lévy, dans le Journal de Montréal, il y a plus de trois ans.  J’ai pu profiter de références, qui me furent offertes par madame Elgrably-Lévy elle-même, et qui m’ont permis de me faire une excellente idée de ce qui se passe, et ce même si je n’ai pas tous les détails en mains, le tout compte tenu du fait que je n’aie vraiment pas grand chose d’un économiste.

Je n’ai pas toujours été d’accord à 100% avec les écrits de cette économiste sénior, de l’institut économique de Montréal (IEDM), mais il arrive, à l’occasion, que certains de ses textes coulent comme de l’eau, quand je les lis, tellement j’aurais pu les écrire moi-même.  Et c’est le cas de la chronique qu’elle signe, dans le Journal de Montréal d’aujourd’hui, intitulée « Le début de la fin« .

On se rend compte, quand on la lit, que si George W. Bush fut un président dépensier, Barack Obama est littéralement un « dépenseur compulsif »!  Il a dégainé tellement de plans de relance de toutes sortes que madame Elgrably-Lévy le qualifie de « Lucky Luke de la Maison blanche ».  Et les chiffres qu’elle révèle sont mirobolants; plus de 8000 milliards$ en plans de relance de toutes sortes, et plus de 65,000 milliards$ en obligations totales, si l’on inclut la sécurité sociale, et les régimes publics de soins de santé (Medicaire, Medicaid, etc.).   Pour vous donner une idée de grandeur, afin de « brûler » 8000 milliards$, il faudrait dépenser 10 millions$ par jour, pendant près de… 2000 ans!  Et comme on calcule – et compare – souvent les dettes des pays en pourcentage du Produit intérieur brut (PIB), elle avance que 65,000 milliards$ dépasse 100% du PIB… de la planète!  Avec de telles données, on comprend pourquoi elle décrit la situation actuelle comme… le début de la fin.

C’est à lire!

Parc des Laurentides: Vivement le doublement des voies!

Comme c’est le cas à chaque hiver, la Réserve faunique des Laurentides est le théâtre d’accidents violents, souvent mortels.  Ce fut encore le cas, ce mardi, en après-midi, au kilomètre 168, selon ce que rapporte la Presse Canadienne, dans une dépêche qui fut reprise par le site web Canoë.

Cette fois, la collision frontale a fait deux victimes, un homme de 18 ans, de la Montérégie, et une femme de 20 ans, de l’Outaouais, qui prenaient place dans une voiture, qui roulait vers le sud, et qui, pour une raison que l’on ignore, s’est retrouvée sur la voie en sens opposé, pour heurter de plein fouet une minifourgonnette occupée par quatre personnes, soit un homme, une femme et deux enfants, dont une fillette de 7 ans, dont on a craint pour la vie, mais qui est maintenant hors de danger.

Les noms des victimes n’étaient pas révélés, dans la dépêche, mais je compatise, bien sûr, avec les proches des victimes de l’accident, comme c’est d’ailleurs le cas pour toutes les victimes d’accidents.  Mais sur un plan plus politique, j’espère que ces morts ne seront qu’une motivation de plus, pour le MTQ, pour pousser davantage la machine, et compléter au plus tôt le doublement de la route 175, dans ce qu’on appelle communément le Parc des Laurentides.  La route 175, au kilomètre 168, soit juste au nord de l’intersection de la route 169, n’est pas encore doublée, et ne devrait l’être qu’en 2010; le cas échéant, les deux jeunes n’auraient probablement été victimes que d’une sortie de route, sans trop de conséquences.  Mais ces deux automobilistes, tout comme ceux de la minifourgonnette, qui roulait vers le Saguenay, n’ont pas eu cette chance.  Les quatre occupants de la minifourgonnette ont été blessés, et les deux jeunes, qui prenaient place dans la voiture, sont morts.

Ce sont de tels événements qui m’amènent à continuer à écrire ce blogue, et à faire des pressions sur le MTQ, malgré que j’ai bien peu de moyens, pour ce faire, afin de procéder au doublement de certaines autoroutes, au Québec, en plus de la route 175, parce que ces routes sont trop souvent le théâtre d’accidents tragiques.

Ottawa: L’opposition veut flatter les canadiens dans le sens du poil!

J’aime bien prendre un texte, principalement lorsqu’il s’agit de paroles citées, ou encore d’une lettre ouverte, et la décortiquer, afin d’en saisir tous les aspects.  Aussi, comme les ténors de l’opposition, à Ottawa, ont décidé de publier une lettre ouverte, adressée aux canadiens, pour expliquer leur coup d’état, et ainsi tenter de flatter la population « dans le sens du poil », je prendrai le texte de la lettre, dans sa version publiée dans un article de la Presse Canadienne, et diffusée sur le site web Canoë, texte que je mettrai ici en bleu, et je l’analyserai, passage par passage.

Allons-y.

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Chers concitoyennes et concitoyens,

Le Canada fait face à une crise économique mondiale. Depuis les récentes élections fédérales, il est devenu clair que le gouvernement dirigé par Stephen Harper n’a aucun plan, aucune compétence ni aucune volonté pour répondre de manière efficace à cette crise.

Il faudrait dire la vérité, à savoir que le gouvernement conservateur n’a aucun plan qui corresponde à la pensée keynésienne, qui anime les chefs des trois autres partis présents à la Chambre des communes.  Cela n’a rien à voir avec les compétences, ou la volonté, du gouvernement élu.  Ainsi, cette déclaration laisse entendre que la seule façon de se sortir de la crise est celle préconisée par l’opposition, ce qui est loin d’être vrai.

C’est pourquoi la majorité du Parlement a perdu confiance envers le gouvernement Harper et estime que la formation d’un nouveau gouvernement qui réagira efficacement, prudemment, rapidement et adéquatement à cette crise économique est nécessaire.

Encore une fois, cette phrase est vue selon les paramètres de l’opposition, qui considère qu’ils sont les seuls à savoir quoi faire, face à cette crise, alors que les méthodes qu’ils entendent utiliser se sont avérées exactement celles qui ont coulé l’économie des USA.  Quant à la formation d’un nouveau gouvernement, l’opposition devrait avoir suffisamment de respect de la démocratie pour laisser le peuple choisir.

Le contraste entre l’inaction du gouvernement Harper et les mesures communes prises par toutes les autres démocraties occidentales est frappant. Nous ne pouvons accepter cela.

Qui dit que les autres démocraties faisaient face aux mêmes défis que le Canada, dans cette crise?  Les pays les plus interventionnistes furent justement ceux qui furent le plus secoués, économiquement, par la crise, à savoir les USA, qui est à l’origine de la crise, ainsi que certains pays d’Europe, et le Japon, qui furent les principaux bailleurs de fonds du gouvernement américain.  D’ailleurs, rien ne dit que leurs décisions furent les meilleures, dans les circonstances.  Le Canada n’a pas à affronter la crise du même angle que ces pays, et de ce fait, la solution n’a pas à être la même.  Loin de là.  Par contre, ce que l’opposition ne pouvait accepter, c’est la fin des subventions aux partis politiques, qui, il faut bien l’avouer, fut une erreur stratégique des conservateurs.

Une majorité de Canadiens et de Québécois ont voté pour nos partis le 14 octobre 2008. Nos députés fédéraux composent 55 pourcent de la Chambre des communes.

Si l’opposition croit avoir la légitimité de former un gouvernement, à la lumière de cette lecture des résultats des dernières élections générales, pourquoi n’a-t-elle pas demandé à la gouverneure générale de former le gouvernement dès que les résultats de l’élection furent connus?  Ceci n’est qu’un argument fallacieux pour tenter de faire avaler la pilule aux peuple canadien, pilule qui risque d’être perçue, et ce particulièrement par les habitants de l’ouest du pays, comme une déclaration de dictature.

À la lumière de la situation critique à laquelle sont confrontés nos concitoyens, et du manque de volonté du gouvernement Harper à réagir à cette crise, et à son incapacité à le faire, nous sommes déterminés à soutenir un nouveau gouvernement qui veillera aux intérêts de la population.

Avec le plan de 30 milliards$ que la coalition entend mettre en marche, les citoyens canadiens risquent de voir leur situation devenir plus critique que jamais, leur situation pouvant rivaliser avec celle de nos voisins du Sud, et ce sans avoir été confrontés aux mêmes turbulences qui ont provoqué cette crise.  Quant à l’incapacité du gouvernement Harper, c’est l’opposition elle-même qui l’a créé de toute pièce, en faisant la promotion du renversement de ce gouvernement, qui préconisait une approche différente, approche qui a reçu l’appui des pays membres de l’APEC, lors de leur dernier sommet, tenu à Lima, au Pérou, les 22 et 23 novembre derniers.  De plus, je constate à nouveau que les partis de l’opposition croient être les seuls dépositaires des intérêts de la population

Aujourd’hui, nous informons respectueusement la gouverneure générale qu’elle devrait, à la première occasion, demander au chef de l’opposition officielle de former un nouveau gouvernement qui sera appuyé par nos trois partis, comme le confirment les accords ci-joints.

Alors voilà, reste à savoir si la gouverneure générale voudra bien le faire.  À la lumière de ses compétences en la matière, j’ai malheureusement l’impression qu’elle acquiescera à la demande de l’opposition, sans même poser la moindre question sur les intentions précises de celle-ci.

Veuillez agréer l’expression de nos sincères salutations.

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Peut-être que Stephen Harper, et son gouvernement, en incluant des coupures aux subventions aux partis politiques, ainsi que la suspension de droit de grève aux membres de la fonction publique, ont utilisé une très mauvaise stratégie.  Peut-être qu’à la lumière de ces faits, le gouvernement Harper mérite d’être renversé.  Mais prendre une interprétation différente des résultats des dernières élections pour se hisser au pouvoir, sans passer à nouveau par la population, représente, à mes yeux, un coup d’état.

À ceux qui disent que des sondages révèlent qu’une majorité de canadiens préfèrent une coalition, au lieu de retourner en élections, je répondrai par une question, à savoir: Depuis quand les décisions politiques d’un pays doivent-elles être dictées par des sondages d’opinion?  Devant l’opposition, qui reproche au gouvernement Harper de ne pas prendre ses responsabilités, les canadiens doivent démontrer qu’ils sont conséquents de leurs décisions, et ainsi, prendre leurs responsabilités, face à la crise politique actuelle, qu’ils le veuillent ou non.  C’est à eux (à nous!) de décider qui les représente, et qui forme le gouvernement, à Ottawa, et leur refus de le faire risque de créer un dangereux précédent.  Et s’il faut pour cela retourner aux urnes, alors retournons aux urnes!  Faire autrement devient une usurpation du droit de vote des canadiens, et un déni de leur décision du 14 octobre dernier.

Drame familial à Brossard: Un jugement dangereux!

À la page 12, du Journal de Montréal d’aujourd’hui, un article de David Santerre, repris par le site Canoê, mentionne que le tribunal a accordé un montant d’environ 80,000$ à une famille, pour les souffrances qu’elle a endurée depuis un drame familial, survenu sur la rive sud de Montréal.

Revoyons les faits.  Le 22 avril 2002, la gardienne des enfants du couple composé de Martin Brossard et de Liliane de Montigny, se rend au domicile familial, de la rue Booker, à Brossard.  Elle y voit le corps de Martin, balançant au bout d’une corde, dans le salon.  Les policiers, appelés sur place, découvrent les corps de Liliane, étranglée dans une chambre, et des deux fillettes du couple, Claudia, 4 ans, et Béatrice, 18 mois, noyées dans la baignoire.  L’article révèle que plus tard, des membres de la famille de Liliane, soit son père Marcel, et ses soeurs Karen et Sandra, logeaient une poursuite de 730,000$ contre la succession de Martin Brossard pour dommages, souffrances pour eux et les victimes, et les frais funéraires.  Suite à la décision de la Cour supérieure, de leur octroyer 70,000$, les poursuivants en ont appelé, parce que le jugement ne condamnaient la succession ni à des dommages punitifs, ni pour les souffrances infligées aux victimes, ni au paiement des frais funéraires, selon ce que rapporte l’article.

La seule décision que la Cour d’appel a modifié, par rapport au jugement original de la Cour supérieure, c’est l’allocation d’une somme supplémentaire de 11,102$, pour les frais funéraires.  L’article résume les raisons évoquées par la Cour d’appel, dans son jugement.

Pour ma part, je suis porté à dire qu’il s’agit là d’un jugement dangereux.  À mes yeux, les événements n’impliquaient que Martin Brossard, son épouse et ses enfants.  Compte tenu que Brossard était majeur, et que rien n’indique qu’il n’était pas sain d’esprit, au moment des événements, je ne vois pas en quoi la succession de Brossard aurait à payer quelque somme que ce soit à des membres de la famille de Liliane.  À moins, évidemment, que les membres de la succession de Brossard, visés par la poursuite, aient eu un quelconque lien avec les gestes.  S’il était prouvé, par exemple, que Martin avait subi des pressions, de la part de ces personnes, pressions qui auraient pu déboucher sur les événements tragiques.  Sinon, pourquoi poursuivre la succession de Martin Brossard?

Bien sûr, on ne connaît pas toute l’histoire.  Est-ce que des discussions, entre les deux familles, se seraient soldées par une discorde, au niveau des frais funéraires?  Est-ce que le famille de Martin Brossard a fait preuve de mépris, de suffisance, ou d’autres types de comportements reprochables, envers celle de Liliane de Montigny?  Est-ce à croire, d’un autre côté, que la famille de Brossard n’a subi aucun préjudice, n’a vécu aucune souffrance, suite à ces événements?  Le cas échéant, pourquoi ne poursuivent-ils pas à leur tour?

Malgré mon respect pour les deux familles en cause, ici, je persiste à croire que ce genre de jugement ouvre toute grande la porte à beaucoup d’abus.  Imaginez, vous pourriez être poursuivis parce que votre fils de 18 ans ou plus, ou votre frère, majeur, a commis un geste disgracieux envers quelqu’un.  Il me semble qu’un adulte est le seul responsable de ses propres gestes, et que l’on peut poursuivre les membres de la famille d’un individu jugé coupable dans le seul cas où celui-ci est mineur, ou encore lorsqu’il est prouvé qu’il n’est pas responsable de ses gestes.  Qu’on me corrige si j’ai tort, mais un tel jugement pourrait faire en sorte que toute victime d’un vol, d’une agression sexuelle, ou d’un autre crime, pourrait poursuivre la famille du prévenu, une fois celui-ci trouvé coupable.  Cela fait en sorte que l’on pourrait même être poursuivi en justice, suite à des gestes commis par des membres de sa famille, et ce même si l’on a pas de contacts directs avec ceux-ci.

Un jugement dangereux, à mes yeux.

La voici, la blogue-mobile!

Depuis le temps que j’en parle, voici enfin les premières images de la blogue-mobile.

Il s’agit d’un Jeep Cherokee Chief, dont la carrosserie semble plutôt propre, puisque c’est un modèle de 1987.

Arrangez ça comme vous voulez, mais il y a une attache de remorque… à l’avant!  Le sympathique propriétaire précédent, qui habite Saint-Jean-sur-Richelieu, m’a précisé qu’il se servait du véhicule principalement pour tirer son bateau.  Ceux qui manoeuvrent souvent des remorques savent bien que si une telle installation est plutôt inutile sur la route, elle est très pratique sur des terrains fermés,  car il est plus facile de déplacer une remorque sans avoir à constamment tourner la tête vers l’arrière.  Mais ne vous en faites pas; je lui trouverai bien une utilisation.  En passant, la flaque d’huile, sous le pare-chocs, est une gracieuseté de la pompe de servo-direction, qui a été remplacée depuis la prise de ces photos.

Le toit et le hayon arrière, ainsi que le capot, qui porte toujours les bandes décoratives propres à ce modèle, sont encore recouverts de la peinture d’origine, qui date de 21 ans.  Les côtés ont toutefois déjà été repeints.

Autre détail original, le lettrage, à l’arrière, qui montre bien qu’il s’agit d’un Cherokee Chief.  Évidemment, une autre attache de remorque est installée, au bon endroit, cette fois.

Si l’extérieur est encore très potable, l’intérieur accuse davantage le poids des années.

Voilà le secret de la longévité de sa carrosserie; elle a été traitée, pendant plusieurs années, à l’huile antirouille.

La blogue-mobile est équipée d’une boîte manuelle à 5 rapports.  On constate, une fois de plus, à la vue du soufflet du levier de transmission, qu’il reste beaucoup de petits détails à fignoler, du côté de la finition intérieure.

À défaut de proposer la climatisation, ce véhicule est toutefois muni d’une radio AM/FM de qualité, à façade détachable, de marque JVC, et doté d’une télécommande.  Elle lit également les CD, CD-RW et les MP3.

Parmi les trucs à fignoler, un compresseur à air, dont on voit ici la commande, qui permettra, une fois redevenu fonctionnel, l’installation d’amortisseurs pneumatiques.

Voici l’une des principales raisons pour laquelle j’ai choisi ce véhicule.  Il est doté d’une boîte de transfert Selec-Trac, qui permet le passage de 2 à 4 roues motrices à la volée.

Le tableau de bord est passablement complet, avec tous les indicateurs, que je préfère de beaucoup aux lampes-témoin qui, malheureusement, équipent encore beaucoup de véhicules américains.

Au prix où je l’ai payée, lequel comprend également quatre très bons pneus d’hiver, montés sur des jantes en acier, je ne suis pas sans me douter qu’il y aura des réparations à effectuer.  L’ancien propriétaire a été tout à fait honnête, et toutes les réparations effectuées à date concernent des problèmes qu’il m’avait révélé.  À date, j’ai remplacé la pompe de servo-direction, le radiateur, et le ventilateur du système de chauffage, le tout avec succès.  Présentement, elle est à Saint-Lin–Laurentides, où on procède à la rénovation du plancher, ainsi qu’à quelques trucs sur la carrosserie.  À son retour, j’aurai à remplacer un joint d’étanchéité au niveau de la boîte de direction, qui vient de commencer à fuir.  Ensuite, ce sera la tournée d’entretien; vidange d’huile à moteur, de transmission manuelle, des deux différentiels et de la boîte de transfert.  Bref, de quoi m’amuser pendant plusieurs week-ends.

Par contre, comme il s’agit pour moi d’un second véhicule (j’ai déjà une voiture sous-compacte), je n’ai pas de pression, au niveau de l’entretien et des réparations.  J’y vais en fonction de mon budget, et de mes temps libres.  J’ai toujours aimé « bizouner » la mécanique, et cette Jeep me permet de le faire, et ce sans le stress d’avoir à tout remonter rapidement, pour cause de nécessité.

Quant à la réserve de photos, elle commence à tirer à sa fin, ce qui veut dire que je devrai repartir à la chasse aux images.  Je ne vais pas vous révéler mes intentions en détails, de peur de me pas remplir mes engagements.  La chasse aux photos est souvent sujette aux tribulation de Dame Nature, dont la météo est plus incertaine que jamais, cette année.  Mais il me reste mon dernier coup de tête, incidemment sous la pluie, et en plein territoire des moustiques, soit cet échangeur en devenir, dont la vocation fut transformée, par la force des choses, en passe à chevreuils.  Un indice de plus?  C’est dans la région des Cantons-de-l’Est, tout près de celle du Centre-du-Québec.

Vous voulez plus de détails, encore?  Une seule façon de faire; restez branchés!